ANTIGONE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé
Catégories :
Contraception et interruption de grossesse, Contraception hormonale, Progestatifs, Désogestrel
Principes actifs :
Désogestrel
Contraception orale
Adulte Femme de plus de 18 ans . Contraception orale (implicite)
1 comprimé par jour à la même heure.
A prendre sans interruption.
Voie orale
Ce médicament ne protège pas du VIH (SIDA) et des autres infections sexuellement transmissibles.
CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de gonflement du visage, de
la langue ou du pharynx, une difficulté à avaler, ou de l'urticaire et
des difficultés à respirer.
CONTACTER LE MEDECIN DES QUE POSSIBLE en cas de :
-
Douleurs sévères ou un gonflement de l'une des jambes, une douleur
inexpliquée dans la poitrine, des difficultés à respirer, une toux
inhabituelle, sang dans les crachats.
- Douleurs d'estomac sévères d'apparition soudaine ou le teint jaune.
- Grosseur dans les seins.
- Soudaines ou sévères douleurs dans le bas de l'abdomen ou à l'estomac.
- Immobilisation ou opération chirurgicale (consulter le médecin au moins 4 semaines à l'avance).
- Saignements vaginaux abondants et inhabituels.
- Suspicion de grossesse.
- Changements d'humeur et de symptômes dépressifs.
EVITER :
- De s'exposer au soleil en cas de mélasme/chloasma apparu lors d'une grossesse ou sous contraceptifs oraux estroprogestatifs.
-
La prise de millepertuis (Hypericum perforatum) pendant le traitement
(possibilité de diminuer l'efficacité contraceptive du médicament).
Alopécie
Dysménorrhée
Fatigue
Infection vaginale
Vomissement
Kyste ovarien
Intolérance aux lentilles de contact
Urticaire
Grossesse extra-utérine
Erythème noueux
Rash cutané
Cancer du sein
Chloasma
Oedème de Quincke
Tumeur hépatique
Tumeur hormonodépendante (de la femme)
Ecoulement mammaire
Trouble thrombo-embolique
Symptôme dépressif
Exacerbation de l'angioedème héréditaire
L'effet indésirable le plus fréquemment rapporté lors des essais cliniques est l'irrégularité des saignements. Jusqu'à 50% des femmes utilisant le désogestrel ont rapporté des irrégularités de saignement. Comme le désogestrel entraîne une inhibition de l'ovulation proche de 100%, contrairement aux autres pilules uniquement progestatives, l'irrégularité des saignements est plus fréquente qu'avec ces autres pilules. Chez 20 à 30 % des femmes, les saignements peuvent survenir plus fréquemment alors que chez 20% des femmes les saignements peuvent devenir moins fréquents voire totalement absents. Les saignements vaginaux peuvent être également de plus longue durée. Au bout de quelques mois de traitement, les saignements tendent à être moins fréquents. Des informations, des conseils et un carnet patient de suivi des saignements peuvent aider les femmes à mieux les accepter.
Les autres effets indésirables les plus fréquemment rapportés (fréquence > 2,5%) lors des essais cliniques avec le désogestrel sont les suivants : acné, modification de l'humeur, mastodynies, nausées et prise de poids. Les effets indésirables sont mentionnés dans le tableau ci-dessous.
Les effets indésirables sont classifiés par système d'organes avec indication de l'évaluation sur la fréquence : fréquent (= 1/100), peu fréquent (=1/1000 à < 1/100), rare (<1/1000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)..
*MedDRA version 17.0
Un écoulement mammaire peut survenir au cours de l'utilisation d'ANTIGONE. Dans de rares cas, des grossesses ectopiques ont été rapportées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Une aggravation d'un angioedème héréditaire peut également survenir (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Chez les femmes utilisant des contraceptifs oraux (combinés) un certain nombre d'effets indésirables (graves) ont été rapportés. Ils comprennent des troubles thrombo-emboliques veineux, troubles thrombo-emboliques artériels, tumeurs hormonodépendantes (par ex. tumeurs hépatiques, cancer du sein) et chloasma, dont certains sont détaillés dans la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Des métrorragies et/ou un échec de la contraception peuvent être le résultat d'interactions entre d'autres médicaments (inducteurs enzymatiques) et les contraceptifs hormonaux (voir paragraphe Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
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Grossesse
ANTIGONE est contre-indiqué pendant la grossesse. Si une grossesse survient pendant le traitement avec ANTIGONE, la prise doit être suspendue.
Des études chez l'animal ont montré que des doses très élevées de substances progestatives peuvent entraîner une masculinisation des foetus féminins.
Des études épidémiologiques de grande envergure n'ont pas montré de risque accru de malformations chez les enfants nés de femmes ayant utilisé des COCs avant la grossesse, ni d'effet tératogène quand les COCs étaient utilisés par inadvertance en début de grossesse. Les données de pharmacovigilance collectées sur les différents COCs contenant du désogestrel n'indiquent pas non plus une augmentation de risque.
Allaitement
D'après les données tirées d'une étude clinique, ANTIGONE ne semble pas influer sur la production ou la qualité (protéines, lactose ou concentrations en matières grasses) du lait maternel (. Cependant, à intervalles irréguliers, des rapports de pharmacovigilance ont mis en avant une diminution de la production de lait maternel parallèlement à l'utilisation d'ANTIGONE. De petites quantités d'étonogestrel sont excrétées dans le lait maternel. En conséquence, entre 0,01 à 0,05 microgrammes d'étonogestrel par kg de poids corporel et par jour peuvent être ingérés par l'enfant (en se basant sur une ingestion quotidienne de lait de 150 ml/kg/jour). Comme d'autres pilules progestatives, ANTIGONE peut être utilisé pendant l'allaitement.
Des données à long terme limitées sont disponibles chez les enfants, dont les mères ont commencé à prendre du désogestrel entre la 4ème et la 8ème semaine du post-partum. Ils ont été allaités pendant 7 mois et suivis jusqu'à l'âge de 1 an et demi (n = 32) ou deux ans et demi (n = 14). L'évaluation de la croissance, du développement physique et psychomoteur n'a montré aucune différence comparativement aux enfants allaités dont les mères avaient utilisé un dispositif intra-utérin (DIU) au cuivre. D'après les données disponibles, ANTIGONE peut être utilisé pendant l'allaitement. Néanmoins, le développement et la croissance de l'enfant nourri au sein dont la mère utilise ANTIGONE devront être suivis attentivement.
Fertilité
ANTIGONE est indiqué pour prévenir la grossesse. Pour toute information concernant le retour à la fertilité (ovulation), voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques.
En présence de l'une des affections ou de l'un des facteurs de risque mentionnés ci-dessous, les bénéfices de l'utilisation d'un progestatif devront être mesurés par rapport aux risques éventuels pour chaque patiente et discutés avec celle-ci avant qu'elle ne décide de commencer ANTIGONE. En cas d'aggravation, d'exacerbation ou d'une première apparition de l'une de ces affections, la patiente devra contacter son médecin. Le médecin devra alors décider de l'arrêt éventuel de l'utilisation d'ANTIGONE.
Cancer du sein :
Le risque de cancer du sein augmente généralement avec l'âge. Durant l'utilisation de contraceptifs oraux combinés (COCs), le risque de diagnostic d'un cancer du sein est légèrement augmenté. L'augmentation de ce risque disparaît progressivement dans les 10 ans qui suivent l'arrêt du traitement et n'est pas liée à la durée d'utilisation mais à l'âge de la femme au moment de cette utilisation. Le nombre de cas diagnostiqués attendus pour 10 000 femmes utilisant des COCs (jusqu'à 10 ans après l'arrêt du traitement), comparé aux femmes n'ayant pas pris de COCs durant la même période a été calculé pour chaque classe d'âge et est présenté dans le tableau ci-dessous :
Classe d'âge | Nombre de cas attendus chez les femmes utilisant des COCs | Nombre de cas attendus chez les femmes n'utilisant pas de COCs |
16-19 ans | 4,5 | 4 |
20-24 ans | 17,5 | 16 |
25-29 ans | 48,7 | 44 |
30-34 ans | 110 | 100 |
35-39 ans | 180 | 160 |
40-44 ans | 260 | 230 |
Le risque chez les utilisatrices de contraceptifs uniquement progestatifs, tel qu'ANTIGONE, est potentiellement similaire à celui associé à la prise de COCs. Cependant, pour une contraception uniquement progestative, les preuves sont moins concluantes. Comparée au risque de développer un cancer du sein au cours de la vie, l'augmentation du risque associée aux COCs est faible. Les cas de cancer du sein diagnostiqués chez les utilisatrices de COCs ont tendance à être moins avancés que chez les femmes qui n'en ont pas pris. L'augmentation du risque chez les utilisatrices de COCs peut être due à un diagnostic plus précoce, à des effets biologiques de la pilule ou à l'association des deux.
Troubles hépatiques :
Un effet biologique des progestatifs sur le cancer du foie ne pouvant être exclu, le rapport bénéfice/risque doit être évalué individuellement chez les femmes atteintes d'un cancer du foie.
En cas de troubles hépatiques aigus ou chroniques, la patiente devra être adressée à un spécialiste pour examen et conseil.
Thromboses :
Des études épidémiologiques ont associé l'utilisation des COCs à une augmentation de l'incidence de thrombose veineuse (accidents thrombo-emboliques veineux, thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire). Bien que la pertinence clinique de ce résultat pour le désogestrel utilisé comme contraceptif en l'absence d'un estrogène ne soit pas connue, ANTIGONE doit être arrêtée en cas de thrombose. L'arrêt d'ANTIGONE doit aussi être envisagé en cas d'immobilisation à long terme liée à une intervention chirurgicale ou à une maladie. Les femmes ayant des antécédents de troubles thrombo-emboliques veineux doivent être averties de la possibilité d'une récidive.
Patientes diabétiques :
Bien que les progestatifs puissent avoir un effet sur la résistance périphérique à l'insuline et sur la tolérance au glucose, il n'existe aucun élément démontrant la nécessité de modifier le schéma posologique chez les femmes diabétiques utilisant des pilules ne contenant que des progestatifs. Cependant, les patientes diabétiques doivent être attentivement surveillées durant les premiers mois d'utilisation d'ANTIGONE.
Patientes hypertendues :
Si une hypertension artérielle persistante se développe au cours de l'utilisation d'ANTIGONE, ou si une augmentation significative de la pression artérielle ne répond pas convenablement à un traitement antihypertenseur, l'arrêt d'ANTIGONE doit être envisagé.
Autres affections :
Le traitement par ANTIGONE conduit à une diminution du taux sérique d'estradiol à un niveau correspondant à celui observé au début de la phase folliculaire. A ce jour, on ne sait pas si cette diminution a un effet clinique pertinent sur la densité minérale osseuse.
Avec les pilules traditionnelles uniquement progestatives, la protection vis-à-vis des grossesses ectopiques n'est pas aussi bonne qu'avec les COCs, en raison de la survenue fréquente d'ovulations au cours de l'utilisation des pilules uniquement progestatives. Bien qu'ANTIGONE inhibe l'ovulation de façon constante, une grossesse ectopique doit être envisagée pour le diagnostic différentiel si la femme présente une aménorrhée ou des douleurs abdominales.
Un chloasma peut occasionnellement survenir, notamment chez les femmes ayant présenté un antécédent de chloasma gravidique. Les femmes ayant tendance à avoir des chloasmas doivent éviter de s'exposer au soleil ou aux rayons UV lors de la prise d'ANTIGONE.
Les affections suivantes ont été rapportées à la fois pendant la grossesse et pendant l'utilisation de stéroïdes sexuels, mais une corrélation avec la prise des progestatifs n'a pas été établie : ictère et/ou prurit lié à une cholestase, formation de calculs biliaires, porphyrie, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique urémique, chorée de Sydenham, herpès gestationnel, perte d'audition liée à une otospongiose, angioedème (héréditaire).
L'état dépressif et la dépression sont des effets indésirables bien connus liés à l'utilisation de contraceptifs hormonaux (voir rubrique Effets indésirables). La dépression peut être grave et constitue un facteur de risque bien connu de comportement suicidaire et de suicide. Il convient de conseiller aux femmes de contacter leur médecin en cas de changements d'humeur et de symptômes dépressifs, y compris peu de temps après le début du traitement.
ANTIGONE contient 67,25 mg de lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Diminution de l'efficacité
L'efficacité d'ANTIGONE peut être diminuée en cas d'oubli de comprimés (voir rubrique Posologie et mode d'administration), de troubles gastro- intestinaux (voir rubrique Posologie et mode d'administration) ou de traitements concomitants qui diminuent la concentration plasmatique d'étonogestrel, le métabolite actif du désogestrel (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Examens biologiques
Les données obtenues avec les COCs ont montré que les stéroïdes contraceptifs peuvent affecter les résultats de certains tests biologiques, dont les paramètres biochimiques hépatiques, les tests thyroïdiens, les tests des fonctions surrénaliennes et rénales, les taux sériques de protéines (porteuses) telles que la corticosteroid binding globulin (CBG) et les fractions lipidiques/lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme des glucides ainsi que les paramètres de la coagulation et de la fibrinolyse. Les modifications restent généralement dans les limites de la normale. Toutefois, on ne sait pas si elles s'appliquent aussi aux contraceptifs uniquement progestatifs.
Trouble du cycle menstruel
Trouble hépatique
Immobilisation prolongée
Intervention chirurgicale
Diabète
Hypertension
Augmentation de la pression artérielle
Aménorrhée
Douleur abdominale
Antécédent de chloasma gravidique
Dépression
Changement d'humeur
Symptôme dépressif
Vomissement
Diarrhée
Saignement vaginal
Insuffisance rénale
Insuffisance hépatique
Allaitement
ANTIGONE n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Interactions
Remarque : Les informations de prescriptions concomitantes de médicaments devraient être consultées pour identifier les interactions potentielles.
Effets des autres médicaments sur ANTIGONE
Les interactions peuvent se produire avec des médicaments qui induisent des enzymes microsomiales, lesquelles peuvent conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles et peuvent entrainer des saignements inter menstruels et/ou un échec de la contraception.
Management
L'induction enzymatique peut se produire après quelques jours de traitement.
L'induction enzymatique maximale est généralement observée dans les quelques semaines qui suivent.
Après l'arrêt de la prise, l'induction enzymatique peut durer 4 semaines.
Traitement à court terme
Les femmes traiter par des médicaments inducteurs enzymatiquse ou des produits à base de plantes médicinales doivent être averties que l'efficacité d'ANTIGONE peut être diminuée.
Une méthode contraceptive mécanique devrait être utilisée en plus d'ANTIGONE.
La méthode contraceptive mécanique doit être utilisée pendant toute la durée du traitement médicamenteux concomitant et pendant 28 jours après l'arrêt du médicament inducteur d'enzyme hépatique.
Traitement à long terme
Pour les femmes sous traitement prolongé par des médicaments inducteurs enzymatiques, une méthode de contraception alternative non affectée par des médicaments inducteurs enzymatiques doit être envisagée.
Substances augmentant la clairance des hormones contraceptives (diminution de l'efficacité contraceptive par induction enzymatique) :
Barbituriques, bosentan, carbamazépine, phénytoïne, primidone, rifampicine, éfavirenz et éventuellement aussi felbamate, griséofulvine, oxcarbazépine, topiramate, rifabutine et les produits contenant le remède à base de plantes médicinales millepertuis (hypericum perforatum).
Substances ayant des effets variables sur la clairance des hormones contraceptives
Lorsque co-administrés avec des contraceptifs hormonaux, plusieurs combinaisons d'inhibiteurs de la protéase du VIH (par exemple ritonavir, nelfinavir) et d'inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (par exemple névirapine) et / ou de combinaisons avec des médicaments contre le virus de l'hépatite C (Vaccocrevir, télaprévir), peuvent augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques des progestatifs. L'effet net de ces changements peut être cliniquement pertinent dans certains cas.
Par conséquent, les informations de prescription des médicaments concomitants VIH / VHC devraient être consultées pour identifier les interactions potentielles et les recommandations liées. En cas de doute, une méthode contraceptive mécanique supplémentaire doit être utilisée par les femmes sous inhibiteurs de la protéase ou les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse.
Substances diminuant la clairance des hormones contraceptives (inhibiteurs d'enzymes) L'administration concomitante d'inhibiteurs puissants (par exemple kétoconazole, itraconazole, clarithromycine) ou modérés (par exemple, fluconazole, diltiazem, érythromycine) du CYP3A4 peut augmenter les concentrations sériques de progestatifs, y compris l'étonogestrel, le métabolite actif du désogestrel.
Effets d'ANTIGONE sur d'autres médicaments
Les contraceptifs hormonaux peuvent interférer avec le métabolisme d'autres médicaments.
En conséquence, les concentrations plasmatiques et tissulaires d'autres substances actives peuvent augmenter (par exemple ciclosporine) ou diminuer.
Q/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
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Télécharger le documentNoyau du comprimé : Silice colloïdale, Alpha-tocophérol, Lactose monohydraté, Amidon de maïs, Povidone, Stéarique acide, Pelliculage : Hypromellose, Macrogol 6000, Propylène glycol, Talc, Titane dioxyde
BESINS INTERNATIONAL
13 rue Périer
92120
MONTROUGE
Code UCD7 : 9389867
Code UCD13 : 3400893898673
Code CIS : 64520387
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : BESINS INTERNATIONAL
Laboratoire exploitant : BESINS INTERNATIONAL
Prix vente TTC : 2.94€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 2.94€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 27/09/2012
Rectificatif AMM : 27/09/2024
Marque : ANTIGONE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400922474373
Référence LPPR : Aucune
ANTIGONE Gé 75 microgrammes, comprimé pelliculé, boîte de 1 plaquette de 28 (détails indisponibles)
ANTIGONE Gé 75 microgrammes, comprimé pelliculé, boîte de 2 plaquettes de 28 (détails indisponibles)
CERAZETTE 0,075 mg, comprimé pelliculé, boîte de 1 plaquette de 28
CERAZETTE 0,075 mg, comprimé pelliculé, boîte de 3 plaquettes de 28
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