BUSPIRONE

Principes actifs : Buspirone chlorhydrate

Les gammes de produits

BUSPIRONE SANDOZ 10 mg cp séc

Remboursable

Sur prescription seulement

Anxiété réactionnelle
Anxiété au cours des névroses
Hystérie

Forme :

 Comprimé sécable

Catégories :

 Neurologie-psychiatrie, Anxiolytiques, Buspirone

Principes actifs :

 Buspirone chlorhydrate

Posologie pour BUSPIRONE SANDOZ 10 mg cp séc

Indications

Anxiété réactionnelle, Anxiété au cours des névroses, Hystérie, Hypocondrie, Phobie, Anxiété associée à une affection somatique sévère ou douloureure, Anxiété généralisée

Posologie

Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial (implicite)
½ comprimé 3 fois par jour pendant 6 semaines. Maximum 6 comprimés par jour. A prendre au même moment de la journée.

Adulte de plus de 18 ans . Anxiété généralisée
½ comprimé 3 fois par jour pendant 12 semaines. Maximum 6 comprimés par jour. A prendre au même moment de la journée.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement d'entretien
2 comprimés par jour pendant 6 semaines. Maximum 6 comprimés par jour. A répartir en 2 ou 3 prises.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

EVITER DE CONSOMMER du jus de pamplemousse pendant le traitement.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence, sensations de vertige ou d'ivresse).
PRUDENCE en cas de prise de préparation à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).

Contre-indications pour BUSPIRONE SANDOZ 10 mg cp séc

  • Insuffisance rénale (Clcr < 20 ml/mn)
  • Anurie
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Intoxication alcoolique aiguë
  • Epilepsie
  • Patient de moins de 6 ans
  • Allaitement
  • Patient de 6 à 18 ans
  • Intolérance au lactose
  • Grossesse
  • Travail de l'accouchement
  • Accouchement
  • Absence de contraception féminine efficace

Effets indésirables pour BUSPIRONE SANDOZ 10 mg cp séc

Niveau d’apparition des effets indésirables

Très fréquent

Céphalée

Vertige

Somnolence

Acouphènes

Congestion nasale

Constipation

Diarrhée

Douleur abdominale

Douleur thoracique

Fatigue

Insomnie

Nervosité

Tachycardie

Dépression

Colère

Confusion

Paresthésie

Sécheresse buccale

Tremblement

Vision floue

Vomissement

Trouble de la coordination

Trouble du sommeil

Douleur musculosquelettique

Rash cutané

Douleur pharyngolaryngée

Troubles de l'attention

Sueur froide

Ecchymose

Oedème de Quincke

Urticaire

Agitation

Convulsions

Galactorrhée

Rétention urinaire

Syncope

Ataxie

Dyskinésie

Dystonie

Dépersonnalisation

Akathisie

Syndrome sérotoninergique

Labilité émotionnelle

Syndrome des jambes sans repos

Amnésie

Trouble psychotique

Parkinsonisme

Trouble extrapyramidal

Hallucination

Phénomène de roue dentée

Vision en tunnel

Etourdissement

Nausée


Les effets indésirables de la buspirone sont généralement observés en début de traitement et tendent habituellement à diminuer ou à disparaitre avec la poursuite du traitement et/ou la diminution de la posologie.

Expérience clinique

Lors des essais cliniques, les effets indésirables les plus souvent observés chez les patients ayant reçu de la buspirone ont été des vertiges, des maux de tête, une nervosité, des étourdissements, des nausées, une agitation, et une transpiration / moiteur. Ces effets sont survenus avec une fréquence significativement plus élevée (p < 0,10) dans le groupe « buspirone » comparé au groupe placebo.

Les effets indésirables listés ci-dessous sont présentés par Classe de Systèmes d'Organes selon la terminologie MedDRA, et la fréquence de survenue est définie de la façon suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000 à < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000 à < 1/1000) ; très rare (< 1/10 000) et fréquence indéterminée (ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles).

Troubles psychiatriques

Fréquent: nervosité, insomnie, troubles de l'attention, dépression, confusion, troubles du sommeil, colère.

Très rare: troubles psychotiques, hallucination, dépersonnalisation, labilité émotionnelle.

Affections du système nerveux

Très fréquent: vertiges *, céphalées, somnolence.

Fréquent: paresthésie, vision floue, troubles de la coordination, tremblements, acouphènes.

Très rare: syndrome sérotoninergique, convulsions, vision en tunnel, troubles extrapyramidaux, phénomène de la roue dentée, dyskinésie, dystonie, syncope, amnésie, ataxie, parkinsonisme, akathisie, syndrome des jambes sans repos, agitation.

Affections cardiaques

Fréquent: tachycardie, douleur thoracique.

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Fréquent: congestion nasale, douleur pharyngo-laryngée.

Affections gastro-intestinales

Fréquent: nausées, douleurs abdominales, sécheresse de la bouche, diarrhée, constipation, vomissements.

Troubles de la peau et du tissu sous-cutané

Fréquent: sueurs froides, rash cutané.

Rare: oedème de Quincke, ecchymoses, urticaire.

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Fréquent: douleurs musculo-squelettiques.

Affections du rein et des voies urinaires

Très rare : Rétention urinaire.

Affections des organes de reproduction et du sein

Très rare: galactorrhée.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Fréquent: fatigue.

* Vertiges incluant des étourdissements.

Déclaration des effets indésirables suspectés.

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr.

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Grossesse et allaitement pour le BUSPIRONE SANDOZ 10 mg cp séc

Grossesse

Il n'y a peu ou pas de données sur l'utilisation de la buspirone chez la femme enceinte. Les études chez l'animal n'ont pas montré d'effets néfastes directs ou indirects de la toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité précliniques).

Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter une exposition à la buspirone au cours de la grossesse.

L'effet de la buspirone sur le travail et l'accouchement n'est pas connu.

Allaitement

On ignore si la buspirone ou son (ses) métabolite / métabolites sont excrétés dans le lait maternel.

Une décision doit être prise, soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre / de s'abstenir du traitement par la buspirone en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la femme


Mise en garde pour BUSPIRONE SANDOZ 10 mg cp séc

Mise en garde

L'administration de la buspirone à un patient prenant un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO) peut présenter un danger. La survenue d'une augmentation de la pression artérielle a été rapportée lorsque la buspirone était associée à un traitement comprenant un IMAO. Par conséquent, il est recommandé que la buspirone ne soit pas utilisée en association avec un IMAO.

La buspirone doit être utilisée avec précaution chez les patients souffrant de :

· glaucome aigu par fermeture d'angle,

· myasthénie grave,

· dépendance,

· insuffisance hépatique ou rénale.

La buspirone ne doit pas être utilisée seule dans le traitement de la dépression, et peut potentiellement masquer les signes cliniques de la dépression.

Population pédiatrique

La sécurité à long terme et l'efficacité de la buspirone n'ont pas été déterminées chez les personnes de moins de 18 ans. La buspirone n'est pas recommandée chez les enfants et les adolescents (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Potentiel d'abus et de dépendance

Les études chez l'homme et l'animal n'ont pas montré de risque potentiel de dépendance ou d'abus avec la buspirone.

Risque d'apparition d'un syndrome de sevrage chez les patients dépendants aux sédatifs/hypnotiques/anxiolytiques

La buspirone ne potentialise pas la tolérance croisée avec les benzodiazépines et les autres sédatifs ou hypnotiques connus. Le phénomène de sevrage à l'arrêt de ces médicaments ne sera donc pas inhibé. Par conséquent, avant de commencer un traitement par la buspirone, il est conseillé d'arrêter progressivement ces médicaments, particulièrement pour les patients qui ont pris un médicament dépresseur du système nerveux central (SNC) en traitement chronique.

Toxicité à long terme

Le mécanisme d'action n'étant pas totalement élucidé, la toxicité à long terme sur le SNC ainsi que sur d'autres organes ne peut être prédite.

Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires

rares) ne doivent pas prendre ce médicament..

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé sécable, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».

Précautions d'emploi

Dépression

Glaucome aigu par fermeture de l'angle

Myasthénie grave

Dépendance médicamenteuse

Patiente en âge de procréer

Insuffisance rénale (20 < Clcr < 50 ml/mn)

Insuffisance hépatique légère à modérée

Cirrhose hépatique

Aptitude à conduire

La buspironea une influencemodérée sur l'aptitudeàconduire des véhicules età utiliser des machines. L'attention estattirée sur le risque de survenue de somnolence ou de vertigeinduits parce médicament(voir rubrique Effets indésirables).

Interaction avec d'autre médicaments

L'utilisation concomitante de la buspirone avec d'autres médicaments agissant sur le SNC doit être abordée avec précaution.

Associations déconseillées

Inhibiteurs de la MAO

L'administration concomitante d'inhibiteurs de la MAO peut entraîner une augmentation de la pression artérielle. L'administration concomitante d'inhibiteurs de la MAO et de la buspirone n'est donc pas recommandée (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).

Erythromycine

L'administration concomitante de la buspirone (10 mg en dose unique) et de l'érythromycine (1,5 g une fois par jour pendant quatre jours) chez des volontaires sains a augmenté les concentrations plasmatiques de buspirone (la Cmax a augmenté de 5 fois et l'ASC de 6 fois). En cas d'administration concomitante, une faible dose de la buspirone (par exemple, 2,5 mg deux fois par jour) est recommandée. Les ajustements posologiques ultérieurs de chaque médicament doivent se baser sur la réponse clinique du patient

Itraconazole

L'administration concomitante de la buspirone (10 mg en dose unique) et de l'itraconazole (200 mg une fois par jour pendant quatre jours) chez des volontaires sains a augmenté les concentrations plasmatiques de la buspirone (la Cmax a augmenté de 13 fois et l'ASC de 19 fois). Si la buspirone et l'itraconazole doivent être utilisées en association, une faible dose de la buspirone (par exemple, 2,5 mg une fois par jour) est recommandée. Les ajustements posologiques ultérieurs de chaque médicament doivent se baser sur la réponse clinique du patient.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

Diltiazem

L'administration concomitante de la buspirone (10 mg en dose unique) et du diltiazem (60 mg trois fois par jour) chez des volontaires sains a augmenté les concentrations plasmatiques de la buspirone (la Cmax a augmenté de 5,3 fois et l'ASC de 4 fois). Certains effets de la buspirone peuvent être ainsi majorés lors de l'administration concomitante du diltiazem et de la buspirone. Un ajustement posologique de chaque médicament doit se baser sur la réponse clinique du patient.

Vérapamil

L'administration concomitante de la buspirone (10 mg en dose unique) et du vérapamil (80 mg trois fois par jour) chez des volontaires sains a augmenté les concentrations plasmatiques de la buspirone (la Cmax et l'ASC ont augmenté de 3,4 fois). Une majoration des effets et de la toxicité peut être observée lorsque la buspirone est administrée avec le vérapamil. Les ajustements posologiques ultérieurs de chaque médicament doivent se baser sur la réponse clinique du patient.

Rifampicine

La rifampicine induit le métabolisme de la buspirone par le CYP3A4. Par conséquent, l'administration concomitante de la buspirone (30 mg en dose unique) et de la rifampicine (600 mg une fois par jour pendant 5 jours) chez des volontaires sains a diminué les concentrations plasmatiques (la Cmax diminuée de 84 % et l'ASC diminuée de 90 %) et l'effet pharmacodynamique de la buspirone.

Associations à prendre en compte

ISRS

La combinaison de la buspirone et des inhibiteurs séléctifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) a été testée dans plusieurs essais cliniques sur plus de 300.000 patients. Bien qu'aucune toxicité sévère n'ait été observée, il y a eu de rares cas de convulsions chez les patients qui ont reçu un ISRS et de la buspirone en même temps.

Des cas de convulsions ont été rapportés chez les patients recevant un traitement associant la buspirone et un ISRS.

La Buspirone doit être utilisée avec précaution en association avec des médicaments agissant sur le système sérotoninergique (incluant les IMAO, le L-tryptophane, les triptans, le tramadol, le linézolide, les ISRS, le lithium et le millepertuis) en raison de la possibilité de survenue de syndrome sérotoninergique. Si cela est suspecté, le traitement par la buspirone doit être immédiatement interrompu et un traitement symptomatique d'appoint doit être instauré.

Fixation aux protéines

La buspirone peut déplacer de leur site de fixation les substances liées aux protéines plasmatiques comme la digoxine.

Néfazodone

La coadministration de la buspirone (2,5 ou 5 mg deux fois par jour ) et de la néfazodone (250 mg deux fois par jour) chez des volontaires sains a entraîné une réelle augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone (jusqu'à 20 fois pour la Cmax et jusqu'à 50 fois pour l'ASC) et une diminution statistiquement significative (environ 50 %) des concentrations plasmatiques du métabolite de la buspirone, le 1- pyrimidinylpiperazine. Avec des doses de 5 mg deux fois par jour de buspirone, de faibles augmentations de l'AUC ont été observées pour la néfazodone (23 %) et ses métabolites l'hydroxynéfazodone (HO-NEF) (17 %) et le mCPP (9 %). De faibles augmentations de la Cmax ont été observées pour la néfazodone (8 %) et son métabolite le HO-NEF (11 %).

Les effets indésirables observés chez les sujets recevant de la buspirone associée à de la néfazodone 250 mg deux fois par jour sont similaires à ceux des sujets recevant le médicament seul. Les sujets recevant la buspirone à la posologie de 5 mg deux fois par jour et la néfazodone 250 mg deux fois par jour ont eu des effets indésirables tels que étourdissement, asthénie, vertige et somnolence. Il est recommandé que la dose de buspirone soit réduite lorsqu'il est administré avec de la néfazodone. Les ajustements posologiques ultérieurs de chaque médicament doivent se baser sur la réponse clinique du patient.

Jus de pamplemousse

L'administration concomitante du jus de pamplemousse chez des volontaires sains a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone (la Cmax de 4,3 fois et l'ASC de 9,2 fois). L'administration concomitante de la buspirone 10 mg et du jus de pamplemousse (double dose de 200 mL pour 2 jours) chez des volontaires sains a augmenté les concentrations plasmatiques de la buspirone (la Cmax a augmenté de 4,3 fois et l'ASC de 9,2 fois).

D'autres inhibiteurs et les inducteurs du CYP3A4

Lors d'une administration avec un inhibiteur puissant du CYP3A4, il est recommandé d'utiliser une faible dose de buspirone avec précaution. Lors d'une association avec un inducteur puissant du CYP3A4, par exemple, le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, le millepertuis, un ajustement de la posologie de la buspirone peut être nécessaire pour maintenir l'effet anxiolytique de la buspirone.

Fluvoxamine

Dans le traitement à court terme avec la fluvoxamine et la buspirone, les concentrations plasmatiques de la buspirone sont multipliées par deux par rapport aux concentrations plasmatiques relevées lors d'un traitement avec la buspirone seule.

Trazodone

L'administration concomitante de la trazodone a montré une augmentation de 3 à 6 fois des taux d'ALAT chez certains patients.

Cimétidine

L'administration concomitante de la buspirone et de la cimétidine a montré une légère augmentation du métabolite de la buspirone, la 1-(2-pyrimidinyl) pipérazine. En raison de la fixation aux protéines plasmatiques de la buspirone (environ 95 %), la prudence est recommandée lorsque des médicaments à forte liaison protéique sont administrés en même temps.

Le baclofène, la lofexidine, la nabilone et les antihistaminiques peuvent accroître un effet sédatif.

Les effets de la buspirone sur d'autres médicaments

Diazepam

Après ajout de la buspirone au traitement par le diazepam, aucune différence statistiquement significative dans les paramètres pharmacocinétiques à l'état d'équilibre (Cmax, AUC et Cmin) n'a été observée pour le diazépam, mais des augmentations d'environ 15 % ont été constatées pour le nordiazépam, et des effets indésirables mineurs (vertiges, maux de tête et nausées) ont été observés.

Halopéridol

L'administration concomitante de l'halopéridol et de la buspirone peut augmenter les concentrations sériques de l'halopéridol.

Digoxine

Chez l'homme, environ 95 % de la buspirone est liée aux protéines plasmatiques. In vitro, la buspirone ne déplace pas les médicaments à liaison étroite (par exemple la warfarine) des protéines sériques. Cependant, in vitro, la buspirone peut déplacer moins fortement les médicaments liés aux protéines comme la digoxine. La signification clinique de cette propriété est inconnue.

Il a été rapporté des augmentations du temps de prothrombine après l'ajout de la buspirone à un traitement contenant de la warfarine.


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Excipients

Calcium hydrogénophosphate, Cellulose microcristalline, Lactose monohydraté, Amidon de maïs, Carboxyméthylamidon sodique, Magnésium stéarate, Silice colloïdale

Exploitant / Distributeur

SANDOZ

9 Place Marie-Jeanne BASSOT

92593

LEVALLOIS PERRET

Code UCD7 : 9291536

Code UCD13 : 3400892915364

Code CIS : 63305905

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : SANDOZ

Laboratoire exploitant : SANDOZ

Prix vente TTC : 3.52€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui

Base de remboursement : 3.52€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 06/01/1999

Rectificatif AMM : 02/09/2020

Marque : BUSPIRONE

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400937665537

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

BUSPAR 10 mg, comprimé sécable, étui de 20 (détails indisponibles)

Comprimé sécable

BUSPIRONE SANDOZ 10 mg, comprimé sécable, boîte de 20 (détails indisponibles)

Comprimé sécable

BUSPIRONE TEVA 10 mg, comprimé sécable, boîte de 20 (détails indisponibles)

Comprimé sécable

BUSPIRONE VIATRIS 10 mg, comprimé sécable, boîte de 20

Comprimé sécable

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