DAILY
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé enrobé
Catégories :
Contraception et interruption de grossesse, Contraception hormonale, Estroprogestatifs combinés, Minidosés : = < 0,04 mg d'éthinylestradiol, Triphasiques, Contraceptif triphasique : Lévonorgestrel + Ethinylestradiol**
Principes actifs :
6 comprimés roses :, Lévonorgestrel, Ethinylestradiol, 5 comprimé blancs :, Lévonorgestrel, Ethinylestradiol, 10 comprimés jaunes :, Lévonorgestrel, Ethinylestradiol
Contraception orale
Adulte Femme . en âge de procréer. Contraception orale (implicite)
1 comprimé 1 fois par jour au même moment de la journée à prendre régulièrement et sans oubli pendant 21 jours.
Puis arrêt pendant 7 jours.
Voie orale
CONSULTER immédiatement un médecin
en cas de :
- Gonflement d'une jambe ou le long
d'une veine de la jambe et/ou du pied, en particulier s'il s'accompagne de
douleur ou sensibilité dans la jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position
debout ou lors de la marche, sensation de chaleur dans la zone atteinte,
changement de couleur de la peau de la zone atteinte, devenant par ex. bleutée
ou rougeâtre.
- Douleur abdominale
intense et soudaine (dans le cas d'une atteinte abdominale).
- Apparition soudaine et inexpliquée d'un
essoufflement ou d'une respiration rapide.
- Toux inhabituelle, de survenue
brutale, sans cause évidente avec parfois des crachats de sang.
- Douleur aiguë dans la poitrine,
gêne, pression, lourdeur dans la poitrine irradiant vers le dos, la mâchoire,
la gorge, le bras, l'estomac.
- Etourdissements ou sensations
vertigineuses sévères.
- Battements de coeur
rapides ou irréguliers.
- Douleur abdominale intense et
soudaine.
- Perte immédiate de la vision ou
vision trouble pouvant évoluer vers une perte de la vision.
- Sensation d'oppression ou
d'encombrement dans la poitrine, le bras ou sous le sternum ; sensation
d'encombrement, d'indigestion ou de suffocation ; transpiration, nausées,
vomissements ou sensations vertigineuses ; faiblesse, anxiété ou essoufflement
extrêmes.
- Faiblesse ou engourdissement au
niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, en particulier d'un côté du corps.
- Confusion, difficultés à parler
ou à comprendre.
- Apparition soudaine de
difficultés à marcher, de sensations vertigineuses, d'une perte d'équilibre ou
de coordination.
- Maux de têtes soudains sévères,
prolongés et inhabituels sans cause connue.
- Perte de conscience ou
évanouissement avec ou sans crise convulsive.
- Réaction allergique grave :
respiration sifflante soudaine, difficulté respiratoire ou sensations
vertigineuses, gonflement des paupières, du visage, des lèvres ou de la gorge,
éruption cutanée, urticaire.
- Gonflement du visage, de la langue et/ou de la gorge et/ou difficultés à
avaler ou urticaire avec éventuellement des difficultés à respirer.
- Vomissements, diarrhée (qui peut être sanguinolente), fièvre, sensation de
faiblesse, diminution de la production d'urine.
- Douleur grave dans le haut du ventre, pouvant s'étendre dans le dos.
- Eruption cutanée avec des taches roses ou rouges, particulièrement sur la
paume des mains et la plante des pieds, avec éventuellement formation de
cloques. Cela peut s'accompagner d'ulcères au niveau de la bouche, des yeux ou
des organes génitaux, et de fièvre.
CONSULTER UN MEDECIN dès que possible en cas de changements d'humeur et de
symptômes dépressifs.
EVITER l'exposition au soleil ou
aux UV en cas de mélasme/chloasma apparu lors d'une grossesse ou sous
contraceptifs oraux estroprogestatifs.
NE PAS PRENDRE de millepertuis (Hypericum perforatum)
pendant le traitement (possibilité de diminuer l'efficacité contraceptive du
médicament).
INFORMER LE LABORATOIRE
de la prise de ce médicament en cas d'examen sanguin.
Alopécie
Ballonnement
Hirsutisme
Hypertension artérielle
Diminution de l'appétit
Augmentation de l'appétit
Augmentation de la pression artérielle
Mélasme
Rash cutané
Modification des lipides plasmatiques
Crampes abdominales
Chloasma
Troubles circulatoires
Thrombo-embolie veineuse
Réaction anaphylactique
Erythème noueux
Ictère cholestatique
Irritation oculaire par les lentilles de contact
Intolérance au glucose (dysglycémie)
Thrombo-embolie artérielle
Troubles respiratoires
Angioedème
Cholestase
Lithiase biliaire
Névrite optique
Pancréatite
Urticaire allergique
Erythème polymorphe
Syndrome hémolytique et urémique
Colite ischémique
Carcinome hépatocellulaire
Thrombose vasculaire rétinienne
Exacerbation d'une chorée
Exacerbation d'une porphyrie
Exacerbation d'un lupus érythémateux disséminé
Réduction des taux sériques de folates
Tumeur hépatique bénigne
Aggravation des varices
Candidose vaginale
Hépatite
Hypertriglycéridémie
Maladie de Crohn
Maladie inflammatoire du côlon
Dépression
Colite ulcéreuse
Adénome hépatique
Fonction hépatique anormale
Atteinte hépatocellulaire
Aggravation d'angioedème
Hyperplasie nodulaire hépatique focale
Les effets indésirables suivants ont été observés pendant le traitement par contraceptifs estroprogestatifs oraux :
Pour les effets indésirables graves, tels que les accidents thromboemboliques veineux et artériels, les cancers du col de l'utérus, les cancers du sein et les tumeurs hépatiques malignes, voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Une augmentation du risque d'événement thrombotique et thrombo-embolique artériel et veineux, incluant l'infarctus du myocarde, l'AVC, les accidents ischémiques transitoires, la thrombose veineuse et l'embolie pulmonaire, a été observée chez les femmes utilisant des CHC ; ceci est abordé plus en détails en rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet :https://signalement.social-sante.gouv.fr/
Voir plus
Grossesse
DAILY n'est pas indiqué pendant la grossesse.
En cas de découverte d'une grossesse sous ce médicament, son utilisation doit immédiatement être interrompue.
De nombreuses études épidémiologiques n'ont pas révélé d'augmentation du risque d'anomalies congénitales chez les enfants nés de femmes ayant utilisé un contraceptif oral avant la grossesse.
Aucun effet tératogène n'a été observé lorsqu'un contraceptif oral combiné a été pris par erreur en début de grossesse.
L'augmentation du risque de TEV en période post-partum doit être prise en compte lors de la reprise de DAILY (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Allaitement
En cas d'allaitement, l'utilisation de ce médicament est déconseillée en raison du passage des estroprogestatifs dans le lait maternel.
Si la femme désire allaiter, un autre moyen de contraception doit être proposé.
Mises en garde
Si la patiente présente l'un des troubles ou l'un des facteurs de risque mentionnés ci-dessous la pertinence du traitement par DAILY doit être discutée avec elle.
En cas d'aggravation ou de survenue de l'un de ces troubles ou facteurs de risque, la nécessité d'interrompre l'utilisation de DAILY doit être discutée entre le médecin et la patiente.
DAILY et Thrombose
Risque de thrombo-embolie veineuse (TEV)
Le risque de TEV est augmenté chez les femmes qui utilisent un contraceptif hormonal combiné (CHC) en comparaison aux femmes qui n'en utilisent pas. Les CHC contenant du lévonorgestrel (incluant DAILY), sont associés au risque de TEV le plus faible. La décision d'utiliser DAILY doit être prise uniquement après concertation avec la patiente afin de s'assurer qu'elle comprend le risque de TEV associé à DAILY, l'influence de ses facteurs de risque actuels sur ce risque et le fait que le risque de TEV est maximal pendant la première année d'utilisation. Certaines données indiquent également une augmentation du risque lors de la reprise d'un CHC après une interruption de 4 semaines ou plus.
Parmi les femmes qui n'utilisent pas de CHC et qui ne sont pas enceintes, environ 2 sur 10 000 développeront une TEV sur une période d'un an. Cependant, chez une femme donnée, le risque peut être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque qu'elle présente (voir ci-dessous).
On estime que sur 10 000 femmes qui utilisent un CHC contenant du lévonorgestrel, environ 61 développeront une TEV sur une période d'un an.
[1] Point central de l'intervalle de 5-7 pour 10 000 années-femmes sur la base d'un risque relatif, pour les CHC contenant du lévonorgestrel par rapport à la non-utilisation d'un CHC, d'environ 2,3 à 3,6
Ce nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum.
La TEV peut être fatale dans 1 à 2 % des cas.
De façon extrêmement rare, des cas de thrombose ont été signalés chez des utilisatrices de CHC dans d'autres vaisseaux sanguins, p. ex. les veines et artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes.
Facteurs de risque de TEV
Le risque de complications thrombo-emboliques veineuses chez les utilisatrices de CHC peut être considérablement accru si d'autres facteurs de risque sont présents, en particulier si ceux-ci sont multiples (voir le tableau ci-dessous).
DAILY est contre-indiqué chez les femmes présentant de multiples facteurs de risque, ceux-ci les exposant à un risque élevé de thrombose veineuse (voir rubrique Contre-indications). Lorsqu'une femme présente plus d'un facteur de risque, il est possible que l'augmentation du risque soit supérieure à la somme des risques associés à chaque facteur pris individuellement - dans ce cas, le risque global de TEV doit être pris en compte. Si le rapport bénéfice/risque est jugé défavorable, le CHC ne doit pas être prescrit (voir rubrique Contre-indications).
Tableau : Facteurs de risque de TEV
Facteur de risque |
Commentaire |
Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²). |
L'élévation de l'IMC augmente considérablement le risque. Ceci est particulièrement important à prendre en compte si d'autres facteurs de risque sont présents. |
Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur
Remarque : l'immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens > 4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque. |
Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation de la pilule (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si DAILY n'a pas été interrompu à l'avance. |
Antécédents familiaux (thrombo- embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). |
En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de CHC. |
Autres affections médicales associées à la TEV |
Cancer, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique) et drépanocytose. |
Âge |
En particulier au-delà de 35 ans. |
Il n'existe aucun consensus quant au rôle éventuel joué par les varices et les thrombophlébites superficielles dans l'apparition ou la progression d'une thrombose veineuse.
L'augmentation du risque de thrombo-embolie pendant la grossesse, et en particulier pendant les 6 semaines de la période puerpérale, doit être prise en compte (pour des informations concernant « Grossesse et allaitement », voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement).
Symptômes de TEV (thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire)
Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et lui indiquer qu'elles utilisent un CHC. Les symptômes de la thrombose veineuse profonde (TVP) peuvent inclure :
Les symptômes de l'embolie pulmonaire (EP) peuvent inclure
Certains de ces symptômes (p. ex. « essoufflement », « toux ») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p. ex.).
Les autres signes d'une occlusion vasculaire peuvent inclure : douleur soudaine, gonflement et coloration légèrement bleutée d'une extrémité.
Si l'occlusion se produit dans l'œil, les symptômes peuvent débuter sous la forme d'une vision trouble indolore pouvant évoluer vers une perte de la vision. Dans certains cas, la perte de la vision peut survenir presque immédiatement.
Risque de thrombo-embolie artérielle (TEA)
Des études épidémiologiques ont montré une association entre l'utilisation de CHC et l'augmentation du risque de thrombo-embolie artérielle (infarctus du myocarde) ou d'accident cérébrovasculaire (p. ex. accident ischémique transitoire, AVC). Les événements thrombo-emboliques artériels peuvent être fatals.
Facteurs de risque de TEA
Le risque de complications thrombo-emboliques artérielles ou d'accident cérébrovasculaire chez les utilisatrices de CHC augmente avec la présence de facteurs de risque (voir le tableau). DAILY est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle (voir rubrique Contre-indications). Lorsqu'une femme présente plus d'un facteur de risque, il est possible que l'augmentation du risque soit supérieure à la somme des risques associés à chaque facteur pris individuellement - dans ce cas, le risque global doit être pris en compte. Si le rapport bénéfice/risque est jugé défavorable, le CHC ne doit pas être prescrit (voir rubrique Contre-indications).
Tableau : Facteurs de risque de TEA
Facteur de risque |
Commentaire |
Age. |
En particulier au-delà de 35 ans. |
Tabagisme. |
Il doit être conseillé aux femmes de ne pas fumer si elles souhaitent utiliser un CHC. Il doit être fortement conseillé aux femmes de plus de 35 ans qui continuent de fumer d'utiliser une méthode de contraception différente. |
Hypertension artérielle |
|
Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2). |
L'élévation de l'IMC augmente considérablement le risque. Ceci est particulièrement important à prendre en compte chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque. |
Antécédents familiaux (thrombo- embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). |
En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de CHC. |
Migraine. |
L'accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l'utilisation d'un CHC (qui peut être le prodrome d'un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d'arrêt immédiat du CHC. |
Autres affections médicales associées à des événements indésirables vasculaires |
Diabète, hyperhomocystéinémie, valvulopathie cardiaque et fibrillation auriculaire, dyslipoprotéinémie et lupus érythémateux disséminé |
Symptômes de TEA
Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et lui indiquer qu'elles utilisent un CHC.
Les symptômes d'un accident cérébrovasculaire peuvent inclure :
Des symptômes temporaires suggèrent qu'il s'agit d'un accident ischémique transitoire (AIT).
Les symptômes de l'infarctus du myocarde (IM) peuvent inclure :
DAILY et Tumeurs
Certaines études épidémiologiques suggèrent que les CHC pourraient être associés à une augmentation du risque de cancer du col de l'utérus chez les utilisatrices de CHC au long cours (> 5 ans). Il n'est cependant pas établi si ces pathologies sont dues à d'autres facteurs comme le comportement sexuel et le papillomavirus virus humain (HPV).
Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a conclu qu'il existe une légère augmentation du risque relatif (RR = 1,24)de cancer du sein chez les femmes sous contraception orale.Cette majoration du risque disparaît progressivement au cours des 10 ans qui suivent l'arrêt du CHC.
Le cancer du sein étant rare chez les femmes de moins de 40 ans, le nombre plus élevé de cancers diagnostiqués chez les utilisatrices habituelles ou nouvelles utilisatrices de CHC reste faible par rapport au risque global de cancer du sein.
Ces études ne permettent pas d'établir une relation de causalité.Il est possible que, chez les utilisatrices de CHC, cette augmentation du risque soit due à un diagnostic plus précoce du cancer du sein, aux effets biologiques de cette contraception ou à l'association des deux. Les cancers du sein diagnostiqués chez les utilisatrices ont tendance à être moins évolués cliniquement par rapport à ceux diagnostiqués chez des femmes n'en ayant jamais utilisé.
Dans de rares cas, des tumeurs bénignes du foie (par exemple : adénome hépatique, hyperplasie nodulaire focale), et dans de plus rares cas encore, des tumeurs malignes du foie ont été rapportées chez des utilisatrices de CHC.
Dans des cas isolés, ces tumeurs ont conduit à des hémorragies intra-abdominales mettant en jeu le pronostic vital. Chez les femmes sous CHC, la survenue de douleurs de la partie supérieure de l'abdomen, d'augmentation du volume du foie ou de signes d'hémorragie intra-abdominale doit faire évoquer une tumeur hépatique.
L'utilisation de CHC plus fortement dosés (50 µg éthinylestradiol) diminue le risque de cancer de l'endomètre et de l'ovaire. Ceci demande à être confirmé avec les CHC plus faiblement dosés.
Autres pathologies
Hypertriglycéridémie
Chez les femmes atteintes d'hypertriglycéridémie ou ayant des antécédents familiaux d'hypertriglycéridémie, un risque accru de pancréatite peut survenir en cas d'utilisation d'un CHC.
Hypertension artérielle
Une augmentation modérée de la pression artérielle a été observée chez de nombreuses femmes sous CHC mais elle était rarement cliniquement significative. Une interruption immédiate du CHC n'est justifiée que dans ces rares cas.
La persistance de chiffres tensionnels élevés ou le non-contrôle des chiffres tensionnels par un traitement antihypertenseur chez une femme hypertendue prenant un CHC doit faire interrompre celui-ci.
Le CHC pourra éventuellement être repris après normalisation des chiffres tensionnels par un traitement antihypertenseur.
Affections hépatiques
La survenue d'anomalies hépatiques aiguës ou chroniques peut nécessiter l'arrêt du CHC jusqu'à la normalisation des paramètres hépatiques.
Angioœdème
Les œstrogènes exogènes peuvent déclencher ou aggraver les symptômes d'un angioœdème héréditaire ou acquis.
Intolérance au glucose/Diabète
Les CHC peuvent avoir un effet sur la résistance périphérique à l'insuline et la tolérance au glucose ; il n'est cependant pas obligatoire de modifier le traitement chez des diabétiques utilisant un CHC faiblement dosé (contenant moins de 0,05 mg d'éthinylestradiol). Les femmes diabétiques doivent cependant être étroitement surveillées, en particulier lors de l'instauration d'un CHC.
Etat dépressif et dépression
L'état dépressif et la dépression sont des effets indésirables bien connus liés à l'utilisation de contraceptifs hormonaux (voir rubrique Effets indésirables). La dépression peut être grave et constitue un facteur de risque bien connu de comportement suicidaire et de suicide. Il convient de conseiller aux femmes de contacter leur médecin en cas de changements d'humeur et de symptômes dépressifs, y compris peu de temps après le début du traitement.
Autres
La récidive d'un ictère cholestatique et/ou d'un prurit liés à une cholestase survenue au cours d'une grossesse précédente ou de la prise antérieure d'hormones stéroïdiennes doit faire arrêter le CHC.
La survenue ou l'aggravation des pathologies suivantes a été observée au cours de la grossesse ou chez des femmes prenant des CHC, bien que la responsabilité des CHC n'ait pu être établie : ictère et/ou prurit dû à une cholestase, lithiase biliaire, porphyrie, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytico-urémique, chorée de Sydenham, herpès gravidique, hypoacousie par otosclérose.
Des cas d'aggravations de dépression endogène, d'épilepsie, de maladie de Crohn et de rectocolite hémorragique ont été observés sous CHC.
Un chloasma peut survenir, en particulier chez les femmes ayant des antécédents de chloasma gravidique. Les femmes ayant une prédisposition au chloasma sous CHC doivent éviter de s'exposer au soleil ou aux rayons ultra-violets.
Une attention particulière devra être portée aux patientes ayant une hyperprolactinémie.
Consultation/examen médical
Avant l'instauration ou la reprise d'un traitement par DAILY, une recherche complète des antécédents médicaux (y compris les antécédents familiaux) doit être effectuée et la présence d'une grossesse doit être exclue. La pression artérielle doit être mesurée et un examen physique doit être réalisé en ayant à l'esprit les contre-indications (voir rubrique Contre-indications) et les mises en garde (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Il est important d'attirer l'attention des patientes sur les informations relatives à la thrombose veineuse et artérielle, y compris le risque associé à DAILY comparé à celui associé aux autres CHC, les symptômes de la TEV et de la TEA, les facteurs de risque connus et la conduite à tenir en cas de suspicion de thrombose.
Il doit également être indiqué aux patientes de lire attentivement la notice et de suivre les conseils fournis. La fréquence et la nature des examens doivent être définies sur la base des recommandations en vigueur et adaptées à chaque patiente.
Les patientes doivent être averties que les contraceptifs hormonaux ne protègent pas contre l'infection par le VIH (SIDA) ni les autres maladies sexuellement transmissibles.
Examens biologiques
L'utilisation de contraceptifs hormonaux peut modifier les résultats de certains examens biologiques tels que : les tests fonctionnels hépatiques, thyroïdiens, surrénaliens et rénaux, le taux plasmatique des protéines (porteuses) comme la corticosteroid-binding globulin (CBG) et des fractions lipidiques/lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme glucidique, les paramètres de la coagulation et de la fibrinolyse. Les modifications restent en général dans les limites de la normale.
Diminution de l'efficacité
L'efficacité des CHC peut être réduite en cas d'oubli de comprimés actifs (voir rubrique Posologie et mode d'administration), de troubles gastro-intestinaux (voir rubrique Posologie et mode d'administration) ou de prise concomitante d'autres médicaments (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Troubles du cycle
Des saignements irréguliers (« spottings » ou métrorragies) peuvent survenir sous contraceptifs oraux, en particulier au cours des premiers mois. Ces saignements irréguliers seront considérés comme significatifs s'ils persistent après environ 3 cycles.
Si les saignements irréguliers persistent ou surviennent après des cycles réguliers, une recherche étiologique non hormonale doit alors être effectuée ; des examens diagnostiques appropriés doivent être pratiqués afin d'exclure une tumeur maligne ou une grossesse. Ces examens peuvent comporter un curetage.
Chez certaines femmes, les hémorragies de privation peuvent ne pas survenir au cours de l'intervalle libre. Si la contraception orale a été suivie telle que décrite dans la rubrique Posologie et mode d'administration, il est peu probable que la femme soit enceinte. Cependant, si la contraception orale n'a pas été suivie correctement avant l'absence de la première hémorragie de privation ou si deux hémorragies de privation successives ne se produisent pas, il convient de s'assurer de l'absence de grossesse avant de poursuivre cette contraception.
Excipients à effet notoire
Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Ce médicament contient du saccharose. Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Cancer
Lupus érythémateux disséminé
Syndrome hémolytico-urémique
Maladie de Crohn
Rectocolite hémorragique
Drépanocytose
Femme de plus de 35 ans
Migraine
Diabète
Hyperhomocystéinémie
Valvulopathie cardiaque
Fibrillation auriculaire
Dyslipoprotéinémie
Douleur de l'hypochondre droit
Augmentation du volume du foie
Hémorragie intra-abdominale
Angioedème
Anomalie hépatique (tests fonctionnels)
Antécédent d'ictère cholestatique de la grossesse
Antécédent de prurit gravidique
Dépression
Epilepsie
Changement d'humeur
Symptôme dépressif
Prédisposition au chloasma
Hyperprolactinémie
Trouble gastro-intestinal
Saignement irrégulier
Absence d'hémorragie de privation
Sujet de sexe féminin de 12 à 15 ans
Aucune étude sur l'aptitude à conduire et utiliser des machines n'a été réalisée. Il n'a pas été observé d'effets sur l'aptitude à conduire et à utiliser des machines chez les utilisatrices de CHC.
Les interactions entre les contraceptifs estroprogestatifs et d'autres substances peuvent conduire à une augmentation ou une diminution des concentrations plasmatiques d'estroprogestatifs.
La diminution des concentrations plasmatiques d'estroprogestatifs peut provoquer une augmentation de l'incidence des saignements intermenstruels et des irrégularités menstruelles et éventuellement réduire l'efficacité du contraceptif estroprogestatif.
Associations contre-indiquées+ Millepertuis
Diminution des concentrations plasmatiques du contraceptif hormonal, en raison de l'effet inducteur enzymatique du millepertuis, avec risque de baisse d'efficacité voire d'annulation de l'effet dont les conséquences peuvent être éventuellement graves (survenue d'une grossesse).
+ Produits contenant ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, dasabuvir +/- ribavirine, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir
Augmentation de l'hépatotoxicité.
Interactions pharmacodynamiques
Au cours des essais cliniques menés chez des patients traités pour une infection par le virus de l'hépatite C (VHC) et recevant des médicaments contenant ombitasvir/paritaprevir/ritonavir et dasabuvir, avec ou sans ribavirine, il a été observé des augmentations de transaminase (ALAT) supérieures à 5 fois la limite supérieure de la normale (LSN), significativement plus fréquentes chez les femmes utilisant des médicaments contenant de l'éthinylestradiol, tel que les contraceptifs hormonaux combinés (CHC).
De plus, chez des patients traités par le glecaprevir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprevir, des augmentations des ALAT ont été observées chez les femmes utilisant des médicaments contenant de l'éthinylestradiol tels que les CHC (voir la rubrique Contre-indications). Par conséquent, les utilisatrices de DAILY doivent changer de méthode de contraception (p. ex. contraceptif à base de progestatif seul ou méthodes non hormonales) avant de débuter un traitement avec ces associations de médicaments. DAILY peut être repris 2 semaines après la fin du traitement avec ces associations de médicaments.
+ Fostemsavir
L'utilisation concomitante de Fostemsavir augmente les concentrations d'éthinylestradiol avec un risque accru de complications thrombo-emboliques pour des doses d'éthinylestradiol > 30 µg/jour.
L'association n'ayant pas été étudiée aux doses > 30μg, la coadministration de DAILY contenant de l'éthinylestradiol à des doses de 40 μg d'éthinylestradiol, avec du fostemsavir est contre-indiquée (voir rubrique Contre-indications).
Associations déconseillées+ Inducteurs enzymatiques(apalutamide, carbamazepine, dabrafénib, efavirenz, enzalutamide, esclicarbazépine, fosphenytoine, létermovir, lorlatinib, lumacaftor, nevirapine, oxcarbazepine,, phenobarbital, phenytoine, pitolisant, primidone, rifabutine, rifampicine)
Diminution de l'efficacité contraceptive, par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par l'inducteur.
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif), pendant la durée de l'association et un cycle suivant l'arrêt de l'inducteur.
+ Lamotrigine (voir aussi ci-dessous Associations nécessitant des précautions d'emploi)
Diminution des concentrations et de l'efficacité de la lamotrigine par augmentation de son métabolisme hépatique.
Eviter de mettre en route une contraception orale pendant la période d'ajustement posologique de la lamotrigine.
+ Modafinil
Risque de diminution de l'efficacité contraceptive, pendant le traitement et un cycle après l'arrêt du traitement par le modafinil, en raison de son potentiel inducteur enzymatique
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif) pendant la durée de l'association et un cycle suivant l'arrêt du modafinil.
+ Inhibiteurs de protéases boostés par le Ritonavir(Atazanavir, darunavir, fosamprenavir, lopinavir, ritonavir, saquinavir, tipranavir).
Risque de diminution de l'efficacité contraceptive par diminution des concentrations en contraceptif hormonal, due à l'augmentation de son métabolisme hépatique par le ritonavir.
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif), pendant la durée de l'association et un cycle suivant l'arrêt du ritonavir.
+ Topiramate
Pour des doses de topiramate supérieures ou égales à 200 mg/jour : risque de diminution de l'efficacité contraceptive par diminution des concentrations en estrogène.
Si l'association s'avère nécessaire, utiliser une méthode additionnelle de type mécanique pendant la durée de l'association et un cycle suivant l'arrêt du topiramate.
+ Vémurafénib
Risque de diminution des concentrations des estroprogestatifs, avec pour conséquence un risque d'inefficacité.
+ Pérampanel
Pour des doses de Pérampanel supérieures ou égales 12 mg/jour : risque de diminution de l'efficacité contraceptive.
Utiliser de préférence une autre méthode contraceptive, en particulier de type mécanique.
+ Ulipristal
Dans l'indication contraception d'urgence :
Antagonisme des effets de l'ulipristal en cas de reprise d'un contraceptif hormonal moins de 5 jours après la prise de la contraception d'urgence.
Dans le cas où la (re)prise d'une contraception hormonale est envisagée, utiliser une contraception additionnelle de type mécanique pendant les 12 jours qui suivent la (dernière) prise de l'ulipristal (au cas où il y en aurait eu plus d'une).
Dans l'indication fibrome :
Antagonisme réciproque des effets de l'ulipristal et du progestatif, avec risque d'inefficacité.
Dans le cas où la (re)prise d'une contraception hormonale est envisagée, utiliser une contraception de type mécanique pendant les 7 premiers jours de la contraception hormonale.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi+ Bosentan
Diminution de l'efficacité contraceptive par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par le bosentan.
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif) pendant la durée de l'association et un cycle suivant l'arrêt du bosentan.
+ Griséofulvine
Diminution de l'efficacité contraceptive par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par la griséofulvine.
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif), pendant la durée de l'association, et un cycle suivant l'arrêt de la griséofulvine.
+ Lamotrigine
Diminution des concentrations et de l'efficacité de la lamotrigine par augmentation de son métabolisme hépatique.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la lamotrigine lors de la mise en route d'une contraception orale et après son arrêt.
+ Rufinamide
Diminution de l'efficacité contraceptive par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par le rufinamide
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif) pendant la durée de l'association, et un cycle suivant l'arrêt du rufinamide.
+ Elvitégravir
Diminution de l'efficacité contraceptive par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par l'elvitégravir.
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif) pendant la durée de l'association, et un cycle suivant l'arrêt de l'élvitégravir.
+ Aprépitant
Diminution de l'efficacité contraceptive par augmentation du métabolisme hépatique du contraceptif hormonal par l'aprépitant.
Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif) pendant la durée de l'association, et un cycle suivant l'arrêt de l'aprépitant.
+ Felbamate
Risque de diminution de l'efficacité contraceptive, pendant le traitement et un cycle après l'arrêt du traitement par le felbamate, en raison de son potentiel inducteur enzymatique. Utiliser une méthode additionnelle de type mécanique (préservatif) pendant la durée de l'association, et un cycle suivant l'arrêt du felbamate.
ADEPAL_MINIDRIL_TRINORDIOL_26062019_AVIS_CT16961
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PIERRE FABRE MEDICAMENT
Parc Industriel de la Chatreuse
81100
CASTRES
Code UCD7 : 9238737
Code UCD13 : 3400892387376
Code CIS : 63941294
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : PIERRE FABRE MEDICAMENT
Laboratoire exploitant : PIERRE FABRE MEDICAMENT
Prix vente TTC : 1.33€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui
Base de remboursement : 1.59€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 21/02/2002
Rectificatif AMM : 09/02/2024
Marque : DAILY
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400935884138
Référence LPPR : Aucune
AMARANCE Gé, comprimé enrobé, boîte de 3 plaquettes de 21
DAILY Gé, comprimé enrobé, boîte de 3 plaquettes de 21
EVANECIA Gé, comprimé enrobé, boîte de 1 plaquette de 21
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