DIVARIUS
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé sécable
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Antidépresseurs, Antidépresseurs non imipraminiques, non IMAO, Antidépresseurs inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), Paroxétine
Principes actifs :
Paroxétine
Episode dépressif majeur, Trouble obsessionnel compulsif, Trouble panique avec ou sans agoraphobie, Phobie sociale, Anxiété généralisée, Etat de stress post-traumatique
Sujet âgé . Traitement d'entretien (implicite)
1 comprimé le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson. Maximum 2 comprimés par jour.
Sujet âgé . Traitement d'entretien. Trouble panique avec ou sans agoraphobie
2 comprimés le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson. Maximum 2 comprimés par jour.
Sujet âgé . Traitement d'entretien. Trouble obsessionnel compulsif
2 comprimés le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson. Maximum 2 comprimés par jour.
Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial. Trouble panique avec ou sans agoraphobie
½ comprimé le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson.
Adulte de plus de 18 ans . Traitement initial. Trouble obsessionnel compulsif
1 comprimé le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson.
Adulte de 18 ans à 65 ans (implicite)
1 comprimé le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson. Maximum 2½ comprimés par jour.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement d'entretien. Trouble obsessionnel compulsif
2 comprimés le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson. Maximum 3 comprimés par jour.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement d'entretien. Trouble panique avec ou sans agoraphobie
2 comprimés le matin au cours du petit-déjeuner à avaler avec une boisson. Maximum 3 comprimés par jour.
Voie orale
Demander à un proche de vous signaler s'il pense que votre dépression ou
votre anxiété s'aggrave, ou s'il s'inquiète d'un changement de votre
comportement.CONSULTER
IMMEDIATEMENT LE MEDECIN OU ALLER DIRECTEMENT A L'HOPITAL en cas de :
- Idées suicidaires ou d'auto-agression.
- Saignement anormal (incluant vomissement de sang,
sang dans les selles, ou « bleus »).
- Saignements vaginaux abondants peu
après la naissance.
- Difficulté ou impossibilité d'uriner.
- Convulsions.
- Agitation, impatience des jambes, incapacité à rester assis ou
debout sans bouger.
- Fatigue, faiblesse,
confusion, douleurs, raideurs musculaires ou mouvements involontaires des
muscles (peut être en rapport avec un faible taux de sodium dans le sang).
- Réactions allergiques
: gonflement des paupières, du visage, des lèvres, de la bouche ou de la
langue, éruption cutanée ou urticaire n'importe où sur le corps, démangeaisons,
difficulté pour respirer ou pour avaler et sensation de faiblesse ou de
flottement pouvant amener à une perte de conscience ou évanouissement.
- Syndrome sérotoninergique
: sensation d'agitation, de confusion, transpiration excessive, tremblements,
frissons, hallucinations, myoclonies (secousses brusques des muscles) ou des
battements du coeur rapides.
- Glaucome aigu avec douleur oculaire et vision
trouble.
EVITER la prise d'alcool pendant le traitement.
NE PAS
CONSOMMER de produits à base de plante contenant du millepertuis (Hypericum
perforatum).
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines
(vertiges, confusion, somnolence, vision trouble).
Agitation
Anxiété
Asthénie
Céphalée
Constipation
Diarrhée
Insomnie
Prise de poids
Hypersudation
Diminution de l'appétit
Sécheresse buccale
Somnolence
Tremblement
Sensation vertigineuse
Rêves anormaux
Difficulté de concentration
Vision trouble
Vomissement
Bâillement
Troubles sensoriels
Trouble du sommeil
Augmentation de la cholestérolémie
Ecchymose
Hypotension orthostatique
Incontinence urinaire
Irritabilité
Palpitation
Rétention urinaire
Tachycardie sinusale
Eruption cutanée
Mydriase
Hallucinations
Diminution de la pression artérielle
Confusion
Instabilité émotionnelle
Syndrome extrapyramidal
Elévation de la pression artérielle
Troubles visuels
Saignement cutanéomuqueux
Prurit cutané
Saignement anormal
Détérioration du contrôle glycémique chez le diabétique
Bradycardie
Convulsions
Galactorrhée
Hyperprolactinémie
Hyponatrémie
Myalgie
Arthralgie
Dépersonnalisation
Akathisie
Elévation des enzymes hépatiques
Syndrome des jambes sans repos
Attaque de panique
Réaction maniaque
Atteinte hépatique
Glaucome aigu
Hépatite
Ictère
Insuffisance hépatocellulaire
Priapisme
Urticaire
Thrombocytopénie
Réaction cutanée
Saignement gastro-intestinal
Oedème périphérique
Syndrome sérotoninergique
Réaction allergique
SIADH
Réaction de photosensibilisation
Hémorragie du post-partum
Oedème de Quincke
Tachycardie
Idée suicidaire
Cauchemars
Frissons
Syndrome de Stevens-Johnson
Paresthésie
Réaction anaphylactique
Erythème polymorphe
Myoclonie
Nécrolyse épidermique toxique
Hyperréflexie
Dyskinésie buccofaciale
Comportement suicidaire
Acouphène
Bruxisme
Rêves intenses
Sensation à type de décharges électriques
Augmentation du risque de fracture
Agression
Colite microscopique
Certains des effets indésirables listés ci-dessous peuvent diminuer en intensité et en fréquence en cas de poursuite du traitement et ne nécessitent pas, en général, l'arrêt du traitement.
Les effets indésirables sont listés ci-dessous par système organe et fréquence.
Les fréquences sont définies comme suit : très fréquents (≥ 1/10), fréquents (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquents (≥ 1/1 000, < 1/100), rares (≥ 1/10 000, < 1/1 000) et très rares (< 1/10 000), incluant des observations isolées.
Troubles hématologiques et du système lymphatique
Peu fréquents : saignements anormaux, principalement cutanéo-muqueux (surtout ecchymoses).
Très rare : thrombocytopénie.
Troubles du système immunitaire
Très rare : sévères et potentiellement fatales : réactions allergiques (incluant réactions anaphylactiques et oedème de Quincke).
Troubles endocriniens
Très rare : syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone anti-diurétique (SIADH).
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Fréquent : augmentation de la cholestérolémie, diminution de l'appétit.
Peu fréquent : une altération du contrôle glycémique a été rapportée chez les patients diabétiques (voir section Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Rare : hyponatrémie. La plupart des cas ont été décrits chez des patients âgés et sont parfois dus à un syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone anti-diurétique (SIADH).
Troubles psychiatriques
Fréquents : somnolence, insomnie, agitation, rêves anormaux (y compris cauchemars).
Peu fréquents : confusion, hallucinations.
Rares : réactions maniaques, anxiété, dépersonnalisation, attaques de panique, akathisie (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Fréquence indéterminée :
· idées et comportements suicidaires.
Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par la paroxétine ou peu après son arrêt (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Ces symptômes peuvent également être dus à la pathologie sous-jacente.
· Agression
· Bruxisme
Troubles du système nerveux
Fréquents : sensations vertigineuses, tremblements, céphalées, difficultés de concentration.
Peu fréquents : syndromes extrapyramidaux.
Rares : convulsions, syndrome des jambes sans repos.
Très rare : syndrome sérotoninergique (les symptômes peuvent inclure agitation, confusion, hypersudation, hallucinations, hyperréflexie, myoclonie, frissons, tachycardie et tremblements).
Des syndromes extra-pyramidaux incluant des dyskinésies bucco-faciales ont été rapportés chez des patients ayant parfois des mouvements anormaux sous-jacents ou chez des patients traités par des neuroleptiques.
Troubles oculaires
Fréquent : vision trouble.
Peu fréquent : mydriase (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Très rare : glaucome aigu.
Troubles de l'oreille et du labyrinthe
Fréquence indéterminée : acouphènes.
Troubles cardiaques
Peu fréquent : tachycardie sinusale.
Rare : bradycardie.
Troubles vasculaires
Peu fréquents : élévations ou diminutions transitoires de la pression artérielle, hypotension orthostatique.
Des cas d'élévations ou de diminutions transitoires de la pression artérielle ont été rapportés à la suite d'un traitement par la paroxétine, habituellement chez des patients ayant une hypertension artérielle ou une anxiété préexistante.
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
Fréquent : bâillements.
Troubles gastro-intestinaux
Très fréquent : nausées.
Fréquents : constipation, diarrhée, vomissements, sécheresse buccale.
Très rares : saignements gastro-intestinaux.
Fréquence indéterminée : colite microscopique
Troubles hépato-biliaires
Rare : élévation des enzymes hépatiques.
Très rare : atteintes hépatiques (telles que hépatites, parfois associées à un ictère et/ou une insuffisance hépatocellulaire).
Des cas d'élévation d'enzymes hépatiques ont été rapportés. Très rarement, des cas d'hépatites, parfois associées à un ictère et/ou une insuffisance hépatocellulaire ont été rapportés après la commercialisation de la paroxétine. En cas d'élévation prolongée des résultats des tests de la fonction hépatique, l'arrêt du traitement doit être envisagé.
Troubles cutanés et du tissu sous-cutané
Fréquent : hypersudation.
Peu fréquents : éruption cutanée, prurit.
Très rares : réactions cutanées graves (y compris érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique ou syndrome de Lyell), urticaire, réactions de photosensibilisation.
Troubles du rein et des voies urinaires
Peu fréquent : rétention urinaire, incontinence urinaire.
Troubles des organes de reproduction et du sein
Très fréquent : dysfonction sexuelle.
Rare : hyperprolactinémie/galactorrhée.
Très rare : priapisme.
Fréquence indéterminée : hémorragie du post-partum*.
* Cet événement a été rapporté pour la classe thérapeutique des ISRS (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, Fertilité, grossesse et allaitement).
Troubles musculo-squelettiques et systémiques
Rare : arthralgies, myalgies.
Des études épidémiologiques, menées principalement chez des patients âgés de 50 ans et plus, indiquent une augmentation du risque de fractures chez les patients qui prennent des ISRS et des antidépresseurs tricycliques. Le mécanisme entrainant ce risque n'est pas connu.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquents : asthénie, prise de poids.
Très rares : oedèmes périphériques.
SYMPTOMES DE SEVRAGE A L'ARRET DU TRAITEMENT
Fréquents : sensations vertigineuses, troubles sensoriels, troubles du sommeil, anxiété, céphalées.
Peu fréquents : agitation, nausées, tremblements, confusion, hypersudation, instabilité émotionnelle, troubles visuels, palpitations, diarrhée, irritabilité.
L'arrêt du traitement par la paroxétine, particulièrement quand il est brutal, entraîne fréquemment des symptômes de sevrage.
Ont été observés : sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies et sensations à type de décharges électriques et acouphènes), troubles du sommeil (incluant rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées, tremblements, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels.
Généralement ces effets sont d'intensité légère à modérée et spontanément résolutifs ; cependant, chez certains patients, ils peuvent être sévères et/ou prolongés.
Il est donc recommandé de diminuer progressivement les doses de paroxétine lorsque le traitement n'est plus nécessaire (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Population pédiatrique
EFFETS INDESIRABLES AU COURS DES ESSAIS CLINIQUES PEDIATRIQUES
Les évènements indésirables suivants ont été observés :
Une augmentation des comportements suicidaires (y compris des tentatives de suicides et des pensées suicidaires), des comportements auto-agressifs et une hostilité plus importante. Des pensées suicidaires et des tentatives de suicide ont été principalement observées dans le cadre d'études cliniques portant sur des adolescents présentant un trouble dépressif majeur. Une hostilité accrue survenait en particulier chez des enfants présentant des troubles obsessionnels compulsifs et principalement chez des enfants de moins de 12 ans.
Autres évènements observés : diminution de l'appétit, tremblements, transpiration excessive, hyperkinésie, agitation, labilité émotionnelle (y compris pleurs et humeur fluctuante), évènements indésirables en relation avec des saignements, principalement au niveau de la peau et des muqueuses.
Les évènements observés après l'arrêt / la diminution de la paroxétine sont les suivants : labilité émotionnelle (y compris pleurs, modifications de l'humeur, auto-agressivité, pensées suicidaires et tentatives de suicide), nervosité, sensations vertigineuses, nausées et douleurs abdominales (voir la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi : Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Voir la rubrique Propriétés pharmacodynamiques pour de plus amples informations sur les études cliniques pédiatriques.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr.
Voir plus
Grossesse
Quelques études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de malformations congénitales, en particulier cardiovasculaires (communication interventriculaire et interauriculaire) chez les enfants de mère traitée par la paroxétine pendant le 1er trimestre de grossesse. Le mécanisme n'est pas connu. Ces données suggèrent que le risque d'avoir un enfant avec une malformation cardiovasculaire est inférieur à 2 % pour une mère exposée à la paroxétine, alors que le taux attendu de ce type d'anomalie est d'environ 1 % dans la population générale.
La paroxétine ne sera utilisée pendant la grossesse que si elle est strictement nécessaire. Le médecin devra évaluer l'intérêt d'un traitement alternatif chez une femme enceinte ou envisageant de l'être. Une interruption brutale du traitement doit être évitée au cours de la grossesse (voir rubrique Posologie et mode d'administration « Symptômes de sevrage observés lors de l'arrêt de la paroxétine »).
Une surveillance du nouveau-né devra être effectuée si l'utilisation de la paroxétine est poursuivie jusqu'en fin de grossesse, particulièrement au troisième trimestre.
Les symptômes suivants peuvent survenir chez le nouveau-né après administration de paroxétine chez la mère pendant le troisième trimestre de la grossesse : détresse respiratoire, cyanose, apnée, convulsions, instabilité de la température, difficulté d'alimentation, vomissements, hypoglycémie, hypotonie, hypertonie, hyperréflexie, tremblements, nervosité, irritabilité, léthargie, pleurs permanents, somnolence et troubles du sommeil. Ces symptômes peuvent être dus soit à des effets sérotoninergiques soit à des symptômes de sevrage. Dans la majorité des cas, ces symptômes surviennent immédiatement ou presque après l'accouchement (moins de 24 heures).
Des données épidémiologiques semblent indiquer que l'utilisation d'ISRS pendant la grossesse, particulièrement en fin de grossesse, pourrait augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Le risque observé était d'environ 5 cas pour 1000 grossesses. Dans la population générale, le risque d'HTAPP chez le nouveau-né est de 1 à 2 cas pour 1000 grossesses.
Les études chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction, mais n'indiquent pas d'effets délétères directs sur la grossesse, le développement embryo/foetal, l'accouchement ou le développement postnatal (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Les données issues d'études observationnelles indiquent un risque accru (moins de 2 fois supérieur) d'hémorragie du post-partum faisant suite à une exposition aux ISRS dans le mois précédant la naissance (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, Effets indésirables).
Allaitement
De faibles quantités de paroxétine sont excrétées dans le lait maternel.
Dans les études publiées, les concentrations sériques des nourrissons allaités étaient indétectables (< 2 ng/ml) ou très faibles (< 4 ng/ml). Aucun signe d'un effet du médicament n'a été observé chez ces nourrissons.
Aucun effet n'étant attendu, l'allaitement est envisageable.
Fertilité
Certaines études cliniques ont démontré que les ISRS (dont la paroxétine) peuvent affecter la qualité du sperme. Cet effet semble réversible à l'arrêt du traitement. Ces études n'ont pas examiné l'impact de cela sur la fertilité mais des modifications de la qualité du sperme peuvent, chez certains hommes, affecter la fertilité.
Le traitement par la paroxétine doit être initié avec prudence 2 semaines après l'arrêt d'un traitement par IMAO irréversible ou 24 heures après l'arrêt d'un IMAO réversible. La dose de paroxétine doit être augmentée progressivement jusqu'à obtention d'une réponse thérapeutique optimale (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Utilisation chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans
L'utilisation de DIVARIUS est déconseillée chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicides et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés aux cours des études cliniques chez les enfants et adolescents traités par antidépresseurs par rapport à ceux traités par placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire l'objet d'une surveillance attentive pour détecter l'apparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose d'aucune donnée de tolérance à long terme chez l'enfant et l'adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
Suicide/idées suicidaires ou aggravation clinique
La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à obtention d'une rémission significative.
L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients doivent être étroitement surveillés jusqu'à obtention de cette amélioration. L'expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter en tout début de rétablissement.
Les autres troubles psychiatriques dans lesquels la paroxétine est prescrite peuvent également être associés à un risque accru de comportement suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à un épisode dépressif majeur. Les mêmes précautions d'emploi que celles prises pour les patients souffrant d'épisodes dépressifs majeurs devront donc être appliquées aux patients présentant d'autres troubles psychiatriques.
Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement.
Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo (voir aussi rubrique Propriétés pharmacodynamiques).
Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose.
Les patients (et leur entourage) doivent être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées/comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
Akathisie/agitation psychomotrice
L'utilisation de la paroxétine a été associée à l'apparition d'akathisie, caractérisée par une sensation intérieure d'impatience et d'agitation psychomotrice, telle qu'une impossibilité de rester assis ou debout tranquillement, associée en général à un sentiment de désarroi. Ces symptômes surviennent plutôt dans les premières semaines de traitement. Chez les patients développant ces symptômes, une augmentation de posologie peut être préjudiciable.
Syndrome sérotoninergique/syndrome malin des neuroleptiques
Dans de rares cas, un syndrome sérotoninergique ou un tableau évocateur de syndrome malin des neuroleptiques peuvent survenir lors du traitement par la paroxétine, en particulier lorsque celle-ci est associée à des médicaments sérotoninergiques et/ou des neuroleptiques. Ces syndromes pouvant menacer le pronostic vital, le traitement par la paroxétine devra être arrêté si de tels effets surviennent (caractérisés par un ensemble de symptômes tels que hyperthermie, rigidité, myoclonies, dysautonomie accompagnée de possibles fluctuations rapides des constantes vitales, modification de l'état psychique incluant confusion, irritabilité, agitation extrême évoluant vers un délire et un coma).
Un traitement symptomatique devra être instauré.
La paroxétine ne doit pas être utilisée en association avec les précurseurs de la sérotonine (comme le L-tryptophane, l'oxitriptan) en raison du risque de syndrome sérotoninergique (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Manie
Comme pour tous les antidépresseurs, la paroxétine doit être utilisée avec précaution chez les patients ayant des antécédents d'épisode maniaque. En cas de virage maniaque, le traitement par la paroxétine devra être arrêté.
Insuffisance rénale/hépatique
Une attention particulière est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère ou une insuffisance hépatique (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Diabète
Les traitements par Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine (ISRS) peuvent déséquilibrer le contrôle glycémique des patients diabétiques. L'adaptation des doses d'insuline et/ou de l'hypoglycémiant oral peut s'avérer nécessaire. De plus, il existe des études suggérant que l'augmentation de la glycémie peut survenir lorsque la paroxétine et la pravastatine sont co-administrées.
Epilepsie
Comme d'autres antidépresseurs, la paroxétine doit être utilisée avec précaution chez les patients épileptiques.
Convulsions
L'incidence globale des crises convulsives est inférieure à 0,1 % chez les patients traités par la paroxétine. La survenue de crises convulsives impose l'arrêt du traitement.
Electroconvulsivothérapie (ECT)
Il existe peu de données cliniques sur l'administration concomitante de paroxétine et d'électroconvulsivothérapie.
Glaucome
Comme d'autres ISRS, la paroxétine peut provoquer une mydriase et devra être utilisée avec prudence chez les patients ayant un glaucome à angle étroit ou un antécédent de glaucome.
Pathologies cardiaques
Les précautions d'usage doivent être observées chez les patients présentant des pathologies cardiaques.
Hyponatrémie
Une hyponatrémie a été rarement rapportée, principalement chez le sujet âgé.
Une attention particulière devra également être portée aux patients présentant un risque d'hyponatrémie lié à un traitement concomitant ou une cirrhose.
L'hyponatrémie est généralement réversible à l'arrêt de la paroxétine.
Hémorragies
Des saignements cutanés tels des ecchymoses et des purpuras ont été rapportés avec les ISRS. D'autres manifestations hémorragiques, telles des hémorragies gastrointestinales, ont été rapportées.
Le risque peut être accru chez les patients âgés.
La prudence est conseillée chez les patients traités simultanément par des ISRS et des anticoagulants oraux, des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque de saignement (ex : antipsychotiques atypiques tels que la clozapine, les phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques, l'aspirine, les AINS et les inhibiteurs de la COX-2) ainsi que chez les patients ayant des antécédents d'anomalies de l'hémostase ou souffrant de pathologies qui les prédisposent à des saignements.
Les ISRS peuvent augmenter le risque d'hémorragie du post-partum (voir rubriques Fertilité, grossesse et allaitement, Effets indésirables).
Interaction avec le tamoxifène
La paroxétine, puissant inhibiteur du CYP2D6, peut entrainer une diminution des concentrations d'endoxifène, l'un des plus importants métabolites actifs du tamoxifène. De ce fait, la paroxétine doit être évitée autant que possible pendant un traitement par tamoxifène (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Dysfonction sexuelle
Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)/ pourraient causer des symptômes de dysfonction sexuelle (voir rubrique Effets indésirables). Des cas de dysfonction sexuelle dont les symptômes se sont prolongés malgré l'arrêt du traitement par des ISRS ont été rapportés.
Symptômes de sevrage à l'arrêt du traitement par paroxétine
Les symptômes de sevrage à l'arrêt du traitement sont fréquents, particulièrement si l'arrêt est brutal (voir rubrique Effets indésirables).
Dans les essais cliniques, des effets indésirables ont été observés lors de l'arrêt du traitement chez 30 % des patients traités par la paroxétine contre 20 % des patients recevant un placebo.
La survenue de symptômes de sevrage n'est pas synonyme d'addiction ou de dépendance.
Le risque de symptômes de sevrage peut être fonction de plusieurs facteurs incluant la durée du traitement, la posologie et le taux de réduction de la dose.
Ont été rapportés : sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies, et sensations à type de décharge électrique et acouphènes), troubles du sommeil (incluant rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées, tremblement, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces symptômes sont d'intensité légère à modérée, mais ils peuvent être d'intensité plus sévère chez certains patients.
Ils surviennent généralement dans les premiers jours suivant l'arrêt du traitement, mais quelques très rares cas ont été rapportés chez des patients ayant accidentellement sauté une prise. Généralement, ces symptômes sont spontanément résolutifs en 2 semaines même si, chez certaines personnes, ils peuvent se prolonger (2-3 mois, voire plus). Il est donc conseillé de diminuer progressivement la dose de paroxétine sur une période de plusieurs semaines ou mois, selon les besoins des patients (voir « Symptômes de sevrage observés lors de l'arrêt de la paroxétine », rubrique Posologie et mode d'administration).
Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Troubles psychiatriques
Antécédent de tentative de suicide
Idée suicidaire
Patient de 18 à 25 ans
Akathisie
Syndrome sérotoninergique
Syndrome malin des neuroleptiques
Antécédent d'épisode maniaque
Virage maniaque franc
Insuffisance rénale sévère (Clcr < 30 ml/mn)
Insuffisance hépatique
Diabète
Epileptique
Crise convulsive
Electroconvulsivothérapie
Glaucome à angle étroit
Antécédent de glaucome
Pathologie cardiaque
Risque d'hyponatrémie
Cirrhose (hépatique)
Sujet âgé
Antécédent d'anomalie de l'hémostase
Patient prédisposé aux saignements
Homme fertile
Bien que la paroxétine n'augmente pas les atteintes mentales et motrices causées par l'alcool, l'utilisation concomitante de la paroxétine et de l'alcool est déconseillée.
Médicaments sérotoninergiques
Comme avec les autres ISRS, l'association de la paroxétine à des médicaments sérotoninergiques peut entraîner une majoration des effets de la sérotonine (syndrome sérotoninergique : voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Une attention particulière et une surveillance clinique étroite sont recommandées lorsque ces médicaments sérotoninergiques (incluant L-tryptophane, triptans, tramadol, linézolide, chlorure de méthylthioninium (bleu de méthylène), ISRS, lithium, péthidine et préparations à base de millepertuis - Hypericum perforatum) sont associés à la paroxétine. La prudence est également de mise avec le fentanyl, utilisé en anesthésie générale ou comme traitement de la douleur chronique. L'utilisation en association de paroxétine et d'IMAOs est contre-indiquée en raison du risque de syndrome sérotoninergique (voir rubrique Contre-indications).
Pimozide
Une augmentation des concentrations de pimozide d'environ 2,5 fois en moyenne a été mise en évidence dans une étude d'interaction entre une faible dose de pimozide (2 mg) et une dose de 60 mg de paroxétine. Cela peut être dû aux propriétés inhibitrices connues de la paroxétine sur le CYP2D6. Le pimozide ayant un index thérapeutique étroit et pouvant entraîner un allongement de l'intervalle QT, l'association de paroxétine et de pimozide est contre-indiquée (voir rubrique Contre-indications).
Enzymes du métabolisme
Le métabolisme et la pharmacocinétique de la paroxétine peuvent être modifiés par l'inhibition ou l'induction des enzymes la métabolisant.
Lorsque la paroxétine doit être associée à un inhibiteur enzymatique connu, les doses recommandées les plus faibles seront utilisées.
Aucun ajustement de dose n'est nécessaire lorsque la paroxétine est co-administrée avec des inducteurs enzymatiques (ex : carbamazépine, rifampicine, phénobarbital, phénytoïne) ou avec une association fosamprénavir/ritonavir. Tout ajustement de posologie de la paroxétine (soit après l'instauration du traitement, soit au décours de l'arrêt d'un inducteur enzymatique) sera basé sur l'effet clinique observé (tolérance et efficacité).
Association fosamprénavir/ritonavir
La co-administration d'une association fosamprénavir/ritonavir à la posologie de 700/100 mg 2 fois par jour, avec 20 mg par jour de paroxétine, chez des volontaires sains pendant 10 jours, a entraîné une diminution significative de la concentration plasmatique de paroxétine d'environ 55 %. Lors de cette co-administration avec la paroxétine, les concentrations plasmatiques de fosamprénavir/ritonavir étaient similaires aux valeurs de référence issues d'autres études, indiquant que la paroxétine n'avait pas d'effet significatif sur le métabolisme de l'association fosamprénavir/ritonavir. Il n'y a pas de données disponibles sur les effets à long terme de la co-administration de paroxétine et d'une association fosamprénavir/ritonavir au-delà de 10 jours.
Procyclidine
L'administration journalière de paroxétine accroît significativement les concentrations plasmatiques de procyclidine. Si des effets anti-cholinergiques sont observés, la dose de procyclidine devra être réduite.
Anti-convulsivants
Carbamazépine, phénytoïne, valproate de sodium. L'administration concomitante ne semble pas avoir d'influence sur le profil pharmacocinétique/dynamique chez les patients épileptiques.
Inhibition du CYP2D6 par la paroxétine
Comme d'autres antidépresseurs, parmi lesquels d'autres ISRS, la paroxétine inhibe l'isoenzyme CYP2D6 du cytochrome P450 hépatique. L'inhibition de cette isoenzyme peut entraîner l'augmentation des concentrations plasmatiques des médicaments associés métabolisés par elle.
Ces médicaments comprennent certains antidépresseurs tricycliques (clomipramine, nortriptyline et désipramine), les neuroleptiques de type phénothiazine (ex : perphénazine et thioridazine, voir rubrique Contre-indications), la rispéridone, l'atomoxetine, certains antiarythmiques de type 1c (ex : propafénone et flécaïnide) et le métoprolol. Il n'est pas recommandé d'utiliser la paroxétine en association avec le métoprolol lorsqu'il est administré dans l'insuffisance cardiaque, en raison d'un index thérapeutique étroit du métoprolol dans cette indication.
Une interaction pharmacocinétique entre les inhibiteurs du CYP2D6 et le tamoxifène, montrant une diminution de 65-75% des concentrations plasmatiques d'endoxifène, une des formes les plus actives du tamoxifène, a été rapportée dans la littérature. Une diminution de l'efficacité du tamoxifène a été rapportée dans quelques études en cas d'utilisation concomitante de certains antidépresseurs ISRS. Une diminution de l'effet du tamoxifène ne pouvant être exclue, l'association d'un inhibiteur puissant du CYP2D6 (incluant la paroxétine) au tamoxifène doit être, autant que possible, évitée (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Alcool
Comme avec les autres traitements psychotropes, les boissons alcoolisées sont déconseillées pendant le traitement.
Anticoagulants oraux
Une interaction pharmacodynamique peut se produire entre la paroxétine et les anticoagulants oraux. L'administration concomitante de paroxétine avec ces médicaments peut entraîner une augmentation de l'activité anticoagulante et du risque hémorragique. La paroxétine doit donc être utilisée avec prudence chez les patients traités par anticoagulants oraux (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Anti-inflammatoires non stéroïdiens et acide acétylsalicylique, autres agents antiplaquettaires
Une interaction pharmacodynamique peut se produire entre la paroxétine et les AINS/acide acétylsalicylique. L'administration concomitante de ces médicaments peut augmenter le risque hémorragique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
La prudence est conseillée chez les patients traités par des ISRS en association avec des anticoagulants oraux, des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire ou susceptibles d'augmenter le risque de saignement (ex : antipsychotiques atypiques tels que la clozapine, les phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques, l'aspirine, les AINS et les inhibiteurs de la COX-2) ainsi que chez les patients ayant des antécédents d'anomalies de l'hémostase ou souffrant de pathologies qui les prédisposent aux saignements.
Pravastatine
Une interaction entre la paroxétine et la pravastatine a été observée dans des études, suggérant que leur co-administration peut entraîner une augmentation de la glycémie. Les patients souffrant de diabète mellitus et traités par paroxétine et par pravastatine peuvent nécessiter un ajustement du dosage de leur traitement oral d'hypoglycémiant et / ou de l'insuline (voir section Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).>
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CHIESI
17, Avenue de l'EUROPE
92277
BOIS COLOMBES CEDEX
Code UCD7 : 9246027
Code UCD13 : 3400892460277
Code CIS : 68085224
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : CHIESI
Laboratoire exploitant : CHIESI
Prix vente TTC : 4.43€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 4.43€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 30/10/2002
Rectificatif AMM : 05/01/2021
Marque : DIVARIUS
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400936011311
Référence LPPR : Aucune
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