GONAL-F
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution injectable
Catégories :
Endocrinologie, Hormones sexuelles, Gonadotrophines et antigonadotrophines, Gonadotrophines, Follitropine alfa, Gynécologie, Traitement de la stérilité, Gonadotrophines -> voir Endocrinologie
Principes actifs :
Follitropine alfa
Anovulation (y compris SOPK), Superovulation dans le cadre des AMP, Anovulation en cas de déficit sévère en LH et FSH, Stimulation de la spermatogenèse en cas d'hypogonadisme hypogonadotrophique
Adulte Homme de moins de 65 ans . Traitement en association. Stimulation de la spermatogenèse en cas d'hypogonadisme hypogonadotrophique. Voie SC (implicite)
150 UI 3 fois par semaine à injecter par voie SC pendant 12 mois.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte Femme de moins de 65 ans . en âge de procréer. Anovulation (y compris SOPK). Voie SC (implicite)
150 UI 1 fois par jour à la même heure pendant 4 semaines. Maximum 225 UI par jour.
Injecter par voie SC.
Adulte Femme de moins de 65 ans . en âge de procréer. Superovulation dans le cadre des AMP. Voie SC
225 UI 1 fois par jour à la même heure pendant 20 jours. Maximum 450 UI par jour.
Injecter par voie SC.
Adulte Femme de moins de 65 ans . en âge de procréer. Traitement en association. Anovulation en cas de déficit sévère en LH et FSH. Voie SC
150 UI 1 fois par jour à la même heure pendant 5 semaines.
Injecter par voie SC.
Voie SC
CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Maux d'estomac, ou des douleurs dans les bras ou les jambes.
-
Douleurs dans le bas du ventre, prise du poids rapidement, nausées ou
vomissements, difficultés à respirer, réduction de la production d'urine.
- Douleurs thoraciques, essoufflement, accident vasculaire cérébral ou crise cardiaque.
- Eruption cutanée, rougeur de la peau, urticaire, gonflement du visage avec difficulté à respirer.
SPORTIFS : substance dopante.
Acné
Diarrhée
Distension abdominale
Douleur abdominale
Gynécomastie
Prise de poids
Nausée
Vomissement
Troubles gastro-intestinaux
Syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO)
Varicocèle
Complication d'un SHO
Accident thrombo-embolique
Choc anaphylactique
Réaction d'hypersensibilité
Réaction anaphylactique
Aggravation de l'asthme
Résumé du profil de sécurité d'emploi
Les réactions indésirables les plus fréquemment rapportées sont les suivantes : céphalées, kystes ovariens et réactions locales au site d'injection (par exemple : douleur, érythème, hématome, œdème et/ou irritation au site d'injection).
Un syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO) d'intensité légère à modérée a été fréquemment rapporté et doit être considéré comme un risque intrinsèque à la stimulation. Le SHO d'intensité sévère est peu fréquent (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Très rarement, un accident thromboembolique peut se produire (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Liste des effets indésirables
Les termes utilisés ci-après pour exprimer la fréquence des effets indésirables répondent à la définition suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000), très rare (< 1/10 000).
Traitement chez les femmes
Affections du système immunitaire
Très rare : Réactions d'hypersensibilité légères à sévères, y compris réactions et choc anaphylactiques
Affections du système nerveux
Très fréquent : Céphalées
Affections vasculaires
Très rare : Accident thromboembolique (associé ou non à un SHO)
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Très rare : Exacerbation ou aggravation de l'asthme
Affections gastro-intestinales
Fréquent : Douleur abdominale, distension abdominale, troubles gastro-intestinaux, nausées, vomissements, diarrhées
Affections des organes de reproduction et du sein
Très fréquent : Kystes ovariens
Fréquent : SHO d'intensité légère à modérée (y compris symptomatologie associée)
Peu fréquent : SHO d'intensité sévère (y compris symptomatologie associée) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)
Rare : Complication d'un SHO sévère
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Très fréquent : Réactions au site d'injection (notamment : douleur, érythème, hématome, œdème et/ou irritation au site d'injection)
Traitement chez les hommes
Affections du système immunitaire
Très rare : Réactions d'hypersensibilité légères à sévères, y compris réactions et choc anaphylactiques
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Très rare : Exacerbation ou aggravation de l'asthme
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquent : Acné
Affections des organes de reproduction et du sein
Fréquent : Gynécomastie, varicocèle
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Très fréquent : Réactions au site d'injection (notamment : douleur, érythème, hématome, œdème et/ou irritation au site d'injection)
Investigations
Fréquent : Prise de poids
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
Voir plus
Grossesse
Il n'existe pas d'indication à utiliser GONAL-f pendant la grossesse. Les données disponibles sur un nombre limité de grossesse exposées (moins de 300 grossesses) n'ont mis en évidence aucun effet malformatif, ni toxique pour le fœtus ou le nouveau-né de la follitropine alfa.
Aucun effet tératogène n'a été observé dans les études effectuées chez l'animal (voir rubrique Données de sécurité préclinique). En cas d'exposition lors de la grossesse, les données cliniques sont insuffisantes pour exclure un effet tératogène de GONAL-f.
Allaitement
GONAL-f n'est pas indiqué pendant l'allaitement.
Fertilité
GONAL-f est indiqué en cas d'infertilité (voir rubrique Indications thérapeutiques).
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.
Recommandations générales
GONAL-f est une substance gonadotrope puissante susceptible de provoquer des réactions indésirables d'intensité légère à sévère et ne devra être utilisé que par des médecins spécialistes de la prise en charge des problèmes d'infertilité.
Un traitement par gonadotrophines demande une certaine disponibilité de la part des médecins et des professionnels de la santé, ainsi que l'utilisation des moyens de suivi appropriés. Chez les femmes, une utilisation bien tolérée et efficace de GONAL-f nécessite un suivi régulier de la réponse ovarienne par examen échographique seul ou, de préférence, en association avec le dosage des taux plasmatiques d'estradiol. La réponse à l'administration de FSH peut varier d'un patient à l'autre, certains patients pouvant présenter une réponse faible et d'autres une réponse excessive. En fonction de l'objectif du traitement (chez les hommes et chez les femmes), la dose efficace la plus faible devra être utilisée.
Porphyrie
Les patients présentant une porphyrie ou ayant des antécédents familiaux de porphyrie doivent être surveillés étroitement pendant le traitement par GONAL-f. L'aggravation d'une porphyrie ou sa survenue peut nécessiter l'arrêt du traitement.
Traitement chez les femmes
Avant de commencer le traitement, l'infertilité du couple devra être évaluée et les éventuelles contre-indications à une grossesse devront être recherchées. Les examens porteront tout particulièrement sur l'hypothyroïdie, l'insuffisance corticosurrénalienne, et l'hyperprolactinémie et des traitements spécifiques seront prescrits.
Les patientes traitées pour stimuler la croissance folliculaire, pour le traitement d'une infertilité anovulatoire ou en vue de techniques d'AMP, peuvent présenter une hypertrophie ou développer une hyperstimulation ovarienne. Le risque de développer de tels événements sera minimisé si l'on se conforme à la posologie recommandée de GONAL-f, au schéma thérapeutique et si le traitement est étroitement surveillé. Pour une interprétation précise des indices de développement et de maturation folliculaires, le médecin doit être expérimenté dans l'interprétation des résultats des examens effectués.
Les essais cliniques ont montré que la sensibilité ovarienne à GONAL-f augmentait en cas d'administration avec la lutropine alfa. Si une augmentation de la dose de FSH est jugée nécessaire, il est préférable d'ajuster la dose à intervalles de 7 à 14 jours et par paliers de 37,5 à 75 UI.
Aucune étude comparant directement l'association GONAL-f/LH avec les gonadotrophines ménopausiques humaines (hMG) n'a été menée. Une comparaison avec les données historiques suggère que le taux d'ovulation obtenu avec GONAL-f/LH est équivalent à celui obtenu avec les hMG.
Syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO)
Un certain degré d'hypertrophie ovarienne est un effet attendu de la stimulation ovarienne contrôlée. Cet effet est plus fréquemment observé chez les femmes présentant un syndrome des ovaires polykystiques et régresse généralement sans traitement.
À la différence de l'hypertrophie ovarienne simple, le SHO est un état qui peut se manifester avec des degrés croissants de sévérité. Il comprend une hypertrophie marquée des ovaires, un taux plasmatique élevé de stéroïdes sexuels et un accroissement de la perméabilité vasculaire pouvant entraîner un épanchement dans les cavités péritonéale, pleurale et plus rarement, péricardique.
La symptomatologie suivante peut être observée au cours de SHO sévères : douleur abdominale, distension abdominale, hypertrophie ovarienne marquée, prise de poids, dyspnée, oligurie et troubles gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements et diarrhées. Un bilan clinique peut révéler : hypovolémie, hémoconcentration, déséquilibres électrolytiques, ascite, hémopéritoine, épanchement pleural, hydrothorax ou détresse respiratoire aiguë. Très rarement, les SHO sévères peuvent s'accompagner de complications à type de torsion ovarienne ou d'événements thromboemboliques tels qu'une embolie pulmonaire, un accident ischémique ou un infarctus du myocarde.
Les facteurs de risque indépendants de développement d'un SHO incluent un âge jeune, une masse corporelle maigre, un syndrome des ovaires polykystiques, des doses plus élevées de gonadotrophines exogènes, un taux sérique d'estradiol absolu élevé ou en augmentation rapide et des épisodes antérieurs de SHO, un nombre important de follicules ovariens en développement et un grand nombre d'ovocytes recueillis lors de cycles de technique de procréation assistée (TPA).
Le respect de la dose recommandée de GONAL-f et du schéma thérapeutique permet de limiter au maximum le risque d'hyperstimulation ovarienne (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Effets indésirables). Une surveillance des cycles de stimulation par des examens échographiques et des dosages d'estradiol sont recommandés pour identifier les facteurs de risque de façon précoce.
Il existe des données qui laissent supposer que l'hCG joue un rôle déterminant dans le déclenchement du SHO et que la sévérité et la durée du SHO peuvent être accrues par une grossesse. Par conséquent, en cas d'apparition de signes d'hyperstimulation ovarienne, il est recommandé de ne pas administrer d'hCG et de conseiller aux patientes de ne pas avoir de rapport sexuel ou d'utiliser des moyens contraceptifs mécaniques pendant au moins 4 jours. Un SHO peut évoluer rapidement (dans les 24 heures) ou sur plusieurs jours vers un état potentiellement grave. Il survient le plus souvent après que le traitement hormonal ait été arrêté, et atteint son maximum après environ sept à dix jours de traitement. Pour cette raison, les patientes devront être suivies pendant au moins deux semaines après l'administration d'hCG.
Dans les techniques d'AMP,la ponction de tous les follicules, avant l'ovulation, peut diminuer le risque de survenue d'une hyperstimulation.
Généralement, un SHO léger à modéré régresse spontanément. En cas de SHO sévère, il est recommandé d'arrêter le traitement par gonadotrophines s'il est encore en cours, d'hospitaliser la patiente et de débuter un traitement spécifique.
Grossesse multiple
Comparé à une conception naturelle, le risque de grossesse multiple est plus élevé chez les patientes entreprenant une induction de l'ovulation. La majorité de ces grossesses multiples sont gémellaires. La grossesse multiple, et plus spécifiquement celle de haut rang, est associée à un risque de complications médicales pour la mère et pour les bébés.
Afin de limiter le risque de grossesse multiple, une surveillance étroite de la réponse ovarienne est recommandée.
Chez les patientes entreprenant des techniques d'AMP, le risque de grossesse multiple est principalement lié au nombre d'embryons transférés, à leur qualité et à l'âge de la patiente.
Les patientes devront être informées des risques éventuels de grossesse multiple avant le début du traitement.
Fausse couche
Le risque de fausse couche spontanée ou d'avortement est plus élevé chez les patientes entreprenant une stimulation de la croissance folliculaire dans le cadre d'une induction de l'ovulation ou des techniques d'AMP que dans le cas d'une conception naturelle.
Grossesse ectopique
Les femmes ayant des antécédents de pathologie tubaire sont à risque de grossesse ectopique, que la grossesse ait été obtenue spontanément ou dans le cadre de traitements pour l'infertilité. La prévalence de grossesse ectopique rapportée après AMP est plus élevée que dans la population générale.
Tumeur de l'appareil génital
Des tumeurs bénignes et malignes de l'ovaire et des organes de la reproduction ont été rapportées chez les femmes ayant eu recours à plusieurs traitements médicaux pour traiter l'infertilité. Il n'a pas encore été établi si un traitement par gonadotrophines augmente ou non le risque de survenue de ces tumeurs chez les femmes infertiles.
Malformation congénitale
La prévalence des malformations congénitales pourrait être légèrement plus élevée après AMP qu'après conception spontanée. On pense que cela est dû à des caractéristiques parentales (par exemple : âge de la mère, caractéristiques du sperme) et aux grossesses multiples.
Accidents thromboemboliques
Chez les femmes atteintes d'une maladie thromboembolique actuelle ou récente ou présentant des facteurs de risque généralement reconnus d'accidents thromboemboliques, comme des antécédents personnels ou familiaux, le traitement par gonadotrophines peut accroître le risque d'aggravation ou de survenue de tels accidents. Chez ces femmes, le rapport bénéfices/risques d'un traitement par gonadotrophines doit être évalué. On doit cependant noter que la grossesse par elle-même ainsi que le SHO entraînent également un risque accru d'accidents thromboemboliques.
Traitement chez les hommes
Des taux élevés de FSH endogène sont indicateurs d'une insuffisance testiculaire primaire. De tels patients ne répondront pas au traitement par GONAL-f/hCG. GONAL-f ne doit pas être utilisé lorsqu'une réponse efficace au traitement ne peut être obtenue.
Une analyse de sperme est recommandée 4 à 6 mois après le début du traitement dans le cadre de l'évaluation de la réponse au traitement.
Teneur en sodium
GONAL-f contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Porphyrie
Antécédent familial de porphyrie
Aggravation d'une porphyrie
Hypothyroïdie
Insuffisance corticosurrénalienne
Hyperprolactinémie
Indice de masse corporelle < 18,5 (maigreur)
Syndrome des ovaires polykystiques
Estradiol augmenté
Antécédent de syndrome d'hyperstimulation ovarienne
Syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO)
Antécédent de pathologie tubaire
Maladie thrombo-embolique
Risque thrombo-embolique
Antécédent thrombo-embolique
Antécédent familial thrombo-embolique
Insuffisance rénale
Insuffisance hépatique
GONAL-f n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
L'utilisation concomitante de GONAL-f avec d'autres médicaments utilisés dans l'induction de l'ovulation (par exemple : hCG, citrate de clomifène) peut potentialiser la réponse folliculaire, alors que son utilisation avec un agoniste ou un antagoniste de la GnRH pour induire une désensibilisation hypophysaire peut nécessiter l'augmentation de la posologie de GONAL-f nécessaire à l'obtention d'une réponse ovarienne adéquate. Aucune autre interaction cliniquement significative avec des médicaments n'a été rapportée lors d'un traitement par GONAL-f.
Les médicaments biosimilaires
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentQ/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentGONAL-F 15102014 AVIS CT13786
Télécharger le documentAnalyse des données relatives aux risques de transmission d'agents infectieux non conventionnels dans le cadre de l'utilisation d'hormones gonadotrophines d'origine urinaire.
Télécharger le documentLes médicaments inducteurs de l'ovulation : Les gonadotrophines. Recommandations
Télécharger le documentLes médicaments inducteurs de l'ovulation : recommandation de bonne pratique - Argumentaire.
Télécharger le documentLes médicaments inducteurs de l'ovulation : recommandation de bonne pratique.
Télécharger le documentPoloxamère, Saccharose, Méthionine, Phosphate monosodique, Phosphate disodique, Métacrésol, Phosphorique acide, Sodium hydroxyde, Eau pour préparations injectables, Substrats d'origine : Protéines de hamster
MERCK SERONO
37 rue Saint Romain
69008
LYON
Code UCD7 : 9263480
Code UCD13 : 3400892634807
Code CIS : 67112526
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : MERCK SERONO
Prix vente TTC : 224.53€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 224.53€
Taux SS : 100%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH1
Date AMM : 23/02/2004
Rectificatif AMM : 06/01/2025
Marque : GONAL-F
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400936348110
Référence LPPR : Aucune
OVALEAP 900 UI/1,5 ml, solution injectable, boîte de 1 cartouche (+ 20 aiguilles) de 1,50 ml
Visitez notre centre de support ou contactez-nous !