PELGRAZ
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution injectable
Catégories :
Cancérologie et hématologie, Cytokines et immunomodulateurs, Facteurs de croissance leucocytaires, Pegfilgrastim
Principes actifs :
Pegfilgrastim
Neutropénie après chimiothérapie cytotoxique
Adulte de plus de 18 ans . Neutropénie après chimiothérapie cytotoxique. Voie SC (implicite)
6 mg en SC dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras.
ou 1 seringue préremplie en SC dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Voie SC
ARRETER le
traitement et CONSULTER un médecin en cas d'apparition de taches rougeâtres en
cible ou sous forme de taches circulaires présentant souvent des cloques en
leur centre, situées sur le tronc, ou encore sous forme de desquamation de la
peau et d'ulcérations de la bouche, de la gorge, du nez, des parties génitales
et des yeux, et qui peut être précédé de fièvre ou de symptômes s'apparentant à
ceux de la grippe.
CONTACTER
IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
-
Boursoufflure ou gonflement, difficultés respiratoires, gonflement abdominal et
ballonnement, sensation de fatigue générale.
- Douleur au
flanc gauche ou de douleur à l'épaule gauche.
- Eruption
cutanée, urticaire ou démangeaison, gonflement du visage, des lèvres, de la
langue et des autres parties du corps, essoufflement, respiration sifflante ou
difficulté à respirer.
- Fièvre,
douleurs abdominales, douleurs dans le dos.
INFORMER LE MEDECIN en cas de toux,
fièvre ou difficulté respiratoire.
SPORTIF : substance dopante.
Thrombopénie
Hyperleucocytose
Douleur au site d'injection
Douleur musculosquelettique
Douleur thoracique non cardiaque
Glomérulonéphrite
Hémoptysie
Leucémie aiguë myéloïde
Anomalie des tests hépatiques
Réaction d'hypersensibilité
Réaction au site d'injection
Anaphylaxie
Augmentation des ASAT
Réaction allergique
Vascularite cutanée
Syndrome myélodysplasique
Augmentation des ALAT
Splénomégalie
Syndrome de détresse respiratoire aiguë
Erythème au site d'injection
Syndrome de Sweet
Syndrome de fuite capillaire
Trouble pulmonaire
Anémie falciforme
Augmentation de phosphatases alcalines
Rupture splénique
Crise drépanocytaire
Augmentation d'acide urique
Augmentation de lactate-déshydrogénase
Syndrome de Stevens-Johnson
Hémorragie pulmonaire
Aortite
Erythème
Hypotension
Oedème
Urticaire allergique
Myalgie
Hypo-albuminémie
Bouffées vasomotrices
Arthralgie
Dyspnée
Fibrose pulmonaire
Angio-oedème
Oedème pulmonaire
Douleur dorsale
Infiltration pulmonaire
Rash cutané
Cervicalgie
Pneumonie interstitielle
Douleur aux extrémités
Leucémie aiguë myéloblastique secondaire
Risque de syndrome myélodysplasique
Résumé du profil de tolérance
Les effets indésirables les plus souvent rapportés ont été la douleur osseuse (très fréquent [≥ 1/10]) et la douleur musculo-squelettique (fréquent [≥ 1/100 à < 1/10]). La douleur osseuse a été en général d'intensité légère à modérée, transitoire et a pu être contrôlée chez la plupart des patients par l'administration d'antalgiques classiques.
Des réactions d'hypersensibilité, incluant rash cutané, urticaire, angio-œdème, dyspnée, érythème, bouffées vaso-motrices et hypotension sont apparues au cours de l'administration initiale ou de la poursuite du traitement par pegfilgrastim (peu fréquent [≥ 1/1 000 à < 1/100]). Des réactions allergiques graves, incluant une anaphylaxie peuvent apparaître chez les patients recevant pegfilgrastim (peu fréquent) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Un syndrome de fuite capillaire, pouvant engager le pronostic vital si le traitement n'est pas initié à temps, a été peu fréquemment rapporté (≥ 1/1 000 à < 1/100) chez des patients atteints de cancer recevant une chimiothérapie après l'administration de G-CSF ; voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et rubrique « Description de certains effets indésirables » ci-dessous.
Une splénomégalie, en général asymptomatique, est peu fréquente.
Des cas peu fréquents de rupture splénique dont certaines pouvant être d'issue fatale ont été observés après administration de pegfilgrastim (voir rubrique Mise en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des cas peu fréquents d'effets indésirables pulmonaires incluant pneumonie interstitielle, œdème pulmonaire, infiltration et fibrose pulmonaires, ont été rapportés. Peu fréquemment ils ont entraîné une insuffisance respiratoire ou un SDRA pouvant être d'issue fatale (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des cas isolés de crises drépanocytaires ont été rapportés chez des patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints d'anémie falciforme (peu fréquent chez les patients atteints d'anémie falciforme) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Liste des effets indésirables
Les données dans le tableau ci-dessous décrivent les effets indésirables rapportés au cours des essais cliniques et de façon spontanée. Dans chaque niveau de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
1 Voir rubrique « Description de certains effets indésirables » ci-dessous.
Description de certains effets indésirables
Des cas peu fréquents de syndrome de Sweet ont été rapportés ; dans certains cas la pathologie maligne hématologique sous-jacente peut être mise en cause.
Des cas peu fréquents de vascularites cutanées ont été rapportés chez les patients traités par pegfilgrastim. Le mécanisme de la vascularite chez les patients recevant pegfilgrastim n'est pas connu.
Des réactions au site d'injection, incluant érythème au site d'injection (peu fréquent) ainsi que des douleurs au site d'injection (fréquent) sont survenues au cours de l'administration initiale ou lors de la poursuite du traitement par pegfilgrastim.
Des cas fréquents d'hyperleucocytose (leucocytes > 100 × 109/L) ont été rapportés (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des augmentations réversibles, légères à modérées des concentrations d'acide urique et de phosphatases alcalines, sans signes cliniques associés, ont été peu fréquentes ; des augmentations réversibles, légères à modérées de la concentration de lactate-déshydrogénase, sans signes cliniques associés, ont été peu fréquentes chez des patients recevant du pegfilgrastim à la suite d'une chimiothérapie cytotoxique.
Des nausées et des céphalées ont été observées très fréquemment chez des patients recevant une chimiothérapie.
Des cas peu fréquents d'anomalies des tests de la fonction hépatique : augmentation de l'alanine aminotransférase (ALAT) ou de l'aspartate aminotransférase (ASAT), ont été observés chez les patients ayant reçu du pegfilgrastim après chimiothérapie cytotoxique. Ces augmentations étaient transitoires et les valeurs sont revenues à la normale.
Un risque accru de SMD/LAM après un traitement par Pelgraz associé à la chimiothérapie et/ou à la radiothérapie a été observé lors d'une étude épidémiologique chez des patients atteints de cancer du sein et du poumon (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des cas fréquents de thrombopénie ont été rapportés.
Des cas de syndrome de fuite capillaire ont été observés après commercialisation des G-CSF. Ils sont généralement apparus chez des patients ayant des pathologies malignes à un stade avancé, une septicémie, recevant de multiples chimiothérapie ou sous aphérèse (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Population pédiatrique
L'expérience chez l'enfant est limitée. Il a été observé une fréquence plus élevée d'effets indésirables graves chez les jeunes enfants âgés de 0 à 5 ans (92 %) comparé aux enfants âgés de 6 à 11 ans et de 12 à 21 ans respectivement (80 % et 67 %) et aux adultes. L'effet indésirable le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir rubriques Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques).
Déclaration
des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
Voir plus
Grossesse
Il n'existe pas ou peu de données portant sur l'utilisation du pegfilgrastim chez la femme enceinte. Les études animales ont montré une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Le pegfilgrastim n'est pas recommandé chez la femme enceinte, ni chez la femme en âge de procréer et n'utilisant pas de contraception.
Allaitement
Les données concernant l'excrétion de pegfilgrastim et de ses métabolites dans le lait maternel sont insuffisantes, un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. La décision d'arrêter l'allaitement ou d'interrompre le traitement par pegfilgrastim doit être prise en tenant compte du bénéfice de l'allaitement maternel pour le nouveau-né/nourrisson et du bénéfice du traitement par pegfilgrastim pour la mère.
Fertilité
Le pegfilgrastim n'a pas affecté la qualité de reproduction ou la fertilité chez les rats mâles et femelles recevant des doses hebdomadaires cumulées environ 6 à 9 fois supérieures à la posologie humaine recommandée (basée sur l'aire de la surface corporelle) (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom commercial du médicament administré doit être clairement inscrit.
Leucémie aiguë myéloïde (LAM)
Un nombre limité de données cliniques suggère que l'effet de pegfilgrastim et de filgrastim sur le temps de récupération d'une neutropénie sévère est comparable chez des patients atteints de LAM de novo (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Cependant, les effets à long terme du pegfilgrastim n'ont pas été établis dans les LAM ; par conséquent Pelgraz doit être utilisé avec précaution dans cette population de patients.
Le G-CSF peut stimuler la croissance des cellules myéloïdes in vitro et des effets similaires ont pu être observés sur certaines cellules non myéloïdes in vitro.
La tolérance et l'efficacité du pegfilgrastim n'ont pas été étudiées chez les patients atteints de syndrome myélodysplasique, de leucémie myéloïde chronique ou de LAM secondaire ; par conséquent, il ne doit pas être utilisé chez ces patients. Il importe de bien différencier le diagnostic d'une transformation blastique d'une leucémie myéloïde chronique de celui d'une LAM.
La tolérance et l'efficacité du pegfilgrastim n'ont pas été établies chez les patients de moins de 55 ans atteints de LAM de novo et présentant une cytogénétique t(15 ;17).
La tolérance et l'efficacité du pegfilgrastim n'ont pas été étudiées chez les patients recevant une chimiothérapie à haute dose. Ce médicament ne doit pas être utilisé pour augmenter les doses de chimiothérapie cytotoxique au-delà des schémas posologiques établis.
Effets indésirables pulmonaires
Après administration de G-CSF, des cas d'effets indésirables pulmonaires ont été rapportés, en particulier des pneumonies interstitielles. Les risques peuvent être majorés chez les patients ayant des antécédents récents d'infiltration pulmonaire ou de pneumonie (voir rubrique Effets indésirables).
L'apparition de signes pulmonaires, tels que toux, fièvre et dyspnée, associés à des signes radiologiques d'infiltration pulmonaire avec détérioration de la fonction respiratoire et augmentation du nombre de polynucléaires neutrophiles peuvent être des signes préliminaires d'un syndrome de détresse respiratoire aigüe (SDRA). Dans de telles circonstances, le pegfilgrastim doit être arrêté après avis du médecin et un traitement approprié doit être instauré (voir rubrique Effets indésirables).
Glomérulonéphrite
Une glomérulonéphrite a été rapportée chez les patients traités par filgrastim et pegfilgrastim. Généralement, les épisodes de glomérulonéphrite ont été résolus après une réduction de dose ou l'arrêt du traitement par filgrastim ou pegfilgrastim. Une surveillance des analyses d'urine est recommandée.
Syndrome de fuite capillaire
Un syndrome de fuite capillaire a été observé après l'administration de G-CSF et est caractérisé par une hypotension, une hypoalbuminémie, des œdèmes et une hémoconcentration. Les patients développant des symptômes du syndrome de fuite capillaire doivent être étroitement surveillés et recevoir un traitement symptomatique standard, qui peut inclure un recours à des soins intensifs (voir rubrique Effets indésirables).
Splénomégalie et rupture splénique
Après administration de pegfilgrastim, des cas généralement asymptomatiques de splénomégalie ainsi que des cas de rupture splénique pouvant entraîner une issue fatale ont été observés (voir rubrique Effets indésirables). Par conséquent, le volume de la rate doit être surveillé attentivement (par ex. examen clinique, échographie). Un diagnostic de rupture splénique devra être envisagé chez des patients présentant une douleur au niveau de l'hypochondre gauche ou une douleur au sommet de l'épaule.
Thrombopénie et anémie
Un traitement par pegfilgrastim seul ne prévient pas la thrombopénie et l'anémie dues au maintien d'une chimiothérapie myélosuppressive aux doses et délais prévus. Une surveillance régulière du nombre de plaquettes et de l'hématocrite est recommandée. Une précaution particulière doit être prise lors de l'administration d'une chimiothérapie, en monothérapie ou en association, connue pour être responsable de thrombopénies sévères.
Syndrome myélodysplasique et leucémie aiguë myéloïde chez les patients atteints de cancer du sein et du poumon
Dans le cadre de l'étude observationnelle après commercialisation, le pegfilgrastim associé à la chimiothérapie et/ou à la radiothérapie a été associé à l'apparition de cas de syndrome myélodysplasique (SMD) et de leucémie aiguë myéloïde (LAM) chez les patients atteints de cancer du sein et du poumon (voir rubrique Effets indésirables). Les patients atteints de cancer du sein et du poumon doivent être surveillés afin de détecter tout signe ou symptôme de SMD/LAM.
Anémie falciforme
Des crises drépanocytaires ont été associées à une utilisation de pegfilgrastim chez des patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints d'anémie falciforme (voir rubrique Effets indésirables). Par conséquent, le pegfilgrastim doit être prescrit avec précaution chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints d'anémie falciforme et une surveillance étroite des paramètres cliniques et biologiques doit être instituée. Il faut être attentif au lien éventuel entre ce médicament et la survenue d'une splénomégalie ou d'une crise vaso-occlusive.
Hyperleucocytose
Un nombre de leucocytes égal ou supérieur à 100 × 109/L a été observé chez moins de 1 % des sujets recevant pegfilgrastim. Aucun effet indésirable directement attribuable à ce niveau de leucocytose n'a été rapporté. Une telle élévation de leucocytes est transitoire, spécifiquement observée 24 à 48 heures après l'administration et conforme aux effets pharmacodynamiques de ce médicament. De par les effets cliniques et le potentiel de leucocytose, une numération leucocytaire doit être réalisée à intervalles réguliers pendant le traitement. Si, après la date prévue du nadir, le nombre de leucocytes dépasse 50 × 109/L, ce médicament doit être arrêté immédiatement.
Hypersensibilité
Une hypersensibilité, incluant des réactions anaphylactiques, a été observée chez des patients traités par pegfilgrastim, lors du traitement initial ou des traitements suivants. Le traitement par pegfilgrastim doit être arrêté de façon définitive chez les patients présentant une hypersensibilité cliniquement significative. Ne pas administrer pegfilgrastim à des patients ayant des antécédents d'hypersensibilité au pegfilgrastim ou au filgrastim. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être administré et le patient devra être attentivement suivi pendant plusieurs jours.
Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ)
Le SSJ, pouvant engager le pronostic vital ou avoir une issue fatale, a été rapporté en association avec le traitement par pegfilgrastim avec une fréquence « rare ». Dans le cas de survenue d'un syndrome de Stevens-Johnson chez un patient traité par pegfilgrastim, ce dernier traitement ne doit en aucun cas être réintroduit.
Immunogénicité
Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, il existe un risque d'immunogénicité. Les taux de production d'anticorps contre le pegfilgrastim sont généralement bas. La présence d'anticorps liants est attendue comme avec tous les produits biologiques ; cependant, jusqu'à présent ils n'ont pas été associés à une activité neutralisante.
Aortite
Une aortite a été signalée après administration de filgrastim ou de pegfilgrastim chez des sujets sains et des patients atteints d'un cancer. Les symptômes ressentis comprenaient : fièvre, douleurs abdominales, malaise, maux de dos et augmentation des marqueurs inflammatoires (p. ex. protéine C-réactive et nombre de globules blancs). Dans la plupart des cas, l'aortite a été diagnostiquée par un examen TDM et a été généralement résolue après l'arrêt du filgrastim ou du pegfilgrastim. Voir également la rubrique Effets indésirables.
Mobilisation des CSP
La tolérance et l'efficacité de Pelgraz pour la mobilisation de cellules souches progénitrices dans le sang circulant chez des patients ou des donneurs sains n'ont pas été suffisamment évaluées.
Autres précautions particulières
L'augmentation de l'activité hématopoïétique de la moelle osseuse en réponse à un traitement par facteurs de croissance a été associée à des variations transitoires observables de la scintigraphie osseuse. Celles-ci doivent être prises en compte lors de l'interprétation des résultats de la scintigraphie osseuse.
Tous les patients
Le capuchon de la seringue préremplie contient du caoutchouc naturel sec (un dérivé du latex), susceptible d'entraîner des réactions allergiques.
Excipients
Sorbitol
L'effet
additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol
(ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose)
doit être pris en compte.
Sodium
Ce
médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose de 6 mg,
c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Leucémie aiguë myéloïde
Antécédent de pathologie pulmonaire interstitielle
Antécédent de pneumonie
Toux
Fièvre
Dyspnée
Signes radiologiques d'infiltration pulmonaire
Détérioration de la fonction respiratoire
Augmentation des polynucléaires neutrophiles
Glomérulonéphrite
Syndrome de fuite capillaire
Douleur de l'hypocondre gauche
Douleur au sommet de l'épaule
Cancer du sein
Cancer du poumon
Anémie falciforme
Forme hétérozygote de drépanocytose
Splénomégalie
Crise vaso-occlusive drépanocytaire
Réaction d'hypersensibilité
Syndrome de Stevens-Johnson
Scintigraphie osseuse
Patiente en âge de procréer
Pegfilgrastim n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Le pegfilgrastim doit être administré au moins 24 heures après l'administration d'une chimiothérapie cytotoxique, en raison de la sensibilité potentielle des cellules myéloïdes à division rapide à cette chimiothérapie. Au cours des essais cliniques, du pegfilgrastim a été administré 14 jours avant la chimiothérapie, sans risque particulier. L'utilisation concomitante de Pelgraz et d'un agent de chimiothérapie n'a pas été évaluée chez les patients. Dans les modèles animaux, l'administration concomitante de pegfilgrastim et du 5-fluorouracile (5-FU) ou d'autres antimétabolites a montré une potentialisation de l'effet myélosuppresseur.
Les interactions éventuelles avec d'autres facteurs de croissance hématopoïétiques et avec les cytokines n'ont pas été spécifiquement étudiées au cours des essais cliniques.
L'interaction potentielle avec le lithium, qui favorise également la libération des neutrophiles, n'a pas été spécifiquement étudiée. Aucun élément ne permet d'affirmer l'existence d'un effet indésirable dû à cette interaction.
La tolérance et l'efficacité de Pelgraz n'ont pas été évaluées chez les patients recevant une chimiothérapie entraînant une myélosuppression retardée, par exemple les nitrosourées.
Des études spécifiques d'interactions médicamenteuses ou de métabolisme n'ont pas été réalisées. Cependant, les essais cliniques n'ont pas mis en évidence d'interaction entre le pegfilgrastim et d'autres médicaments.
PELGRAZ seringue : Guide d'administration de la seringue préremplie
Télécharger le documentPELGRAZ 17/10/2018 AVIS CT17324
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentSorbitol, Polysorbate 20, Eau pour préparations injectables, Sodium acétate : Acétique acide, Sodium hydroxyde, Substrats d'origine : Protéines d'Escherichia coli, Capuchon de la seringue : Caoutchouc, Présence de : Polyéthylèneglycol
ACCORD HEALTHCARE FRANCE
635 rue de la Chaude Rivière
59800
LILLE
Code UCD7 : 9441941
Code UCD13 : 3400894419419
Code CIS : 61553026
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : ACCORD HEALTHCARE FRANCE
Prix vente TTC : 398.02€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 398.02€
Taux SS : 100%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH1
Date AMM : 21/09/2018
Rectificatif AMM : 25/07/2024
Marque : PELGRAZ
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930157640
Référence LPPR : Aucune
CEGFILA 6 mg, solution injectable SC, boîte de 1 seringue préremplie (+ 1 aiguille) de 0,60 ml de solution
FULPHILA 6 mg, solution injectable en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie avec système de sécurité de 0,60 mL
FULPHILA 6 mg, solution injectable en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie avec système de sécurité de 0,60 mL
GRASUSTEK 6 mg, solution injectable en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie avec système de sécurité de 0,60 mL
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