RITALINE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Gélule à libération prolongée
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Psychostimulants, Méthylphénidate
Principes actifs :
Méthylphénidate chlorhydrate
Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité
Enfant de 6 ans à 18 ans . Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (implicite)
un(e) (1) gélule le matin pendant vingt-huit (28) jours. Maximum six (6) gélules par jour.
Adulte de 18 ans à 60 ans de moins de 70 Kg . naïf de traitement. Traitement initial. Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (implicite)
un(e) (1) gélule le matin.
Adulte de 18 ans à 60 ans de plus de 70 Kg . naïf de traitement. Traitement initial. Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (implicite)
deux (2) gélules le matin.
Voie orale
CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Symptômes cardiaques : palpitations, évanouissement inexpliqué, douleurs dans la poitrine, respiration courte, essoufflement.
- Symptômes neurologiques : céphalée sévère, engourdissement, faiblesse, paralysie, altération de la coordination, de la vision, de la parole, du langage ou de la mémoire.
- Symptômes allergiques: rash, démangeaisons cutanées, urticaire, gonflement de la face, des lèvres, de la langue ou d'autres parties du corps, souffle court, sifflement ou gêne respiratoire.
- Troubles de l'humeur, changement de la personnalité, hallucinations, pensées suicidaires.
- Sentiment d'être anormalement excité, hyperactif et désinhibé.
- Desquamation cutanée ou plaques rouge-violacées.
- Spasmes musculaires affectant les yeux, la tête, le cou, le corps.
- Augmentation de la température corporelle, élévation de la tension artérielle, convulsions.
- Infections chroniques, saignement et ecchymose apparaissant plus facilement.
- Paralysie ou trouble des mouvements et de la vision, difficulté d'élocution.
NE
PAS CONDUIRE de véhicules NI UTILISER de machines en cas de sensations
de vertige, somnolence, troubles visuels y compris problèmes
d'accommodation, diplopie, vision floue, ou hallucinations.
Agitation
Agressivité
Alopécie
Anorexie
Anxiété
Diarrhée
Douleur abdominale
Douleur dentaire
Dyspepsie
Fatigue
Hyperhidrose
Hypertension
Irritabilité
Palpitation
Rhinopharyngite
Stress
Tachycardie
Toux
Urticaire
Vertige
Dépression
Arythmie
Arthralgie
Dyskinésie
Dyspnée
Perte de poids
Soif
Somnolence
Gêne épigastrique
Diminution de la libido
Modification de la pression artérielle
Pyrexie
Vomissement
Ralentissement de la prise de poids
Prurit cutané
Trouble du sommeil
Labilité émotionnelle
Attaque de panique
Extrémités froides
Impatience
Rash cutané
Comportement anormal
Modification de la fréquence cardiaque
Douleur pharyngolaryngée
Retard de croissance chez l'enfant
Bruxisme
Hyperactivité psychomotrice
Constipation
Douleur thoracique
Gastro-entérite
Hématurie
Oedème angioneurotique
Tics
Idée suicidaire
Myalgie
Diplopie
Colère
Réaction d'hypersensibilité
Sédation
Akathisie
Elévation des enzymes hépatiques
Pleurs
Vision floue
Hallucinations tactiles
Exacerbation de tics
Tension musculaire
Exfoliation cutanée
Secousse musculaire
Souffle cardiaque
Tension nerveuse
Altération de l'humeur
Trouble psychotique
Réaction bulleuse
Exacerbation du syndrome de Gilles de la Tourette
Hallucination visuelle
Hypervigilance
Hallucination auditive
Mouvement d'humeur
Angine de poitrine
Erythème
Gynécomastie
Mydriase
Troubles visuels
Désorientation
Difficulté d'accommodation
Manie
Eruption maculeuse
Trouble de la libido
Anémie
Artérite
Convulsions
Crampe musculaire
Infarctus du myocarde
Leucopénie
Syndrome de Raynaud
Thrombocytopénie
Syndrome malin des neuroleptiques
Erythème polymorphe
Arrêt cardiaque
Apathie
Purpura thrombocytopénique
Suicide
Dermatite exfoliatrice
Mouvement choréo-athétosique
Erythème pigmenté fixe
Comportement suicidaire
Mort subite d'origine cardiaque
Fonction hépatique anormale
Diminution de la numération plaquettaire
Augmentation de la phosphatase alcaline
Pensée anormale
Occlusion artérielle cérébrale
Numération anormale des globules blancs
Augmentation de la bilirubine sanguine
Comportement répétitif
Idée fixe
Déficit neurologique ischémique réversible
Accident vasculaire cérébral
Bradycardie
Epistaxis
Extrasystole ventriculaire
Extrasystole
Migraine
Priapisme
Tachycardie supraventriculaire
Troubles cérébrovasculaires
Urticaire allergique
Artérite cérébrale
Etat confusionnel
Hémorragie cérébrale
Délire
Réaction anaphylactique
Trismus
Pancytopénie
Dépendance
Eruption cutanée allergique
Logorrhée
Coma hépatique
Gêne thoracique
Dysfonction érectile
Dépendance médicamenteuse
Vascularite cérébrale
Grand mal épileptique
Abus médicamenteux
Oedème auriculaire
Incontinence
Dysphémie
Erection augmentée
La liste ci-dessous présente tous les événements indésirables (El) rapportés au cours des études cliniques et les cas rapportés spontanément après la commercialisation de RITALINE L.P. ainsi que les événements indésirables rapportés après administration d'autres formes de chlorhydrate de méthylphénidate. Lorsque la fréquence des El observée avec RITALINE L.P. a été différente de la fréquence observée avec d'autres formulations de méthylphénidate, la fréquence la plus élevée issue des deux bases de données a été retenue. Les informations fournies ci-dessous s'appliquent aux enfants, aux adolescents et aux adultes.
Fréquence estimée :
très fréquent (= 1/10),
fréquent (= 1/100, < 1/10),
peu fréquent (= 1/1 000, < 1/100),
rare (= 1/10 000, < 1/1 000),
très rare (< 1/10 000),
fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Infections et infestations
Fréquent : rhinopharyngite.
Peu fréquent : gastro-entérite***.
Affections hématoloqiques et du système lymphatique*
Très rare : anémie, leucopénie, thrombocytopénie, purpura thrombocytopénique.
Fréquence indéterminée : pancytopénie.
Affections du système immunitaire
Peu fréquent : réactions d'hypersensibilité telles que : oedème angioneurotique, réactions anaphylactiques, oedème auriculaire, réactions bulleuses, réactions exfoliatrices, urticaire, prurit, rash et éruption cutanée.
Troubles du métabolisme et de la nutrition*
Très fréquent : diminution de l'appétit**
Fréquent : anorexie, diminution modérée de la prise de poids et de la croissance en cas de traitement prolongé chez l'enfant*, perte de poids chez l'adulte*.
Affections psychiatriques*
Très fréquent : insomnie, nervosité.
Fréquent : anorexie, labilité émotionnelle, agressivité*, agitation*, anxiété*, dépression*, irritabilité, comportement anormal, troubles du sommeil**, impatiences**, diminution de la libido***, attaque de panique***, stress***, bruxisme***.
Peu fréquent : troubles psychotiques*, hallucinations auditives, visuelles et tactiles*, colère, idées suicidaires*, altération de l'humeur, mouvements d'humeur, pleurs, tics*, aggravation de tics préexistants ou du syndrome de Gilles de la Tourette*, hypervigilance, tension nerveuse***.
Rare : manie*, désorientation, troubles de la libido.
Très rare : comportement suicidaire (y compris suicide) *, état dépressif transitoire*, pensées anormales, apathie, comportements répétitifs, idées fixes.
Fréquence indéterminée : délires*, troubles de la pensée*, état confusionnel, dépendance, logorrhée.
Des cas d'abus et de dépendance ont été décrits plus fréquemment avec les formulations à libération immédiate.
Affections du système nerveux
Très fréquent : céphalée.
Fréquent : tremblement**, vertige, dyskinésie, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
Peu fréquent : sédation, akathisie***.
Très rare : convulsions, mouvements choréo-athétosiques, déficit neurologique ischémique réversible, syndrome malin des neuroleptiques (SMN ; les cas étaient mal documentés et dans la plupart de ces cas, les patients prenaient également d'autres médicaments. Par conséquent, le rôle du méthylphénidate n'est pas clair).
Fréquence indéterminée : troubles cérébrovasculaires* (y compris vascularite, hémorragies cérébrales, accidents vasculaires cérébraux, artérite cérébrale, occlusion cérébrale), convulsions de type grand mal*, migraine, dysphémie.
Affections oculaires
Peu fréquent : diplopie, vision floue.
Rare : difficultés d'accommodation, mydriase, trouble visuel.
Affections cardiaques*
Fréquent : arythmie, palpitations, tachycardie.
Peu fréquent : douleur thoracique.
Rare : angine de poitrine.
Très rare : arrêt cardiaque, infarctus du myocarde, mort subite d'origine cardiaque.
Fréquence indéterminée : tachycardie supraventriculaire, bradycardie, extrasystoles ventriculaires, extrasystoles.
Affections vasculaires*
Fréquent : hypertension, extrémités froides**.
Très rare : artérite et/ou occlusion cérébrale, phénomène de Raynaud.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent : toux, douleur pharyngolaryngée, dyspnée**.
Fréquence indéterminée : épistaxis.
Affections gastro-intestinales
Très fréquent : nausées**, sécheresse buccale**.
Fréquent : douleurs abdominales, diarrhée, gêne épigastrique et vomissements, dyspepsie***, douleurs dentaires***.
Peu fréquent : constipation.
Affections hépatobiliaires
Peu fréquent : élévations des enzymes hépatiques.
Très rare : fonction hépatique anormale, y compris coma hépatique.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquent : hyperhidrose**, alopécie, prurit, rash, urticaire.
Peu fréquent : oedème angioneurotique, réactions bulleuses, réactions exfoliatrices.
Rare : éruption maculaire, érythème.
Très rare : érythème polymorphe, dermatite exfoliatrice, érythème pigmenté fixe.
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
Fréquent : arthralgie.
Peu fréquent : myalgie, secousses musculaires, tension musculaire***.
Très rare : crampes musculaires.
Fréquence indéterminée : trismus***.
Affections du rein et des voies urinaires
Peu fréquent : hématurie.
Fréquence indéterminée : incontinence.
Affections des organes de reproduction et du sein
Rare : gynécomastie.
Fréquence indéterminée : dysfonction érectile, priapisme, érection augmentée et érection prolongée.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquent : pyrexie, retard de croissance lors de traitements prolongés chez l'enfant*, sensation de nervosité***, fatigue**, soif***.
Fréquence indéterminée : gêne thoracique, hyperthermie.
Investigations
Fréquent : modifications de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque (généralement une augmentation) *, perte de poids*.
Peu fréquent : souffle cardiaque*, augmentation des enzymes hépatiques.
Très rare : augmentation de la phosphatase alcaline sanguine, augmentation de la bilirubine sanguine, diminution de la numération plaquettaire, numération leucocytaire anormale.
* Voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
** Effet indésirable observé dans les études cliniques menées chez des patients adultes et rapporté avec une fréquence plus élevée que chez les enfants et les adolescents.
*** D'après la fréquence calculée au cours des études consacrées au TDAH chez l'adulte (aucun cas n'a été rapporté au cours des études pédiatriques).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Voir plus
Grossesse
Les résultats d'une étude de cohorte portant sur une large population d'environ 3 400 femmes exposées au cours du premier trimestre de la grossesse ne montrent pas d'augmentation du risque global d'anomalies congénitales. Par rapport aux grossesses non exposées, une faible augmentation de la fréquence de malformations cardiaques a été observée (risque relatif ajusté combiné, 1,3 ; IC à 95 %, 1,0 - 1,6), correspondant à trois enfants supplémentaires nés avec des malformations cardiaques pour 1 000 femmes exposées au méthylphénidate pendant le premier trimestre de grossesse.
Des cas de toxicité cardiorespiratoire néonatale, notamment des tachycardies et des détresses respiratoires foetales, ont été rapportés dans le cadre des notifications spontanées.
Les études chez l'animal ont mis en évidence une toxicité du méthylphénidate sur la reproduction à doses maternotoxiques (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
L'administration de méthylphénidate pendant la grossesse n'est pas recommandée sauf si le médecin considère que le retard de l'instauration du traitement représente un risque supérieur pour la grossesse.
Allaitement
Le méthylphénidate a été retrouvé dans le lait maternel de mères traitées par méthylphénidate.
Le cas d'un nourrisson dont le poids corporel a diminué (chiffre indéterminé) pendant la période d'exposition au méthylphénidate a été rapporté. Le nourrisson a retrouvé son poids puis en a repris après l'interruption du traitement de la mère par méthylphénidate. Un risque pour l'enfant allaité ne peut donc être exclu.
Il convient de décider d'arrêter l'allaitement ou de s'abstenir/interrompre du/un traitement par méthylphénidate, en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la mère.
Fertilité
Il n'existe aucune donnée concernant l'effet du méthylphénidate sur la fertilité chez l'Homme. Chez l'animal, aucun effet cliniquement significatif n'a été observé (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Le traitement par méthylphénidate n'est pas indiqué chez tous les patients atteints de TDAH et la décision d'utiliser ce médicament devra se fonder sur une évaluation très minutieuse de la gravité et de la chronicité des symptômes (en tenant compte de l‘âge chez l'enfant).
Utilisation à long terme (plus de 12 mois)
Les patients traités par méthylphénidate à long terme (c'est-à-dire plus de 12 mois) devront être surveillés attentivement conformément aux recommandations décrites dans les rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, relatives à l'état cardiovasculaire, la croissance, l'appétit, l'apparition de nouveaux troubles psychiatriques ou l'aggravation de troubles psychiatriques préexistants. Les troubles psychiatriques devant faire l'objet d'une surveillance sont décrits ci-dessous et incluent de manière non limitative : tics moteurs ou verbaux, comportement agressif ou hostile, agitation, anxiété, dépression, psychose, manie, délire, irritabilité, manque de spontanéité, retrait et persévération excessive (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Etat cardiovasculaire
Les patients chez lesquels un traitement par psychostimulants est envisagé devront être soigneusement interrogés quant à leurs antécédents (y compris leurs antécédents familiaux de mort subite cardiaque ou inexpliquée ou d'arythmie maligne ou d'arythmie ventriculaire) et être soumis à un examen médical rigoureux, afin de rechercher la présence d'une cardiopathie (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Un examen cardiaque par un spécialiste devra être rapidement réalisé chez les patients présentant, au cours du traitement par méthylphénidate, des symptômes tels que palpitations, douleurs thoraciques à l'effort, syncope inexpliquée, dyspnée ou tout autre symptôme évocateur d'une pathologie cardiaque.
L'analyse des données issues des études cliniques du méthylphénidate chez l'enfant ou l'adolescent atteint de TDAH, a montré que les patients traités par méthylphénidate peuvent fréquemment présenter des modifications des pressions artérielles systolique et diastolique de plus de 10 mm Hg au repos par comparaison au groupe contrôle.
Des modifications des valeurs de pression artérielle diastolique et systolique ont aussi été observées au cours des études cliniques réalisées chez des adultes souffrant de TDAH (environ 2-3 mm Hg par rapport au groupe contrôle). Les conséquences cliniques, à court et à long terme, de ces effets cardiovasculaires chez l'enfant et l'adolescent ne sont pas connues, mais la possibilité de complications cliniques résultant des effets observés lors des études cliniques ne peut être exclue. La prudence est recommandée lors du traitement des patients chez lesquels une augmentation de la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque est susceptible d'entraîner la décompensation d'une pathologie sous-jacente.
Voir en rubrique Contre-indications les contre-indications au traitement par méthylphénidate. Voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques « Études cliniques chez l'adulte».
L'état cardiovasculaire devra être surveillé soigneusement. La pression artérielle ainsi que le pouls devront être enregistrés sur une courbe percentile à chaque adaptation posologique, puis au minimum tous les 6 mois chez l'enfant et tous les mois chez l'adulte.
L'administration de méthylphénidate est contre-indiquée en cas d'hypertension sévère et dans certains cas de troubles cardiovasculaires préexistants, sauf après obtention de l'avis d'un spécialiste en cardiologie (voir rubrique Contre-indications).
Mort subite et anomalies cardiaques structurelles préexistantes ou autres troubles cardiaques sévères
Des cas de mort subite ont été rapportés lors de l'utilisation de stimulants du système nerveux central aux doses usuelles chez des enfants, dont certains présentaient des anomalies cardiaques structurelles ou d'autres problèmes cardiaques sévères. Bien que certains problèmes cardiaques sévères puissent entraîner à eux seuls un risque accru de mort subite, le méthylphénidate n'est pas recommandé chez les patients présentant des anomalies cardiaques structurelles connues, une cardiomyopathie, des anomalies graves du rythme cardiaque ou d'autres problèmes cardiaques sévères qui pourraient les exposer à une vulnérabilité accrue vis-à-vis des effets sympathomimétiques des psychostimulants (voir rubrique Contre-indications).
Mésusage et événements cardiovasculaires
Le mésusage des stimulants du système nerveux central, y compris le méthylphénidate, peut être associé à une mort subite ou à d'autres événements cardiovasculaires sévères.
Troubles vasculaires cérébraux
Voir en rubrique Contre-indications les troubles cérébrovasculaires pour lesquels un traitement par méthylphénidate est contre-indiqué. Les patients présentant des facteurs de risque supplémentaires (ex. antécédents de maladie cardiovasculaire, médicaments associés augmentant la pression artérielle) devront être surveillés à chaque visite après l'initiation du traitement à la recherche de signes et de symptômes neurologiques.
La vascularite cérébrale semble être une réaction idiosyncrasique très rare due à l'exposition au méthylphénidate. Il existe peu de preuves suggérant que les patients à risque accru puissent être identifiés et la survenue initiale des symptômes peut être la première manifestation d'un problème clinique sous-jacent. Un diagnostic précoce, fondé sur une forte suspicion, peut permettre l'arrêt rapide du méthylphénidate et l'instauration d'un traitement précoce. Le diagnostic devrait donc être envisagé chez tout patient développant de nouveaux symptômes neurologiques compatibles avec une ischémie cérébrale au cours d'un traitement par méthylphénidate. Ces symptômes peuvent inclure: céphalée sévère, engourdissement, faiblesse, paralysie, altération de la coordination, de la vision, de la parole, du langage ou de la mémoire.
Le traitement par méthylphénidate n'est pas contre-indiqué chez les patients atteints d'hémiplégie cérébrale infantile.
Troubles psychiatriques
Les troubles psychiatriques concomitants sont fréquents dans le TDAH et doivent être pris en compte lors de la prescription de psychostimulants. Les antécédents personnels et familiaux de troubles psychiatriques doivent être systématiquement recherchés avant de débuter un traitement par méthylphénidate (voir rubrique Posologie et mode d'administration). En cas d'apparition de symptômes psychiatriques ou d'exacerbation de troubles psychiatriques préexistants, le méthylphénidate ne doit pas être administré à moins que les bénéfices attendus soient supérieurs aux risques chez le patient.
La survenue ou l'aggravation de troubles psychiatriques doivent être surveillées à chaque augmentation de posologie, puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite. L'arrêt du traitement peut alors être envisagé.
Aggravation de symptômes psychotiques ou maniaques préexistants
Les patients psychotiques traités par méthylphénidate peuvent présenter une aggravation des troubles du comportement et des troubles de la pensée.
Survenue de nouveaux symptômes psychotiques ou maniaques
Des symptômes psychotiques (hallucinations et illusions visuelles, tactiles, auditives) ou maniaques peuvent survenir après administration de méthylphénidate aux doses thérapeutiques chez des patients sans antécédents de maladie psychotique ou de manie (voir rubrique Effets indésirables). En cas d'apparition de symptômes psychotiques ou maniaques, le rôle du méthylphénidate sera évalué et un arrêt du traitement pourra être envisagé.
Agressivité ou comportement hostile
L'administration de méthylphénidate peut provoquer l'apparition ou l'aggravation d'une agressivité ou d'un comportement hostile (voir rubrique Effets indésirables).
Les patients traités par méthylphénidate devront être surveillés étroitement au début du traitement, à chaque ajustement de doses puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite afin de déceler la survenue ou une aggravation d'un comportement agressif ou hostile. Le médecin devra évaluer la nécessité d'ajuster le schéma thérapeutique chez les patients présentant un changement dans leur comportement, en gardant à l'esprit qu'une augmentation ou une baisse de dosage peut être appropriée. L'interruption du traitement pourra être envisagée.
Idées suicidaires
Les patients ayant des idées ou un comportement suicidaire au cours du traitement pour le TDAH devront être immédiatement examinés par leur médecin. L'aggravation d'une affection psychiatrique sous-jacente devra être prise en considération et un possible lien de causalité avec le méthylphénidate devra être envisagé. Le traitement d'une affection psychiatrique sous-jacente pourra être nécessaire et l'arrêt du traitement par méthylphénidate pourra être envisagé.
Tics
Le méthylphénidate peut provoquer l'apparition ou une aggravation de tics moteurs ou verbaux. Une aggravation du syndrome de Gilles de la Tourette a également été rapportée. Une évaluation des antécédents familiaux ainsi qu'un examen clinique à la recherche de tics ou du syndrome de Gilles de la Tourette devront être réalisés chez le patient avant l'administration de méthylphénidate. L'apparition ou l'aggravation de tics devra être surveillée régulièrement au cours du traitement.
La surveillance devra être effectuée à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois ou à chaque visite.
Anxiété, agitation ou tension psychique
Le méthylphénidate est associé à une aggravation des symptômes préexistants d'anxiété, d'agitation ou de tension psychique (voir rubrique Effets indésirables). Une évaluation clinique de l'anxiété, de l'agitation ou de la tension psychique devra être réalisée avant l'administration de méthylphénidate. Une surveillance régulière de la survenue ou de l'aggravation de ces symptômes au cours du traitement devra être réalisée en évaluant les patients à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois ou à chaque visite.
Troubles bipolaires
Une attention particulière devra être portée lors de l'utilisation du méthylphénidate pour le traitement d'un TDAH, chez les patients présentant un trouble bipolaire associé (y compris un trouble bipolaire de type 1 non traité ou d'autres formes de trouble bipolaire), en raison de l'accélération possible d'un épisode mixte ou d'un épisode maniaque chez ces patients. Avant d'initier un traitement par méthylphénidate, les patients présentant des symptômes dépressifs associés devront être dépistés correctement afin de déterminer s'ils présentent un risque accru de trouble bipolaire. Ce dépistage devra inclure une anamnèse psychiatrique détaillée, comportant les antécédents familiaux de suicide, de trouble bipolaire et de dépression.
Il est essentiel d'effectuer un suivi étroit et continu de ces patients (voir ci-dessus le paragraphe «Troubles psychiatriques» et la rubrique Posologie et mode d'administration). L'apparition de symptômes doit être surveillée à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite.
Priapisme
Des érections prolongées et douloureuses ont été signalées avec des produits à base de méthylphénidate, principalement en association avec une modification du schéma du traitement par méthylphénidate (voir rubrique Effets indésirables). Les patients qui développent des érections anormalement prolongées ou fréquentes et douloureuses doivent immédiatement demander conseil à un médecin.
Croissance et poids
Un ralentissement staturo-pondéral modéré a été rapporté lors de l'administration prolongée de méthylphénidate chez l'enfant (voir rubrique Effets indésirables).
Les effets du méthylphénidate sur la taille et le poids définitifs de l'enfant sont inconnus et actuellement étudiés.
Au cours du traitement par méthylphénidate chez l'enfant et l'adolescent, la croissance devra être surveillée : la taille, le poids et l'appétit de l'enfant et de l'adolescent doivent être mesurés en fonction de l'âge de l'enfant et de l'adolescent au moins tous les 6 mois et une courbe de croissance devra être tenue à jour. Il pourra être nécessaire d'arrêter le traitement chez les patients ne présentant pas la croissance ou la prise de poids attendues.
Une perte de poids a été rapportée lors du traitement par RITALINE L.P. chez des adultes. En cas de perte de poids importante chez le patient au cours du traitement, il pourra être nécessaire d'interrompre la prise du médicament. Chez l'adulte, le poids doit être régulièrement contrôlé.
Convulsions
Le méthylphénidate doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'épilepsie. Le méthylphénidate peut abaisser le seuil épileptogène chez les patients ayant des antécédents de convulsions, chez les patients ayant présenté des anomalies de l'EEG en l'absence de convulsions et rarement chez des patients sans antécédents de convulsions ni anomalies de l'EEG (voir rubrique Effets indésirables). En cas d'augmentation de la fréquence des convulsions ou d'apparition récente de convulsions, le traitement par méthylphénidate devra être arrêté.
Surveillance hématologique
Un arrêt du traitement devra être envisagé en cas de leucopénie, thrombocytopénie, anémie ou autres modifications incluant celles indiquant une insuffisance rénale ou hépatique sévère. En cas de troubles hématologiques, des mesures appropriées devront être prises (voir rubrique Effets indésirables).
Fatigue
Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé pour la prévention ou le traitement d'états de fatigue.
Insuffisance rénale ou hépatique
Il n'y a pas de données sur l'utilisation de méthylphénidate chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique (voir rubrique Posologie et mode d'administration et Propriétés pharmacocinétiques).
Abus, mésusage et usage détourné
Le risque d'usage détourné, de mésusage ou d'abus de méthylphénidate doit être étroitement surveillé.
Le méthylphénidate doit être administré avec précaution chez les patients ayant une dépendance connue aux drogues ou à l'alcool en raison du risque d'abus, de mésusage, ou d'usage détourné.
Une utilisation chronique abusive de méthylphénidate peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique, associées à des troubles comportementaux d'intensité variable. Des épisodes psychotiques aigus peuvent survenir, en particulier lors d'une utilisation abusive par voie parentérale.
L'âge du patient, la présence de facteurs de risque de mésusage d'une substance (tels qu'un trouble oppositionnel avec provocation, un trouble de la conduite ou un trouble bipolaire) ainsi qu'un abus de substances antérieur ou actuel par le patient doivent être pris en compte avant de décider l'initiation d'un traitement d'un TDAH. Il est recommandé d'être prudent chez les patients présentant une instabilité émotionnelle, comme chez ceux ayant des antécédents de dépendance aux drogues ou à l'alcool, en raison d'une possible augmentation volontaire de la dose par les patients.
Pour les patients présentant un risque élevé d'usage médicamenteux abusif, l'utilisation du méthylphénidate et d'autres psychostimulants peut ne pas être adaptée, un traitement par un médicament non stimulant doit être envisagé.
Sevrage
Il est nécessaire de surveiller attentivement le patient à l'arrêt du traitement par méthylphénidate, car une dépression ou une hyperactivité chronique peuvent alors être révélées. Un suivi prolongé pourra s'avérer nécessaire chez certains patients.
Une surveillance attentive du patient devra être effectuée au cours d'un sevrage pour utilisation abusive de méthylphénidate, en raison d'un risque d'apparition d'une dépression sévère.
Choix de la formulation de méthylphénidate
Le choix de la formulation du médicament contenant du méthylphénidate, devra être effectué par le médecin spécialiste au cas par cas ; ce choix dépend de la durée de l'effet souhaitée.
Pour le traitement du TDAH chez l'adulte, seule la forme RITALINE L.P. doit être utilisée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Dépistage toxicologique
Le méthylphénidate peut donner des résultats faux positifs lors de la recherche d'amphétamines, notamment avec les immuno-essais.
Excipients : saccharose (sphères de sucre)
Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Patient de 50 à 60 ans
Douleur thoracique à l'effort
Syncope récente inexpliquée
Dyspnée
Augmentation de la pression artérielle
Accélération de la fréquence cardiaque
Antécédent de maladie cardiovasculaire
Trouble neurologique
Céphalée sévère
Faiblesse
Anomalie de la coordination
Altération de la vision
Trouble de la mémoire
Trouble psychiatrique
Trouble de la pensée
Comportement agressif
Hostilité
Trouble du comportement
Tics
Maladie de Gilles de la Tourette
Anxiété
Agitation
Erection prolongée
Epilepsie
Convulsions
Anomalie de l'électroencéphalogramme
Antécédent de dépendance aux drogues
Antécédent de dépendance à l'alcool
Risque de survenue de dépendance
Instabilité émotionnelle
Insuffisant rénal
Insuffisant hépatique
Leucopénie
Thrombocytopénie
Anémie
Perturbation hématologique
Puberté
RITALINE L.P. a une influence modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Le méthylphénidate améliore l'attention. Toutefois, il peut provoquer des sensations vertigineuses, une somnolence ou des troubles visuels, y compris des difficultés d'accommodation, une diplopie ou une vision floue, ainsi que des hallucinations et autres effets indésirables affectant le système nerveux central (voir rubrique Effets indésirables).
Les patients doivent être informés de ces effets possibles et avertis, qu'en cas de survenue, ils doivent éviter les activités potentiellement dangereuses telles que la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.
Interaction pharmacocinétique
L'effet du méthylphénidate sur les concentrations plasmatiques de médicaments administrés de façon concomitante n'est pas connu. Par conséquent, la prudence est recommandée lors de l'association de méthylphénidate avec d'autres médicaments, notamment avec les médicaments à faible marge thérapeutique.
Le cytochrome P450 n'intervient pas de façon cliniquement pertinente dans le métabolisme du méthylphénidate. Une modification significative de la pharmacocinétique du méthylphénidate par l'administration d'inducteurs ou d'inhibiteurs du cytochrome P450 n'est pas attendue. Inversement, les énantiomères d- et l- du méthylphénidate n'inhibent pas de façon significative les cytochromes P450 1A2, 2C8, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 ou 3A.
Cependant, des cas d'inhibition possible du métabolisme des anticoagulants coumariniques, des antiépileptiques (ex. phénobarbital, phénytoïne, primidone) et de certains antidépresseurs (antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) ont été rapportés avec le méthylphénidate.
A l'initiation ou à l'arrêt du traitement par méthylphénidate, il peut être nécessaire d'adapter la posologie des médicaments associés et de doser leurs concentrations plasmatiques (ou, dans le cas des anticoagulants coumariniques, le temps de coagulation).
Interactions pharmacodynamiques
+ Antihypertenseurs
Le méthylphénidate peut diminuer l'efficacité des médicaments utilisés pour traiter l'hypertension.
+ Médicaments augmentant la pression artérielle
La prudence est recommandée chez les patients traités par méthylphénidate et recevant un autre médicament pouvant augmenter la pression artérielle (voir également rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
En raison du risque de crise hypertensive, le méthylphénidate est contre-indiqué chez les patients traités (actuellement ou dans les 14 jours précédentes) par des IMAO (voir rubrique Contre-indications).
+ Consommation d'alcool
L'alcool peut exacerber les effets indésirables centraux des médicaments psychotropes, y compris du méthylphénidate. Il est donc recommandé aux patients de s'abstenir de consommer de l'alcool au cours du traitement.
En cas de concentrations très élevées en alcool, le profil cinétique peut changer vers un modèle de type libération immédiate.
+ Anesthésiques
Il existe un risque d'augmentation soudaine de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque au cours de l'intervention chirurgicale. Si une intervention est prévue, le méthylphénidate ne doit pas être pris le jour de l'intervention.
+ Agonistes alpha-2 adrénergiques centraux (ex. clonidine)
La sécurité d'emploi à long terme du méthylphénidate en association avec la clonidine ou avec d'autres agonistes alpha-2- adrénergiques centraux n'a pas été évaluée de manière systématique.
+ Médicaments dopaminergiques
La prudence est recommandée lors de l'administration de méthylphénidate en association avec des médicaments dopaminergiques, y compris les antipsychotiques. Le méthylphénidate augmente principalement les taux extracellulaires de dopamine ; de ce fait, le méthylphénidate peut provoquer des interactions pharmacodynamiques lorsqu'il est administré avec des agonistes directs ou indirects de la dopamine (y compris la L-DOPA et les antidépresseurs tricycliques) ou avec les antagonistes de la dopamine (y compris les antipsychotiques).
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INFECTOPHARM FRANCE
Code UCD7 : 9383876
Code UCD13 : 3400893838761
Code CIS : 61810983
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : INFECTOPHARM ARZNEIMITTEL
Laboratoire exploitant : INFECTOPHARM FRANCE
Prix vente TTC : 11.67€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 11.67€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 01/08/2011
Rectificatif AMM : 03/01/2025
Marque : RITALINE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400941686535
Référence LPPR : Aucune
METHYLPHENIDATE ARROW LP 10 milligrammes, gélule à libération prolongée, boîte de 28
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