RULID

Principes actifs : Roxithromycine

Les gammes de produits

RULID 150 mg cp

Remboursable

Sur prescription seulement

Angine à streptocoque A bêta-hémolytique
Sinusite aiguë
Surinfection bactérienne de bronchite aiguë

Forme :

 Comprimé enrobé

Catégories :

 Infectiologie - Parasitologie, Macrolides et apparentés, Macrolides, Roxithromycine

Principes actifs :

 Roxithromycine

Posologie pour RULID 150 mg cp

Indications

Angine à streptocoque A bêta-hémolytique, Sinusite aiguë, Surinfection bactérienne de bronchite aiguë, Exacerbation de bronchite chronique, Pneumopathie communautaire, Pneumopathie atypique, Impétigo, Impétiginisation des dermatoses, Ecthyma, Dermohypodermite infectieuse, Erythrasma, Infection génitale non gonococcique

Posologie

Adulte (implicite)
1 comprimé matin et soir avant les repas avec un verre d'eau.

Adulte . Angine à streptocoque A bêta-hémolytique
1 comprimé matin et soir avant les repas avec un verre d'eau pendant 10 jours.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

PREVENIR LE MEDECIN en cas de diarrhée au cours ou après le traitement, en particulier, si elle est sévère, persistante ou sanglante. NE PAS PRENDRE D'ANTIDIARRHEIQUES sans avis médical.
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Plaques rouges sur la peau qui démangent.
- Cloques ou décollement de la peau associés à des symptômes grippaux et de la fièvre, à un malaise général, de la fièvre, des frissons et des douleurs musculaires, ou à une éruption rouge et squameuse avec des boutons.
- Bleus ou petites taches rouges sur la peau.
- Brusque gonflement du visage et du cou, gêne respiratoire, choc anaphylactique.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (troubles visuels, vision floue, sensations vertigineuses).

Contre-indications pour RULID 150 mg cp

  • Allaitement si l'enfant est traité par cisapride
  • Patient de moins de 6 ans
  • Patient de 6 à 15 ans
  • Malabsorption du glucose-galactose
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Grossesse

Effets indésirables pour RULID 150 mg cp

Niveau d’apparition des effets indésirables

Fréquent

Céphalée

Diarrhée

Gastralgie

Sensation vertigineuse

Nausée

Vomissement

Rash cutané

Eosinophilie

Erythème polymorphe

Réaction bulleuse

Arythmie ventriculaire

Choc anaphylactique

Fibrillation ventriculaire

Ictère

Oedème de Quincke

Pancréatite

Tachycardie ventriculaire

Thrombopénie

Torsades de pointes

Urticaire allergique

Agranulocytose

Bronchospasme

Etat confusionnel

Syndrome de Lyell

Purpura

Syndrome de Stevens-Johnson

Allongement de l'intervalle QT

Dysgueusie

Hépatite cytolytique

Neutropénie

Paresthésie

Réaction d'hypersensibilité

Arrêt cardiaque

Hypoacousie

Augmentation des transaminases

Colite pseudomembraneuse

Augmentation des phosphatases alcalines

Hépatite cholestatique

Troubles visuels

Réaction anaphylactoïde

Agueusie

Vision floue

Pustulose exanthématique aiguë généralisée

Diarrhée sanglante

Parosmie

Anosmie

Acouphène

Angioedème

Hallucination

Vertige labyrinthique

Surdité transitoire

Colite à C.difficile

Surinfection


Le tableau ci-dessous récapitule les effets indésirables identifiés durant les essais cliniques et enregistrés dans la base de données de pharmacovigilance, par catégorie de système et d'organe et par fréquence. Les catégories de fréquence sont définies en appliquant la convention suivante : très fréquent (= 1/10) ; fréquent (= 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent (= 1/1 000 à < 1/100) ; et fréquence indéterminée (impossible à estimer à partir de données disponibles).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le RULID 150 mg cp

Grossesse

Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la roxithromycine au cours de la grossesse. En effet, les données cliniques sont insuffisantes, bien que les données animales ne mettent pas en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique à des doses supérieures à 200 mg/kg/j ou 40 fois la dose thérapeutique chez l'homme.

Allaitement

Le passage de la plupart des macrolides dans le lait maternel est documenté, avec des concentrations dans le lait égales ou supérieures aux concentrations plasmatiques. Cependant, les quantités ingérées par le nouveau-né reste faibles au regard des posologies pédiatriques. Le risque majeur consiste en une modification de la flore intestinale de l'enfant.

En conséquence, l'allaitement est possible. En cas de survenue de troubles digestifs chez le nourrisson (candidose intestinale, diarrhée), il est nécessaire d'interrompre l'allaitement (ou le médicament).

En cas de prise de cisapride chez le nouveau-né ou le nourrisson allaité, l'administration de macrolides à la mère est contre-indiquée par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d'interaction chez l'enfant (torsades de pointe).


Mise en garde pour RULID 150 mg cp

Mise en garde

Mises en garde spéciales

Excipient à effet notoire

Ce médicament contient du glucose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose.

Insuffisance hépatique

En cas d'insuffisance hépatique sévère, l'administration de la roxithromycine n'est pas recommandée. En cas d'insuffisance hépatique légère à modérée, la roxithromycine doit être utilisée avec précaution. Si l'administration est nécessaire, elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques et éventuellement une réduction de posologie.

Insuffisance rénale

L'élimination rénale de la molécule active et de ses métabolites est faible (10 % de la dose orale), ce qui permet de ne pas modifier les posologies en cas d'insuffisance rénale.

Sujet âgé

Chez les sujets âgés, la demi-vie est allongée. Cependant, après administration répétée de 150 mg toutes les 12 heures, les concentrations plasmatiques maximales et l'aire sous la courbe, à l'état d'équilibre entre 2 prises de roxithromycine, ne sont pas différentes de celles obtenues chez les sujets jeunes. Il n'est donc pas nécessaire de modifier la posologie chez les sujets âgés.

Association avec les alcaloïdes ergotés

Une vasoconstriction sévère (ergotisme) avec possible nécrose des extrémités a été rapportée avec les macrolides en cas d'association avec les alcaloïdes ergotés vasoconstricteurs. Il est nécessaire de vérifier l'absence d'un traitement par ces alcaloïdes avant toute prescription de roxithromycine (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

La prise concomitante de roxithromycine avec des alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Réactions bulleuses graves

Des cas de réactions bulleuses graves telles que le syndrome de Stevens-Johnson, le syndrome de Lyell et la pustulose exanthématique aigüe généralisée (PEAG) ont été rapportés avec la roxithromycine (voir rubrique Effets indésirables). Si le patient présente des symptômes ou des signes de PEAG, de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell (par exemple éruption cutanée progressive souvent avec des cloques ou lésions des muqueuses), Rulid doit être arrêté.

Précautions d'emploi

Allongement de l'intervalle QT

Dans certaines conditions, les macrolides incluant la roxithromycine, ont la possibilité d'allonger l'intervalle QT. Par conséquent, la roxithromycine devra être utilisée avec précaution chez les patients ayant un syndrome du QT long congénital, des conditions pro-arythmiques (ex : hypokaliémie ou hypomagnésémie non corrigée, bradycardie cliniquement significative), ainsi que chez les patients recevant des antiarythmiques de classe IA et III et d'autres traitements pouvant allonger l'intervalle QT tels que l'hydroxychloroquine ou la chloroquine (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Effets indésirables).

Myasthénie

Comme c'est le cas avec d'autres macrolides, la roxithromycine peut aggraver une myasthénie.

Surveillance clinique en cas de traitement prolongé

La surveillance de la fonction hépatique, de la fonction rénale et de la formule sanguine est recommandée en particulier en cas de traitement prolongé (par exemple : durée de traitement supérieure à 2 semaines) (Voir rubrique Effets indésirables).

Infection à Clostridium difficile

Des cas de diarrhée associée à Clostridium difficile (DACD) ont été rapportés avec l'utilisation de pratiquement tous les antibiotiques, y compris la roxithromycine (voir rubrique Effets indésirables). Leur sévérité peut aller d'une diarrhée légère jusqu'à une colite pseudomembraneuse mettant en jeu le pronostic vital. Le traitement par antibiotiques modifie la flore du côlon, conduisant ainsi à une prolifération excessive de C. difficile.

C. difficile produit des toxines A et B, qui contribuent au développement de la DACD. Ces souches productrices de toxines augmentent la morbidité et la mortalité, ces infections pouvant être réfractaires au traitement antibiotique et nécessiter une colectomie. La présence d'une DACD doit être envisagée chez tous les patients développant une diarrhée après l'utilisation d'antibiotiques et la roxithromycine devra être arrêtée immédiatement. Il est important que ce diagnostic soit évoqué chez des patients qui présentent une diarrhée pendant ou après la prise d'un antibiotique.

Précautions d'emploi

Insuffisance hépatique légère à modérée

Manifestations de réaction cutanée sévère

Réaction cutanée sévère

Syndrome congénital du QT long

Patient présentant des conditions pro-arythmogènes

Myasthénie

Diarrhée d'un traitement antibiotique

Allaitement

Aptitude à conduire

Des troubles visuels et une vision floue peuvent avoir une influence sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines (voir rubrique Effets indésirables). L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de sensations vertigineuses attachés à l'emploi de ce médicament.

Interaction avec d'autre médicaments

Associations contre-indiquées (voir rubrique Contre-indications)

+ Colchicine

Augmentation des effets indésirables de la colchicine, aux conséquences potentiellement fatales.

+ Cisapride

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

+ Ergotamine, dihydroergotamine

Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (diminution de l'élimination hépatique de l'ergotamine et inhibition de l'élimination hépatique de la dihydroergotamine).

Associations déconseillées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Mises en garde spéciales)

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)

Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avec accroissement possible de son activité ou apparition de signes de surdosage.

+ Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi)

(amiodarone, amisulpride, arsenieux, bepridil, chlorpromazine, citalopram, cyamemazine, diphemanil, disopyramide, dofetilide, dolasetron, domperidone, dronedarone, droperidol, erythromycine, escitalopram, flupentixol, fluphenazine, halofantrine, haloperidol, hydroquinidine, ibutilide, levofloxacine, levomepromazine, lumefantrine, mequitazine, methadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, pimozide, pipamperone, pipotiazine, prucalopride, quinidine, sertindole, sotalol, spiramycine, sulpiride, sultopride, tiapride, toremifene, vandétanib, vincamine, zuclopenthixol).

Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments, antiarythmiques ou non. L'hypokaliémie (notamment induite par des médicaments hypokaliémiants) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (notamment induite par des médicaments bradycardisants) ou un allongement préexistant de l'intervalle QT, congénital ou acquis. Les médicaments à l'origine de cet effet indésirable sont notamment les antiarythmiques de classe la et Ill, et certains neuroleptiques. D'autres molécules n'appartenant pas à ces classes sont également en cause.

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Bradycardisant

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique.

+ Antivitaminique K (acenocoumarol, fluindione, phenindione, warfarine)

Augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque hémorragique. Contrôle plus fréquent de I'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par le macrolide et après son arrêt.

+ Hydroxychloroquine ou chloroquine

La roxithromycine doit être utilisée avec prudence chez les patients traités avec ces médicaments connus pour allonger l'intervalle QT, en raison de la possibilité d'induire des effets indésirables cardiovasculaires graves (incluant un allongement de l'intervalle QT, des arythmies cardiaques et des torsades de pointes) et pour augmenter le risque de mortalité cardiovasculaire.

Problèmes particuliers du déséquilibre de I'INR

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de I'INR.

Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.

+ Atorvastatine, simvastatine

Risque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse.

Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémiants.

+ Ciclosporine

Risque d'augmentation des concentrations sanguines de ciclosporine et de la créatininémie.

Dosage des concentrations sanguines de ciclosporine, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après l'arrêt du macrolide.

+ Digoxine et autres digitaliques

Augmentation de la digoxinémie par augmentation de son absorption.

Surveillance clinique (symptomatologie et contrôle ECG) et éventuellement de la digoxinémie pendant le traitement par la azithromycine et après son arrêt.

Cette surveillance clinique est obligatoire s'il survient les symptômes suggérant un surdosage de digitalique.

La toxicité cardiaque du digitalique peut se manifester par les symptômes suivants : nausée, vomissement, diarrhée, céphalée ou vertige, troubles du rythme ou de la conduction cardiaque.

Associations à prendre en compte

+ Midazolam

Majoration légère de la sédation.

+ Théophylline (et, par extrapolation, aminophylline)

Risque d'augmentation de la théophyllinémie, particulièrement chez l'enfant. Toutefois, ceci ne requiert généralement pas de modification de la posologie usuelle.

+La roxithromycine est un inhibiteur faible du CYP3A4. Elle peut diminuer jusqu'à 2 fois, l'élimination des médicaments métabolisés principalement par le CYP3A. La prudence est de rigueur lorsque la roxithromycine est co-prescrite avec un médicament métabolisé par le CYP3A (tel que rifabutine et bromocriptine).


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Excipients

Hydroxypropylcellulose, Polyoxyéthylène polyoxypropylèneglycol, Polyvidone, Silice colloïdale, Magnésium stéarate, Talc, Amidon de maïs, Enrobage : Méthylhydroxypropylcellulose, Glucose, Titane dioxyde, Propylène glycol

Exploitant / Distributeur

CORREVIO

15 rue du bicentenaire

92800

PUTEAUX

Code UCD7 : 9117100

Code UCD13 : 3400891171006

Code CIS : 65393957

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : AMDIPHARM LIMITED

Laboratoire exploitant : CORREVIO

Prix vente TTC : 9.28€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 9.28€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 04/08/1986

Rectificatif AMM : 17/11/2023

Marque : RULID

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400933761318

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

CLARAMID 150 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10

Comprimé pelliculé

CLARAMID 150 mg, comprimé pelliculé, boîte de 16

Comprimé pelliculé

ROXITHROMYCINE ACTAVIS 150 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10

Comprimé pelliculé

ROXITHROMYCINE ACTAVIS 150 mg, comprimé pelliculé, boîte de 16

Comprimé pelliculé

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