THERALENE
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Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé sécable
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Hypnotiques, Antihistaminiques H1, Alimémazine
Principes actifs :
Alimémazine
Insomnie occasionnelle, Insomnie transitoire, Insomnie d'endormissement
Adulte . Insomnie (implicite)
10 mg 15 à 30 minutes avant le coucher le soir pendant 5 jours. Maximum 20 mg par jour.
ou 2 comprimés 15 à 30 minutes avant le coucher le soir pendant 5 jours. Maximum 4 comprimés par jour.
Enfant de plus de 6 ans de 20 à 40 Kg . Insomnie d'endormissement (implicite)
5 mg 15 à 30 minutes avant le coucher le soir pendant 5 jours. Maximum 10 mg par jour.
ou 1 comprimé 15 à 30 minutes avant le coucher le soir pendant 5 jours. Maximum 2 comprimés par jour.
Enfant de plus de 6 ans de 40 à 50 Kg . Insomnie d'endormissement (implicite)
10 mg 15 à 30 minutes avant le coucher le soir pendant 5 jours. Maximum 10 mg par jour.
ou 2 comprimés 15 à 30 minutes avant le coucher le soir pendant 5 jours. Maximum 2 comprimés par jour.
Voie orale
ARRETER IMMEDIATEMENT LE TRAITEMENT ET AVERTIR UN MEDECIN en cas de :
- Syndrome malin des neuroleptiques, se manifestant par une fièvre inexpliquée (hyperthermie), une raideur musculaire, des sueurs ou une pâleur, des troubles de la conscience.
- Réactions allergiques : éruption cutanée (rougeurs, eczéma, démangeaisons de la peau, éruptions, urticaire pouvant se généraliser à tout le corps), oedème de Quincke (gonflement de la peau et/ou des muqueuses au niveau de la tête et du cou [paupières, lèvres, langue, pharynx] pouvant entraîner des difficultés à respirer, choc anaphylactique (réaction allergique généralisée brutale avec chute de la tension).
- Photosensibilisation : sensibilisation au rayon de soleil entrainant coup de soleil et brulure de la peau suite à une exposition au soleil.
- Crises convulsives (rares cas).
- Baisse du nombre de globules blancs dans le sang entrainant un risque d'infection.
- Saignements de nez ou des gencives qui peuvent traduire un trouble de la coagulation en lien avec une diminution des plaquettes dans le sang.
CONSULTER RAPIDEMENT UN MEDECIN en cas de constipation persistante, de ballonnement important et de douleurs
abdominales, pouvant s'accompagner de vomissements.
Compte tenu de l'effet photosensibilisant des phénothiazines, il est préférable de NE PAS S' EXPOSER AU SOLEIL pendant le traitement.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence).
EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool pendant le traitement.
Aménorrhée
Anémie hémolytique
Bradycardie
Choc anaphylactique
Confusion mentale
Constipation
Eczéma
Erythème
Galactorrhée
Glaucome aigu
Gynécomastie
Hyperprolactinémie
Hypoglycémie
Hypotension orthostatique
Insomnie
Leucopénie
Nervosité
Palpitation
Prise de poids
Prurit
Rétention urinaire
Tachycardie
Torsades de pointes
Urticaire allergique
Urticaire géante
Vertige
Thrombocytopénie
Troubles de l'érection
Photosensibilisation
Mydriase
Hallucinations
Excitation
Allongement de l'intervalle QT
Dyskinésie précoce
Dyskinésie tardive
Hyperglycémie
Neutropénie
Somnolence
Syndrome malin des neuroleptiques
Sédation
Troubles de l'accommodation
Tremblement
Troubles de l'éjaculation
Trismus
Crise oculogyre
Torticolis spasmodique
Akathisie
Dépôts brunâtres dans le segment antérieur de l'oeil
Réaction cutanée allergique
Syndrome extrapyramidal akinétique
Réaction anxieuse
Indifférence
Hépatite cholestatique
Nécrose intestinale
Troubles de l'humeur
Incoordination motrice
Baisse de la concentration
Baisse de la mémoire
Trouble de l'équilibre
Sécheresse des muqueuses
Ictère cholestatique
Augmentation de l'appétit
Réaction allergique
Purpura allergique
Altération de la tolérance au glucose
Hyperviscosité des sécrétions bronchiques
Syndrome des jambes sans repos
Colite ischémique
Perturbation de la glycorégulation
Trouble du rythme
Trouble de la thermorégulation
Risque de syndrome de l'iris flasque
Les caractéristiques pharmacologiques de l'alimémazine sont celles des phénothiazines, à l'origine d'effets indésirables. L'intensité et la fréquence de survenue des effets indésirables sont majorés chez le sujet âgé et l'enfant.
· Affections cardiaques :
o palpitations,
o bradycardie, tachycardie
o troubles du rythme
o allongement de l'intervalle QT (pouvant potentiellement entrainer une torsade de pointe),
· Affections vasculaire :
o hypotension orthostatique.
· Affections gastro-intestinales:
o constipation, diminution du péristaltisme intestinal avec possibilité de colite ischémique et de nécrose intestinale (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.).
· Affections hématologiques et du système lymphatique
o leucopénie, neutropénie, agranulocytose rare (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi),
o thrombocytopénie,
o anémie hémolytique.
· Affections hépatobiliaires:
o ictère cholestatique, hépatite à prédominance cholestatique,
· Affections oculaires :
o troubles de l'accommodation
o mydriase
o syndrome de l'iris hypotonique
o glaucome aigu
o dépôts brunâtres dans les segments antérieurs de l'oeil, dus à l'accumulation du produit, en général sans retentissement sur la vision
· Affections des organes de reproduction et du sein
o hyperprolactinémie : aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie ;
o troubles de l'éjaculation et de l'érection,
· Affections de la peau et du tissu sous-cutané
o photosensibilisation.
o réactions cutanées allergiques : érythème, eczéma, prurit, purpura, urticaire éventuellement géante,
· Affections du rein et des voies urinaires
o rétention urinaire
· Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
o hyperviscosité des sécrétions bronchiques
· Affections du système immunitaire
o réactions allergiques systémiques, choc anaphylactique, plus rarement oedème de Quincke,
· Affections psychiatriques :
o indifférence, réactions anxieuses, troubles de l'humeur,
o état confusionnel (plus fréquent chez le sujet âgé),
o hallucinations,
o excitation, nervosité, insomnie.
· Affections du système nerveux :
o troubles de l'équilibre, vertiges,
o baisse de la mémoire ou de la concentration,
o sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement,
o incoordination motrice, tremblements (plus fréquent chez le sujet âgé),
o de rares cas de crises convulsives, principalement en cas d'antécédents d'épilepsie ou en présence d'autres facteurs de risque, tels que l'association à d'autres médicaments abaissant le seuil épileptogène, ou la prise d'alcool (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
o syndrome malin des neuroleptiques (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.),
o trouble de la thermorégulation (pouvant être annonciateur d'un syndrome malin des neuroleptiques - voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.)
o dyskinésies précoces (torticolis spasmodiques, crises oculogyres, trismus),
o dyskinésies tardives, survenant surtout lors de cures prolongées. Ces dyskinésies tardives surviennent parfois à l'arrêt du neuroleptique et disparaissent lors de sa réintroduction ou à l'augmentation de la posologie. Les antiparkinsoniens sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation.
o syndrome extrapyramidal : akinétique, avec ou sans hypertonie,
o akathisie
o syndrome des jambes sans repos
· Troubles généraux et anomalies au site d'administration
o sécheresse des muqueuses ;
· Troubles du métabolisme et de la nutrition :
o hyperglycémie, altération de la tolérance au glucose, trouble de la glycorégulation (incluant l'hypoglycémie).
o prise de poids, augmentation de l'appétit
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.
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Grossesse
Compte tenu des données disponibles, il est préférable par mesure de prudence d'éviter d'utiliser l'alimémazine au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme.
En effet, les données animales sont insuffisantes pour conclure et les données cliniques sont rassurantes, mais limitées.
En cas de traitement en fin de grossesse, tenir compte des propriétés anticholinergiques et sédatives de cette molécule pour la surveillance du nouveau-né.
Allaitement
Le passage de l'alimémazine dans le lait maternel n'est pas connu. Compte tenu des possibilités de sédation ou d'excitation paradoxale du nouveau-né, et plus encore des risques d'apnée du sommeil évoqués avec les phénothiazines, ce médicament est déconseillé en cas d'allaitement.
Insomnie
L'insomnie peut avoir des causes variées ne nécessitant pas obligatoirement la prise d'un médicament.
La cause de l'insomnie doit si possible être identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités.
La persistance de l'insomnie après 5 jours de ce traitement peut indiquer une pathologie sous-jacente, et le traitement devra être réévalué.
Syndrome malin des neuroleptiques:
Des cas de syndrome malin des neuroleptiques ont été rapportés avec l'alimémazine. Le syndrome malin des neuroleptiques se caractérise par une hyperthermie, une rigidité musculaire, une instabilité du système nerveux autonome, des troubles de la conscience et une augmentation de la créatine phosphokinase (CPK) sanguine. Des signes supplémentaires peuvent inclure une myoglobinurie témoignant d'une rhabdomyolyse et une insuffisance rénale aiguë. Tous signes évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques doivent faire interrompre immédiatement le traitement par alimémazine. En cas d'hyperthermie inexpliquée, il est impératif de suspendre le traitement par alimémazine car ce signe peut être l'un des éléments du syndrome malin des neuroleptiques. Les signes de dysfonctionnement végétatif, tels que pâleur, hypersudation, et instabilité artérielle, peuvent être des signes précoces annonciateurs précédant l'apparition de l'hyperthermie. Bien que le syndrome malin des neuroleptiques puisse avoir une origine idiosyncrasique, certains facteurs de risque semblent y prédisposer, tels que la déshydratation ou des atteintes organiques cérébrales.
Agranulocytose :
Des cas d'agranulocytose ont été décrits avec l'alimémazine. L'apparition d'une fièvre, d'une angine ou d'une autre infection doit conduire à un examen médical et le contrôle de l'hémogramme. Le traitement par alimémazine doit être immédiatement interrompu en cas de neutropénie ou granulopénie.
Sujets épileptiques ou à risque de convulsions:
Les phénotiazines abaissent le seuil épileptogène. La prudence est requise et la surveillance doit être renforcée chez les sujets épileptiques ou à risque de convulsions.
Sujet âgés:
L'alimémazine est déconseillé chez les sujets âgés qui, du fait de leur plus grande sensibilité, présentent un risque accru d'hypotension orthostatique, de vertiges, de chutes, de sédation, d'effets extrapyramidaux et de dépression respiratoire.
En raison des propriétés anticholinergiques de l'alimémazine, la prudence est également requise chez le sujet âgé en cas de constipation chronique (risque d'iléus paralytique), d'hypertrophie prostatique (risque de rétention urinaire) ou de traitement par les anticholinestérasiques (risque d'état confusionnel).
Si l'alimémazine est utilisée malgré tout, la posologie doit être diminuée (voir rubrique Posologie et mode d'administration.).
Diminution du péristaltisme intestinal :
Des cas d'obstruction intestinale ont été rapportés chez des patients traités par anticholinergiques neuroleptiques. De rares cas de colite ischémique et de nécrose intestinale, d'évolution parfois fatale, ont également été rapportés. La majorité de ces patients étaient traités de façon concomitante avec un ou plusieurs médicaments induisant une diminution de la motilité intestinale (en particulier les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques). L'apparition de douleurs abdominales avec vomissements et/ou diarrhée sous traitement doit attirer l'attention. Il est impératif que la constipation soit reconnue et traitée activement. La survenue d'un iléus/d'un syndrome occlusif intestinal nécessite une prise en charge en urgence.
Effets dépresseurs du système nerveux central :
L'alimémazine, exerce un effet dépresseur central pouvant aggraver un syndrome d'apnées du sommeil préexistant (augmentation du nombre et de la durée des apnées).
L'action sédative de l'alimémazine peut être potentialisée par l'administration de tout autre dépresseur du système nerveux central (en particulier l'alcool). La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool est fortement déconseillée pendant la durée du traitement (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Sujets polymédicamentés :
La prudence est requise chez les sujets polymédicamentés en raison du risque d'interactions médicamenteuses et de potentialisation des effets indésirables (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
L'association à des médicaments inhibiteurs de l'acétylcholinestérase est à éviter, les inhibiteurs de l'acétylcholinestérase peuvent interférer avec l'activité des anticholinergiques.
Troubles cardiovasculaires:
L'alimémazine doit être utilisée avec prudence chez les sujets présentant des troubles cardio-vasculaires, en raison des effets tachycardisants et hypotenseurs des phénotiazines.
Des cas d'augmentation de l'intervalle QT ont été rapportés avec l'alimémazine le plus souvent en association à d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le QT. La prudence est requise chez les patients présentant des antécédents personnels ou familiaux de QT et en cas d'utilisation concomitante de médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT.
Photosensibilisation :
Compte-tenu de l'effet photosensibilisant des phénothiazines, il est recommandé de ne pas s'exposer au soleil pendant le traitement.
Insuffisance hépatique ou rénale:
L'élimination de l'alimémazine est diminuée en cas d'insuffisances hépatique et/ou rénale sévères. Il est préférable de ne pas administrer l'alimémazine chez les patients insuffisants rénaux ou hépatiques en raison du risque d'accumulation. Si un traitement est entrepris malgré tout, les doses devront être diminuées.
Surdosage
Des cas de surdosage pouvant conduire au décès ont été rapportés.
Abus
Des cas d'abus ont été rapportés en particulier chez des patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques ou d'addiction.
Excipients à effet notoire
Amidon de blé:
Ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque. L'amidon de blé contenu dans ce médicament en tant qu'excipient, peut contenir du gluten, mais seulement à l'état de trace, et est donc considéré comme sans danger pour les sujets présentant une maladie coeliaque.
Compte tenu de la présence d'amidon de blé, ce médicament est contre indiqué chez les sujets allergiques au blé.
Lactose
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
Syndrome malin des neuroleptiques
Hyperthermie inexpliquée
Déshydratation
Atteinte cérébrale organique
Fièvre
Angine
Infection
Neutropénie
Granulopénie
Epileptique
Risque de convulsion
Sujet âgé
Douleur abdominale
Vomissement
Diarrhée
Constipation
Iléus
Syndrome occlusif gastro-intestinal
Syndrome d'apnée du sommeil (SAOS)
Sujet polymédiqué
Troubles cardiovasculaires
Antécédent de QT long
Antécédent familial de QT long
Exposition au soleil
Antécédent de trouble psychiatrique
Antécédent de dépendance
L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament, particulièrement en début de traitement.
Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool.
Débuter le traitement le soir.
Association aux médicaments connus pour allonger l'intervalle QT
La prudence est requise lorsque l'alimémazine est prescrite en association avec des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT, tels que les antiarythmiques (ex: quinidine, disopyramide, procaïnamide, propafénone, amiodarone, sotalol), les antidépresseurs tricycliques (amitriptyline), les antidépresseurs tétracycliques (maprotiline), certains antihistaminiques, les antipsychotiques, certains antipaludiques (quinine et méfloquine), et les médicaments entraînant des troubles électrolytiques (hypokaliémie, hypomagnésémie), une bradycardie. Risque d'augmentation de l'intervalle QT.
Associations déconseillées
+ Alcool
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antihistaminiques. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boisson alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ LITHIUM
Risque d'apparition de signes neuropsychiques évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ou d'une intoxication au lithium.
Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.
+ TOPIQUES GASTRO-INTESTINAUX, ANTIACIDES ET ADSORBANTS
Diminution de l'absorption de l'alimémazine. Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de l'alimémazine (plus de 2 heures, si possible).
Associations à prendre en compte
+ Autres médicaments sédatifs, HYPNOTIQUES, OU dépresseurs du système nerveux central (certains antidépresseurs sedatifs : amitriptyline, doxepine, mianserine, mirtazapine, trimipramine barbituriques, benzodiazepines et apparentes tels que zolpidem ou zopiclone, autres anxiolytiques, antihypertenseurs centraux, hypnotiques, dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs, traitements de substitution), autres antihistamiques sédatifs, neuroleptiques, baclofène, thalidomide)
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Atropine et autres substances anticholinergiques (antidepresseurs imipraminiques, antiparkinsoniens anticholinergiques, antispasmodiques atropiniques, disopyramide, neuroleptiques phenothiaziniques, antihistaminiques H1 atropiniques, clozapine)
Addition des effets indésirables anticholinergiques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche.
+ DAPOXÉTINE
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
+ MÉDICAMENTS ABAISSANT LA PRESSION ARTÉRIELLE
Risque de majoration d'une hypotension, notamment orthostatique
+ AUTRES MÉDICAMENTS ABAISSANT LE SEUIL ÉPILEPTOGÈNE (antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), neuroleptiques (phénothiazines et butyrophénones), méfloquine, chloroquine, fluoroquinolones, bupropion, tramadol)
Risque accru de convulsions.
+ BÊTA-BLOQUANTS DANS L'INSUFFISANCE CARDIAQUE
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effet additif).
+ ORLISTAT
Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant par Orlistat.
Théralène : restriction des indications et actualisation des informations relatives au profil de sécurité. Médicaments désormais soumis à prescription médicale obligatoire
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentQ/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentTHERALENE_19102016_AVIS_CT15651
Télécharger le documentTHERALENE_23092015_AVIS_CT13409
Télécharger le documentPsychiatrie : Livret AFSSaPS Médicaments et Grossesse Version N°4.
Télécharger le documentLactose monohydraté, Amidon de blé, Silice, Erythrosine, Silice colloïdale, Magnésium stéarate, Pelliculage : Opadry Pink 07F240007 : Hypromellose, Talc, Titane dioxyde, Macrogol, Erythrosine, Saccharine sodique, Laque aluminique de jaune de quinoléine
LABORATOIRE X.O
170 Bureaux de la Colline
92213
Saint Cloud Cedex
Code UCD7 : 9092245
Code UCD13 : 3400890922456
Code CIS : 66801066
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : LABORATOIRE X.O
Laboratoire exploitant : LABORATOIRE X.O
Prix vente TTC : 1.84€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 1.84€
Taux SS : 15%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH2
Date AMM : 22/10/1986
Rectificatif AMM : 10/06/2021
Marque : THERALENE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400931052838
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
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