ZARZIO
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution injectable ou pour perfusion
Catégories :
Cancérologie et hématologie, Cytokines et immunomodulateurs, Facteurs de croissance leucocytaires, Filgrastim
Principes actifs :
Filgrastim
Neutropénie après chimiothérapie cytotoxique, Neutropénie après thérapie myélosuppressive suivie de greffe de moelle osseuse, Mobilisation de cellules souches progénitrices, Neutropénie sévère congénitale, Neutropénie cyclique, Neutropénie idiopathique, Neutropénie chez le patient infecté par le VIH
Adulte de 16 ans à 60 ans . donneur sain. Mobilisation de cellules souches progénitrices. Voie SC (implicite)
1 MU par kilo par jour en injection SC pendant 5 jours.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en injection SC pendant 5 jours.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte de moins de 65 ans . Traitement initial. Neutropénie chez le patient infecté par le VIH. Voie SC
0.4 MU par kilo par jour par voie SC. Maximum 1 MU par kilo par jour.
ou 0.006666 ml par kilo par jour par voie SC. Maximum 0.016666 ml par kilo par jour.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte de moins de 65 ans . Traitement d'entretien. Neutropénie chez le patient infecté par le VIH. Voie SC (implicite)
30 MU 7 fois par semaine par voie SC.
ou ½ ml 7 fois par semaine par voie SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de moins de 65 ans . Mobilisation de cellules souches progénitrices. Voie SC ou perfusion SC continue sur 24 heures
1 MU par kilo par jour par voie SC pendant 7 jours.
ou 0.016666 ml par kilo par jour par voie SC pendant 7 jours.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de moins de 65 ans . Traitement après chimiothérapie myélosuppressive. Mobilisation de cellules souches progénitrices. Voie SC
½ MU par kilo par jour en injection SC.
ou 0.008333 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de moins de 65 ans . Neutropénie après chimiothérapie cytotoxique. Voie SC (implicite)
½ MU par kilo par jour en injection SC.
ou 0.008333 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de moins de 65 ans . Traitement d'entretien. Neutropénie après chimiothérapie myélosuppressive suivie de greffe de moelle osseuse. Voie SC continue
1 MU par kilo par jour en perfusion SC continue de 24h.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en perfusion SC continue de 24h.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de moins de 65 ans . Traitement initial. Neutropénie après chimiothérapie myélosuppressive suivie de greffe de moelle osseuse. Voie SC continue
1 MU par kilo par jour en perfusion SC continue de 24h.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en perfusion SC continue de 24h.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 2 ans à 65 ans . Traitement initial. Neutropénie après chimiothérapie myélosuppressive suivie de greffe de moelle osseuse. Voie IV en perfusion de 30 minutes
1 MU par kilo par jour en perfusion IV de 30 minutes.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en perfusion IV de 30 minutes.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 2 ans à 65 ans . Traitement d'entretien. Neutropénie après chimiothérapie myélosuppressive suivie de greffe de moelle osseuse. Voie IV en perfusion de 30 minutes (implicite)
1 MU par kilo par jour en perfusion IV de 30 minutes.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en perfusion IV de 30 minutes.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 1 mois à 65 ans . Traitement d'entretien. Neutropénie sévère congénitale. Voie SC
2.4 MU par kilo par jour en injection SC. Maximum 2.4 MU par kilo par jour.
ou 0.039999 ml par kilo par jour en injection SC. Maximum 0.039999 ml par kilo par jour.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 1 mois à 65 ans . Traitement initial. Neutropénie idiopathique. Voie SC
½ MU par kilo par jour en injection SC.
ou 0.008333 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 1 mois à 65 ans . Traitement initial. Neutropénie sévère congénitale. Voie SC
1.2 MU par kilo par jour en injection SC.
ou 0.019999 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 1 mois à 65 ans . Traitement initial. Neutropénie cyclique. Voie SC
½ MU par kilo par jour en injection SC.
ou 0.008333 ml par kilo par jour en injection SC.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 1 mois à 65 ans . Traitement d'entretien. Neutropénie cyclique. Voie SC (implicite)
1 MU par kilo par jour en injection SC. Maximum 2.4 MU par kilo par jour.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en injection SC. Maximum 0.039999 ml par kilo par jour.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Adulte - Enfant de 1 mois à 65 ans . Traitement d'entretien. Neutropénie idiopathique. Voie SC
1 MU par kilo par jour en injection SC. Maximum 2.4 MU par kilo par jour.
ou 0.016666 ml par kilo par jour en injection SC. Maximum 0.039999 ml par kilo par jour.
Se conserve au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C).
Voie SC
Voie IV
CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Réaction allergique : faiblesse, baisse de tension, difficultés respiratoires, gonflement du visage, éruption cutanée, démangeaisons, gonflement du visage, des lèvres, de la bouche, de la langue ou de la gorge et essoufflement.
- Toux, fièvre et difficultés respiratoires.
- Douleur de la partie supérieure gauche du ventre, en cas de douleur au-dessous de la partie gauche de la cage thoracique ou en cas de douleur à la pointe de l'épaule gauche.
- Saignements ou des ecchymoses inhabituels.
- Sang dans les urines lors du traitement pour une neutropénie chronique sévère.
- Boursoufflure ou gonflement, possiblement associés à une diminution de la fréquence d'envie d'uriner, difficultés à respirer, gonflement ou ballonnement abdominal et sensation de fatigue générale.
-
Combinaison des symptômes suivants : fièvre, ou frissons, ou sensation
d'avoir très froid, rythme cardiaque élevé, confusion ou
désorientation, souffle court, douleur ou inconfort extrême et peau
moite ou en sueur.
- Gonflement du visage ou des chevilles, présence de sang dans les urines ou coloration brune des urines, avec des mictions moins fréquentes.
CONTACTER LE MEDECIN en cas de fièvre, douleurs abdominales, malaise, maux de dos.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (sensations vertigineuses).
SPORTIF : substance dopante.
Asthénie
Bronchite
Constipation
Douleur
Douleur thoracique
Dysurie
Epistaxis
Erythème
Hématurie
Hémoptysie
Hypertension
Hypotension
Infection des voies urinaires
Insomnie
Toux
Douleur buccale
Eruption cutanée
Hépatomégalie
Diminution de l'appétit
Dyspnée
Oedème périphérique
Paresthésie
Malaise
Sensation vertigineuse
Infection des voies respiratoires supérieures
Diminution du taux d'hémoglobine
Spasme musculaire
Sepsis
Splénomégalie
Elévation des taux sanguins de phosphatase alcaline
Elévation du taux de lactate-déshydrogénase
Douleur oropharyngée
Hypoesthésie
Réaction transfusionnelle
Hyperuricémie
Insuffisance respiratoire
Ostéoporose
Eruption maculopapuleuse
Protéinurie
Oedème pulmonaire
Réaction au site d'injection
Elévation de l'uricémie
Leucocytose
Hypersensibilité
Hypoxie
Syndrome de détresse respiratoire aiguë
Infiltration pulmonaire
Syndrome veino-occlusif
Hémorragie pulmonaire
Réaction du greffon contre l'hôte
Pneumonie interstitielle
Hypersensibilité médicamenteuse
Elévation du taux d'aspartate aminotransférase
Elévation de la gammaglutamyltransférase
Glomérulonéphrite
Réaction anaphylactique
Vascularite cutanée
Syndrome de Sweet
Exacerbation d'une polyarthrite rhumatoïde
Diminution de la glycémie
Syndrome de fuite capillaire
Anémie falciforme
Anomalie urinaire
Diminution de la densité osseuse
Rupture splénique
Crise drépanocytaire
Modification des volumes hydriques
Pseudogoutte
Aortite
Hématopoïèse extramédullaire
Dorsalgie
Leucémie
Urticaire
Myalgie
Arthralgie
Douleur osseuse
Syndrome myélodysplasique
Douleur dans le cou
Douleur dans les extrémités
Angioedème
Douleur thoracique musculosquelettique
a. Résumé du profil de sécurité
Les effets indésirables les plus sévères pouvant survenir au cours d'un traitement par filgrastim incluent : réaction anaphylactique, effets indésirables pulmonaires graves (y compris pneumonie interstitielle et SDRA), syndrome de fuite capillaire, splénomégalie sévère/rupture splénique, transformation en syndrome myélodysplasique ou en leucémie chez les patients atteints de NCS, GvH chez les patients ayant reçu une greffe allogénique de moelle osseuse ou une greffe de cellules souches progénitrices, ou crise drépanocytaire chez les patients atteints de drépanocytose.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont fièvre, douleurs musculo-squelettiques (qui comprend douleurs osseuses, dorsalgies, arthralgies, myalgies, douleurs dans les extrémités, douleurs musculo-squelettiques, douleurs thoraciques musculo-squelettiques, douleurs dans le cou), anémie, vomissements et nausées. Au cours des essais cliniques chez les patients atteints de cancer, les douleurs musculo-squelettiques ont été légères ou modérées chez 10 % des patients et sévères chez 3 % des patients.
b. Tableau récapitulatif des effets indésirables
Les données des tableaux ci-dessous décrivent les effets indésirables rapportés dans les essais cliniques ou ayant fait l'objet d'une notification spontanée. Les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité, au sein de chaque groupe de fréquence.
a Voir rubrique c (Description de certains effets indésirables)
c. Description de certains effets indésirables particuliers
Hypersensibilité
Des réactions d'hypersensibilité, incluant anaphylaxie, éruption cutanée, urticaire, angio-œdème , dyspnée et hypotension, survenues lors du traitement initial ou d'un traitement ultérieur, ont été rapportées dans le cadre des études cliniques et de la pharmacovigilance. Globalement, ces réactions ont été signalées plus fréquemment à la suite d'une administration IV. Dans certains cas, les symptômes sont réapparus lors d'une nouvelle exposition au produit, ce qui suggère un lien de causalité. L'administration de filgrastim doit être définitivement arrêtée chez les patients connaissant une réaction allergique grave.
Effets indésirables pulmonaires
Dans le cadre des études cliniques et au cours de la surveillance après commercialisation, des effets indésirables pulmonaires, incluant des pneumopathies interstitielles, des œdèmes pulmonaires et des infiltrations pulmonaires, ont été rapportés ; dans certains cas, ces effets ont évolué vers une insuffisance respiratoire ou un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) pouvant avoir une issue fatale (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Splénomégalie et rupture splénique
Des cas de splénomégalie et de rupture splénique ont été observés à la suite de l'administration de filgrastim. Certains cas de rupture splénique ont été fatals (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Syndrome de fuite capillaire
Des cas de syndrome de fuite capillaire ont été rapportés lors de l'utilisation des facteurs de croissance de la lignée granulocytaire. Les cas rapportés concernaient généralement des patients atteints de pathologies malignes à un stade avancé, de sepsis, recevant de multiples chimiothérapies ou sous aphérèse (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Vascularite cutanée
Des cas de vascularite cutanée ont été signalés chez des patients traités par le filgrastim. Le mécanisme de la vascularite chez les patients recevant du filgrastim n'est pas connu. Lors du traitement au long cours, une vascularite cutanée a été rapportée chez 2 % des patients atteints de NCS.
Leucocytose
Une leucocytose (leucocytes > 50 × 109/L) a été rapportée chez 41 % des donneurs sains et une thrombocytopénie transitoire (plaquettes < 100 × 109/L) a été rapportée chez 35 % des donneurs à la suite de l'administration du filgrastim et de la cytaphérèse (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Syndrome de Sweet
Des cas de syndromes de Sweet (dermatose aiguë fébrile neutrophilique) ont été rapportés chez des patients traités par le filgrastim.
Pseudogoutte (chondrocalcinose à dépôts de cristaux de pyrophosphate)
Des cas de pseudogoutte (chondrocalcinose à dépôts de cristaux de pyrophosphate) ont été rapportés chez des patients atteints de cancer traités par le filgrastim.
Réaction du greffon contre l'hôte (GvH)
Des cas de GvH et des issues fatales ont été rapportés chez des patients recevant le G-CSF après une greffe allogénique de moelle osseuse (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques).
d. Population pédiatrique
Les données des études cliniques chez les patients pédiatriques indiquent que la sécurité et l'efficacité du filgrastim sont similaires chez les adultes et les enfants recevant une chimiothérapie cytotoxique, ce qui suggère que la pharmacocinétique du filgrastim ne présente pas de différences en fonction de l'âge. Le seul effet indésirable régulièrement rapporté a été les douleurs musculo-squelettiques‚ ce qui ne diffère pas de l'expérience acquise chez la population adulte.
Les données disponibles ne sont pas suffisantes pour permettre d'évaluer davantage l'utilisation du filgrastim chez les sujets pédiatriques.
e. Autres populations particulières
Utilisation en gériatrie
Aucune différence globale de sécurité ou d'efficacité n'a été observée entre les sujets âgés de plus de 65 ans et les adultes plus jeunes (> 18 ans) recevant une chimiothérapie cytotoxique et l'expérience clinique n'a révélé aucune différence de réponse au traitement entre les patients âgés et les patients adultes plus jeunes. Les données disponibles ne sont pas suffisantes pour permettre d'évaluer l'utilisation du filgrastim chez les sujets gériatriques dans les autres indications approuvées du filgrastim.
Patients pédiatriques atteints de NCS
Des cas de diminution de la densité osseuse et d'ostéoporose ont été rapportés chez des patients pédiatriques atteints de neutropénie chronique sévère ayant reçu un traitement chronique par le filgrastim.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
Voir plus
Grossesse
Il n'existe pas de données ou il existe des données limitées sur l'utilisation du filgrastim chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction. Une augmentation du nombre d'avortements spontanés a été observée chez le lapin à des doses plusieurs fois supérieures à l'exposition clinique et en présence de toxicité maternelle (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Il a été rapporté dans la littérature des cas de passage transplacentaire du filgrastim chez des femmes enceintes.
Zarzio n'est pas recommandé pendant la grossesse.
Allaitement
Il n'existe pas de données suffisantes sur l'excrétion du filgrastim/métabolites dans le lait maternel. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement avec Zarzio en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité
Le filgrastim n'a pas affecté les performances de reproduction, ni la fertilité chez les rats mâles et femelles (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des facteurs de croissance de la lignée granulocytaire (G-CSF), le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.
Mises en garde spéciales et précautions toutes indications confondues
Hypersensibilité
Des
cas d'hypersensibilité, incluant des réactions anaphylactiques,
survenus lors du traitement initial ou de traitements ultérieurs, ont
été rapportés chez des patients traités par le filgrastim.
L'administration de Zarzio doit être définitivement arrêtée chez les
patients présentant une hypersensibilité cliniquement significative. Ne
pas administrer Zarzio chez des patients ayant des antécédents
d'hypersensibilité au filgrastim ou au pegfilgrastim.
Effets indésirables pulmonaires
Après administration de facteurs de croissance de la lignée granulocytaire (G-CSF), des effets indésirables pulmonaires ont été rapportés, en particulier des pneumopathies interstitielles diffuses. Les risques peuvent être majorés chez les patients ayant des antécédents récents d'infiltration pulmonaire ou de pneumonie. L'apparition de signes pulmonaires, tels que toux, fièvre et dyspnée, associés à des signes radiologiques d'infiltration pulmonaire avec détérioration de la fonction pulmonaire, peuvent être des signes préliminaires d'un syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS). Dans de telles circonstances, le filgrastim doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré.
Glomérulonéphrite
Des cas de glomérulonéphrite ont été signalés chez des patients recevant du filgrastim ou du pegfilgrastim. Généralement, ces cas de glomérulonéphrite se sont résolus après réduction de la dose ou arrêt du filgrastim ou du pegfilgrastim. Une surveillance au moyen d'analyses d'urine est recommandée.
Syndrome de fuite capillaire
Des cas de syndrome de fuite capillaire, pouvant engager le pronostic vital si le traitement n'est pas initié à temps, ont été rapportés suite à l'administration de facteur de croissance de la lignée granulocytaire. Ce syndrome se caractérise par une hypotension, une hypoalbuminémie, des œdèmes et une hémoconcentration. Les patients développant des symptômes du syndrome de fuite capillaire doivent être étroitement surveillés et recevoir un traitement symptomatique standard, qui peut inclure un recours à des soins intensifs (voir rubrique Effets indésirables).
Splénomégalie et rupture splénique
Des cas généralement asymptomatiques de splénomégalie et des cas de rupture splénique ont été rapportés chez des patients et des donneurs sains suite à l'administration de filgrastim. Certains cas de rupture splénique ont été fatals. Par conséquent, une surveillance clinique du volume de la rate doit être instituée (par ex., examen clinique, échographie). Un diagnostic de rupture splénique devra être envisagé chez les donneurs sains et/ou chez les patients présentant une douleur au niveau de l'hypochondre gauche ou une douleur au sommet de l'épaule. Des réductions de la dose de filgrastim ont permis un ralentissement de l'évolution ou un arrêt de la splénomégalie chez les patients atteints de neutropénie chronique sévère et chez 3 % des patients, une splénectomie a été nécessaire.
Croissance de cellules malignes
Le G-CSF peut favoriser la croissance des cellules myéloïdes in vitro et des effets similaires peuvent être observés sur certaines cellules non myéloïdes in vitro.
Syndrome myélodysplasique ou leucémie myéloïde chronique
L'innocuité et l'efficacité de l'administration du filgrastim chez les patients atteints de syndrome myélodysplasique ou de leucémie myéloïde chronique n'ont pas été établies. L'utilisation de filgrastim n'est pas indiquée dans ces pathologies. Il importe de bien différencier une transformation blastique de leucémie myéloïde chronique d'une leucémie aiguë myéloïde (LAM).
Leucémie aiguë myéloïde
Les données de tolérance et d'efficacité disponibles étant limitées, le filgrastim doit être administré avec précaution chez les patients atteints de LAM secondaire. L'innocuité et l'efficacité de filgrastim n'ont pas été établies chez les patients atteints d'une LAM de novo, âgés de moins de 55 ans et ayant une cytogénétique favorable [t(8;21), t(15;17) et inv(16)].
Thrombocytopénie
Une thrombocytopénie a été rapportée chez des patients recevant du filgrastim. La numération des plaquettes doit être étroitement surveillée, en particulier au cours des premières semaines de traitement par le filgrastim. Une interruption temporaire du traitement ou une diminution de la dose de filgrastim doivent être envisagées chez les patients avec neutropénie chronique sévère qui développent une thrombocytopénie (numération de plaquettes < 100 × 109/L).
Leucocytose
Une leucocytose supérieure ou égale à 100 × 109/L
a été observée chez moins de 5 % des sujets atteints de cancer recevant
du filgrastim à des doses supérieures à 0,3 MU/kg/jour (3 µg/kg/jour).
Aucun effet indésirable directement attribuable à ce niveau de
leucocytose n'a été rapporté.
Cependant, en raison des risques potentiels associés à une
hyperleucocytose, une numération leucocytaire à intervalles réguliers
devra être réalisée lors du traitement par le filgrastim. Si le nombre
de leucocytes est supérieur à 50 × 109/L
après la date attendue du nadir, le filgrastim doit être arrêté
immédiatement. Lorsqu'il est administré pour la mobilisation de CSP, le
filgrastim doit être arrêté ou le dosage diminué si le nombre de
leucocytes est supérieur à 70 × 109/L.
Immunogénicité
Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, il existe un risque potentiel d'immunogénicité. Les taux de production d'anticorps anti-filgrastim sont généralement faibles. Des anticorps liants peuvent être présents, comme avec tous les médicaments biologiques ; cependant, jusqu'à présent ceux-ci n'ont pas été associés à une activité neutralisante.
Mises en garde spéciales et précautions associées aux comorbidités
Précautions spéciales chez les patients porteurs du trait drépanocytaire et atteints de drépanocytose
Des crises drépanocytaires, parfois fatales, ont été rapportées lors de l'utilisation de filgrastim chez des patients porteurs sains du trait dépranocytaire ou atteints d'anémie falciforme. Les médecins doivent être très prudents lorsqu'ils prescrivent du filgrastim à des patients porteurs sains du trait drépanocytaire ou atteints d'anémie falciforme.
Ostéoporose
Il est souhaitable d'assurer une surveillance de la densité osseuse chez les patients ayant un terrain ostéoporotique et dont le traitement continu par le filgrastim est prévu pour une durée supérieure à 6 mois.
Précautions particulières chez les patients atteints de cancer
Le filgrastim ne doit pas être utilisé pour augmenter les doses de chimiothérapie cytotoxique au-delà des dosages établis.
Risques associés à la chimiothérapie intensive
Une prudence particulière est requise lors du traitement de patients par chimiothérapie à doses élevées car les effets bénéfiques sur l'évolution tumorale n'ont pas été démontrés et une chimiothérapie intensive peut comporter des effets toxiques accrus, en particulier cardiaques, pulmonaires, neurologiques et dermatologiques (se référer aux informations de prescription concernant la chimiothérapie utilisée).
Effet de la chimiothérapie sur les érythrocytes et les thrombocytes
Le traitement par le filgrastim seul n'agit pas en soi sur la thrombocytopénie ni sur l'anémie dues à la chimiothérapie myélosuppressive. Du fait de l'administration possible de doses plus élevées de chimiothérapie (c'est-à-dire dose complète du schéma prescrit), les risques de thrombocytopénie et d'anémie peuvent être majorés. Il est recommandé de surveiller régulièrement la numération plaquettaire et l'hématocrite. Il faut être particulièrement attentif lors de l'administration d'agents de chimiothérapie, seuls ou associés, connus pour être thrombopéniants.
Il a été montré que l'utilisation de CSP mobilisées par le filgrastim réduit l'intensité et la durée de la thrombocytopénie liée à une chimiothérapie myélosuppressive ou myéloablative.
Syndrome myélodysplasique et leucémie aiguë myéloïde chez les patients atteints d'un cancer du sein ou du poumon
Au cours de l'étude observationnelle menée après commercialisation, des cas de syndrome myélodysplasique (SMD) et de leucémie aiguë myéloïde (LAM) ont été associés à l'utilisation de pegfilgrastim, un médicament alternatif au G-CSF, combinée à une chimiothérapie et/ou une radiothérapie chez les patients atteints d'un cancer du sein ou du poumon. Une telle corrélation n'a pas été observée entre filgrastim et SMD/LAM. Toutefois, il convient de surveiller l'apparition de signes et symptômes de SMD/LAM chez les patients atteints d'un cancer du sein ou du poumon.
Autres précautions spéciales
Les effets du filgrastim chez les patients présentant une diminution significative des précurseurs myéloïdes n'ont pas été étudiés. Le filgrastim agit avant tout sur les précurseurs des neutrophiles pour aboutir à une élévation du nombre des neutrophiles. De ce fait, la réponse au traitement peut être diminuée chez les patients présentant une réduction des précurseurs des neutrophiles (par exemple, chez les patients traités par une radiothérapie étendue ou une chimiothérapie prolongée ou chez les patients présentant une infiltration médullaire de la tumeur).
Des troubles vasculaires, notamment des syndromes veino-occlusifs et des modifications des volumes hydriques, ont été rapportés de façon occasionnelle chez des patients recevant une chimiothérapie à haute dose suivie d'une transplantation.
Des cas de réaction du greffon contre l'hôte (GvH), dont certains d'issue fatale, ont été observés chez des patients recevant le G-CSF après une greffe allogénique de moelle osseuse (voir rubriques Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques).
L'augmentation de l'activité hématopoïétique de la moelle osseuse en réponse à un traitement par facteur de croissance a été associée à des anomalies transitoires à la scintigraphie osseuse. Ceci doit être pris en compte lors de l'interprétation des résultats de la scintigraphie osseuse.
Une aortite a été signalée après administration de G-CSF chez des sujets sains et des patients atteints d'un cancer. Les symptômes ressentis comprenaient: fièvre, douleurs abdominales, malaise, maux de dos et augmentation des marqueurs inflammatoires (p. ex. protéine C-réactive et nombre de globules blancs). Dans la plupart des cas, l'aortite a été diagnostiquée par un examen TDM et a été résolue après l'arrêt du traitement par G-CSF. Voir également rubrique Effets indésirables.
Précautions particulières chez les patients envisageant une mobilisation de CSP
Mobilisation
Il n'y a pas de comparaison prospective randomisée des deux méthodes de mobilisation recommandées (filgrastim seul ou en association avec une chimiothérapie myélosuppressive) chez une même population de patients. Le degré de variation des taux de cellules CD34+ entre les patients et entre les dosages des laboratoires rend difficile la comparaison directe entre les différentes études. Il est donc difficile de recommander la méthode de mobilisation idéale. Le choix de la méthode doit prendre en compte l'objectif thérapeutique global pour chaque patient.
Exposition préalable à des agents cytotoxiques
Les patients ayant reçu au préalable une chimiothérapie intensive très myélosuppressive peuvent ne pas présenter une mobilisation des CSP suffisante pour obtenir le rendement recommandé(≥ 2,0 × 10 6 cellules CD34+/kg) ou l'accélération de la normalisation du taux des plaquettes.
Certains agents cytotoxiques sont particulièrement toxiques pour les cellules souches progénitrices et peuvent diminuer leur mobilisation. Des agents tels que le melphalan, la carmustine (BCNU) et le carboplatine peuvent réduire le rendement en cellules souches s'ils sont administrés pendant de longues périodes avant l'initiation de la mobilisation. Néanmoins, l'administration de melphalan, carboplatine ou BCNU, associée à celle du filgrastim, s'est montrée efficace pour la mobilisation des cellules souches. Si une greffe de CSP est envisagée, il est souhaitable de prévoir précocement une procédure de mobilisation de ces cellules dans le schéma thérapeutique du patient. Une attention particulière doit être portée au nombre de cellules souches recueillies avant l'administration de la chimiothérapie à haute dose chez ces patients. Si des rendements insuffisants sont constatés, selon les critères définis ci-dessus, d'autres schémas de traitement ne nécessitant pas de support en cellules souches doivent être envisagés.
Estimation des rendements en cellules souches
Il convient d'attacher une attention particulière à la méthode de quantification utilisée pour l'estimation du taux de cellules souches collectées chez les patients traités par le filgrastim. Les résultats de la quantification des cellules CD34+ par cytométrie de flux varient suivant la méthodologie utilisée. Les recommandations quantitatives basées sur les études d'autres laboratoires doivent être interprétées avec prudence.
L'analyse statistique montre qu'il existe une relation complexe mais continue entre le nombre de CD34+ réinjectés et la rapidité de la récupération plaquettaire après la chimiothérapie à haute dose.
La recommandation d'un rendement minimum de cellules CD34+ ≥ 2,0 × 106/kg est basée sur l'expérience publiée dans la littérature, démontrant une reconstitution hématologique correcte. Il semble que des rendements en CD34+ supérieurs soient liés à une récupération plus rapide, et des rendements inférieurs à une récupération plus lente.
Précautions particulières chez les donneurs sains envisageant une mobilisation de cellules souches progénitrices
La mobilisation des CSP n'apporte aucun bénéfice direct aux donneurs sains et doit être envisagée uniquement dans le cadre de la transplantation allogénique de cellules souches.
La mobilisation des CSP ne peut être envisagée que chez les donneurs qui répondent aux critères cliniques et biologiques retenus pour le don de cellules souches. Une attention particulière doit être apportée aux valeurs hématologiques et aux maladies infectieuses.
L'innocuité et l'efficacité du filgrastim n'ont pas été évaluées chez les donneurs sains âgés de moins de 16 ans ou de plus de 60 ans.
Une thrombocytopénie transitoire (numération plaquettaire < 100 × 109/L), consécutive à l'administration de filgrastim et aux cytaphérèses, a été observée chez 35 % des sujets étudiés. Parmi ces sujets, deux cas rapportés de numération plaquettaire < 50 × 109/L ont été attribués à la procédure de cytaphérèse.
Si plus d'une cytaphérèse est nécessaire, une attention particulière doit être portée aux donneurs dont la numération plaquettaire est < 100 × 109/L avant la cytaphérèse ; en général, celle-ci ne doit pas être effectuée si la numération plaquettaire est < 75 × 109/L.
La cytaphérèse ne doit pas être effectuée chez les donneurs sous traitement anticoagulant ou présentant des anomalies connues de l'hémostase.
Les donneurs ayant reçu du G-CSF pour la mobilisation des CSP doivent être suivis jusqu'à ce que les paramètres hématologiques soient redevenus normaux.
Précautions particulières chez les receveurs de CSP allogéniques obtenues après mobilisation par le filgrastim
Les données actuelles indiquent que les interactions immunologiques entre le greffon de CSP allogénique et le système immunitaire du receveur peuvent être associées à un risque accru et chronique de réaction du greffon contre l'hôte, en comparaison avec la greffe de moelle osseuse.
Précautions particulières chez les patients atteints de NCS
Le filgrastim ne doit pas être administré à des patients présentant une neutropénie congénitale sévère et développant une leucémie ou présentant des signes d'évolution leucémique.
Numération sanguine
D'autres modifications de la numération sanguine peuvent apparaître, notamment une anémie ou des augmentations transitoires des précurseurs myéloïdes. Une surveillance étroite de la numération sanguine est donc requise.
Transformation en leucémie ou en syndrome myélodysplasique
Avant d'établir un diagnostic de neutropénie chronique sévère, il faut veiller particulièrement à distinguer cette affection d'autres dérèglements hématologiques comme l'anémie médullaire, la myélodysplasie et la leucémie myéloïde. Une numération-formule sanguine avec numération plaquettaire ainsi qu'un myélogramme et un caryotype doivent être réalisés avant le traitement.
De rares cas (environ 3 %) de syndromes myélodysplasiques (SMD) ou de leucémies ont été observés lors d'essais cliniques chez les patients atteints de neutropénie chronique sévère traités par le filgrastim. Ces observations n'ont été faites que dans les cas de neutropénie congénitale. Cependant, les SMD et leucémies sont des complications naturelles de la maladie et la relation avec le traitement par filgrastim est incertaine. Un sous-ensemble d'environ 12 % des patients dont la formule cytogénétique était initialement normale a développé des anomalies, dont la monosomie 7, au cours des évaluations de routine. On ignore encore si le traitement à long terme des patients atteints de neutropénie chronique sévère favorise l'apparition d'anomalies cytogénétiques, d'un SMD ou d'une transformation leucémique. Il est recommandé de pratiquer un myélogramme et un caryotype chez les patients à intervalles réguliers (environ une fois par an).
Autres précautions particulières
Les causes de neutropénie transitoire, telles que les infections virales, doivent être écartées.
Les hématuries ont été fréquentes et des protéinuries sont survenues chez quelques patients. Des analyses d'urine doivent être effectuées régulièrement afin de déceler ces effets.
L'innocuité et l'efficacité chez le nouveau-né et chez les patients atteints de neutropénie auto-immune n'ont pas été établies.
Précautions particulières chez les patients infectés par le VIH
Numération sanguine
La numération des polynucléaires neutrophiles (PNN) doit être étroitement surveillée, en particulier au cours des premières semaines du traitement par le filgrastim. Certains patients peuvent répondre très rapidement au traitement, avec dès le début une forte augmentation du taux de polynucléaires neutrophiles. Il est recommandé de surveiller le taux de PNN quotidiennement au cours des 2 à 3 premiers jours du traitement par le filgrastim. Par la suite, il est recommandé de doser le taux des PNN au moins deux fois par semaine pendant les deux premières semaines, puis une fois par semaine ou une semaine sur deux, durant la poursuite du traitement. Au cours de l'administration intermittente des doses de 30 MU/jour (300 µg/jour) de filgrastim, on peut observer des fluctuations importantes du taux des PNN. Afin de déterminer le nadir du taux de PNN du patient, il est recommandé de procéder à une numération des PNN, immédiatement avant l'administration du filgrastim.
Risques liés à l'administration de doses plus élevées de médicaments myélosuppresseurs
Le filgrastim ne prévient pas la thrombocytopénie et l'anémie dues aux médicaments myélosuppresseurs. Du fait de la possibilité d'administrer des doses ou des associations plus importantes de ces médicaments avec un traitement par le filgrastim, les risques de thrombocytopénie et d'anémie peuvent être majorés. Une surveillance régulière de la numération sanguine est recommandée (voir ci-dessus).
Myélosuppression due aux infections opportunistes et aux affections malignes
Les infections opportunistes comme celles à Mycobacterium avium ou les affections malignes comme le lymphome, touchant la moelle osseuse, peuvent également provoquer une neutropénie. Chez les patients porteurs d'une atteinte médullaire infectieuse ou maligne, il est indiqué de traiter spécifiquement la pathologie sous-jacente, en plus de l'administration de filgrastim pour le traitement de la neutropénie. Les effets du filgrastim sur la neutropénie due à une infection ou à une affection maligne envahissant la moelle osseuse n'ont pas été déterminés avec précision.
Excipients
Zarzio contient du sorbitol (E420). Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas recevoir ce médicament, sauf en cas d'extrême nécessité.
Les bébés et les jeunes enfants (moins de 2 ans) peuvent ne pas avoir reçu de diagnostic d'intolérance héréditaire au fructose (IHF). Les médicaments contenant du fructose/sorbitol administrés par voie intraveineuse peuvent engager le pronostic vital et doivent être contre-indiqués dans cette population, sauf en cas de nécessité clinique absolue et en l'absence d'alternatives disponibles.
L'historique détaillé des symptômes d'IHF doit être recueilli pour chaque patient avant de prescrire ce médicament.
Réaction d'hypersensibilité
Antécédent récent d'infiltration pulmonaire
Antécédent de pneumonie
Symptômes pulmonaires
Signes radiologiques d'infiltration pulmonaire
Détérioration de la fonction pulmonaire
Glomérulonéphrite
Syndrome de fuite capillaire
Manifestations de syndrome de fuite capillaire
Douleur au niveau de l'hypocondre gauche
Douleur au sommet de l'épaule
Splénomégalie
Leucémie aiguë myéloïde
Thrombocytopénie < 100000/mm3
Hyperleucocytose
Sujet porteur du trait drépanocytaire
Drépanocytose
Terrain ostéoporotique
Cancer du sein
Cancer du poumon
Aortite
Baisse des précurseurs myéloïdes
Scintigraphie osseuse
Myélosuppression due aux infections au cours du VIH
Myélosuppression due aux affections malignes au cours du VIH
Sujet âgé
Le filgrastim peut avoir une influence mineure sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Des sensations vertigineuses peuvent survenir après l'administration de filgrastim (voir rubrique Effets indésirables).
L'innocuité et l'efficacité de l'administration de filgrastim et d'une chimiothérapie myélosuppressive cytotoxique n'ont pas été formellement établies. L'utilisation du filgrastim n'est pas recommandée dans la période de 24 heures précédant ou suivant une chimiothérapie myélosuppressive cytotoxique, en raison de la sensibilité des cellules myéloïdes à division rapide à cette chimiothérapie. En cas de traitement concomitant par le filgrastim et le 5-fluorouracile, des données préliminaires observées chez un petit nombre de patients indiquent une augmentation possible de la sévérité de la neutropénie.
Les possibles interactions avec d'autres facteurs de croissance hématopoïétiques et avec les cytokines n'ont pas été étudiées au cours des essais cliniques.
Le lithium favorisant le relargage des neutrophiles, il est possible qu'il potentialise l'effet de filgrastim. Bien que cette association n'ait pas été spécifiquement étudiée, aucun effet indésirable dû à cette interaction n'a été mis en évidence.
Les médicaments biosimilaires
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SANDOZ
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92593
LEVALLOIS PERRET
Code UCD7 : 9339384
Code UCD13 : 3400893393840
Code CIS : 60670037
T2A médicament : Non
Laboratoire exploitant : SANDOZ
Prix vente TTC : 59.01€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 59.01€
Taux SS : 100%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH1
Date AMM : 06/02/2009
Rectificatif AMM : 23/05/2024
Marque : ZARZIO
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400939354415
Référence LPPR : Aucune
Accofil 30 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie avec protège-aiguille de ½ mL
Accofil 30 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie, boîte de 5 seringues préremplies avec protège-aiguille de ½ mL
Accofil 30 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie, boîte de 7 seringues préremplies avec protège-aiguille de ½ mL
NEUPOGEN 30 MU/0,5 ml (0,6 mg/ml), solution injectable en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie de ½ mL
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