ZOPICLONE
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé sécable
Catégories :
Neurologie-psychiatrie, Hypnotiques, Benzodiazépines et apparentés, Zopiclone
Principes actifs :
Zopiclone
Insomnie
Sujet âgé . Traitement initial. Insomnie (implicite)
½ comprimé immédiatement avant le coucher à avaler avec un verre d'eau.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Insomnie (implicite)
1 comprimé immédiatement avant le coucher à avaler avec un verre d'eau pendant 28 jours. Maximum 1 comprimé par jour.
Voie orale
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de nervosité, agitation, irritabilité, agressivité, fausses croyances (délires), accès de colère, cauchemars, vision, audition ou sensation de choses qui n'existent pas réellement, comportement inapproprié, autres troubles du comportement.
CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de somnambulisme et d'autres comportements associés tels que conduire en dormant, préparer et manger de la nourriture, ou téléphoner en dormant, s'accompagnant d'une perte de mémoire de l'incident.
EVITER la consommation d'alcool et de boissons alcoolisées pendant le traitement.
PRIDENCE en cas de consommation de préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
NE PAS conduire de véhicules ou utiliser de machines avant la fin du traitement ou avant de s'être assuré de l'absence d'altération des performances (sédation, amnésie, difficultés de concentration et troubles musculaires).
Céphalée
Dyspepsie
Somnolence diurne
Etourdissement
Troubles gastro-intestinaux
Diminution de la vigilance
Fatigue
Dépression
Etat confusionnel
Réaction cutanée
Diplopie
Ataxie
Réaction paradoxale aux benzodiazépines
Sécheresse buccale
Sensation de tête vide
Faiblesse musculaire
Augmentation des transaminases
Augmentation des phosphatases alcalines
Incoordination motrice
Réaction allergique
Amnésie
Risque de chute
Emoussement émotionnel
Réaction anaphylactique
Erythème polymorphe
Diminution de la libido
Stevens-Johnson
Nécrolyse épidermique toxique
Angioedème
Agitation
Agressivité
Irritabilité
Nervosité
Urticaire
Eruption cutanée
Cauchemars
Amnésie antérograde
Idée délirante
Dysgueusie
Dépendance psychique
Dépendance physique
Somnambulisme
Nausée
Vomissement
Prurit cutané
Comportement inapproprié
Symptômes psychotiques
Accès de colère
Trouble du comportement
Phénomène de rebond
Phénomène de sevrage
Hallucination
Mésusage délibéré
Dans cette rubrique, les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
L'effet indésirable le plus fréquent de la zopiclone est un goût amer ou un arrière-goût métallique.
Chez les patients ayant suivi un traitement par zopiclone, les effets indésirables suivants ont pu être observés :
Affections du système immunitaire
Rare : Réactions allergiques, réactions cutanées de type démangeaisons et éruptions cutanées (y compris urticaire).
Très rare : Réactions anaphylactiques et angio-oedème.
Syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique/ syndrome de Lyell, érythème polymorphe.
Affections psychiatriques
Rare : Emotions émoussées, confusion et dépression. Réactions paradoxales telles que nervosité, agitation, irritabilité, agressivité, idées délirantes, accès de colère, cauchemars, hallucinations, symptômes psychotiques, comportement inapproprié et autres troubles du comportement.
Très rare : Diminution de la libido.
Fréquence indéterminée : Dépendance physique et psychologique.
Voir également sous « Dépression », « Réactions psychiatriques et paradoxales » et « Dépendance ».
Affections du système nerveux
Très fréquent : Goût amer ou métallique (dysgueusie).
Fréquent : Somnolence le lendemain, diminution de la vigilance, céphalées, étourdissements.
Rare : Amnésie, incoordination, ataxie (survenant surtout en début de traitement et disparaissant généralement après une administration répétée), sensation de tête vide.
Fréquence indéterminée : Somnambulisme (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Voir également sous « Amnésie »
Affections oculaires
Rare : Vision double (survenant surtout en début de traitement et disparaissant généralement après une administration répétée).
Affections gastro-intestinales
Fréquent : Problèmes gastro-intestinaux (y compris nausées et vomissements), dyspepsie.
Rare : Sécheresse buccale.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Rare : Faiblesse musculaire.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Rare : Fatigue.
Investigations
Rare : Augmentations légères à modérées des transaminases et/ou des phosphatases alcalines sériques.
Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
Rare : Risque de chute, surtout chez le sujet âgé (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Amnésie
Une amnésie antérograde peut survenir aux doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement avec la dose. Elle peut s'accompagner dans certains cas d'un comportement inapproprié (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Dépression
Une dépression latente peut se déclarer pendant un traitement par les benzodiazépines ou apparentées (rare).
Réactions psychiatriques et paradoxales
Nervosité, agitation, irritabilité, agressivité, idées délirantes, accès de colère, cauchemars, hallucinations, symptômes psychotiques, comportement inapproprié et autres troubles du comportement peuvent apparaître dans des cas rares ou très rares au cours de la prise de benzodiazépines et apparentées. Dans certains cas, ces réactions peuvent être relativement sévères. Ces symptômes sont plus susceptibles d'apparaître chez le sujet âgé et chez l'enfant.
Dépendance
Le développement d'une dépendance physique est possible même aux doses thérapeutiques : l'arrêt du traitement peut entraîner des phénomènes de sevrage ou de rebond (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Une dépendance psychologique peut également apparaître. Des cas d'usage détourné ont été rapportés.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr..
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Grossesse
La sécurité d'utilisation de la zopiclone chez les femmes enceintes n'a pas été établie.
Les études chez l'animal ont montré que la zopiclone traverse en partie le placenta mais n'a pas d'effet tératogène. La zopiclone ne doit être utilisée pendant la grossesse qu'en cas de nécessité absolue.
Si, pour des raisons médicales absolues, la zopiclone est prescrite au cours des trois derniers mois de la grossesse ou pendant l'accouchement, une hypothermie, une hypotension, une hypotonie, une détresse respiratoire et une diminution du réflexe de succion (« syndrome de l'enfant mou ») peuvent survenir chez le nouveau-né en raison des propriétés pharmacologiques du médicament. En raison du développement d'une dépendance physique, des phénomènes de sevrage peuvent survenir chez les nouveau-nés de mères traitées de manière prolongée par la zopiclone pendant les derniers mois de la grossesse.
En cas de prescription de zopiclone chez les femmes en âge de procréer, il convient de leur signaler qu'il est impératif de consulter leur médecin si elles envisagent une grossesse ou pensent être enceintes, en vue d'arrêter le traitement.
Allaitement
La sécurité d'utilisation de la zopiclone durant l'allaitement n'a pas été établie.
La zopiclone et ses métabolites passent dans le lait maternel. Bien que la concentration de zopiclone dans le lait maternel soit très faible, la prescription de zopiclone doit être évitée pendant l'allaitement.
Fertilité
La zopiclone a entraîné une diminution de la fertilité chez le rat mâle (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Avant de débuter un traitement par la zopiclone, la cause de l'insomnie doit, si possible, être identifiée.
Dépendance
L'utilisation des benzodiazépines et apparentées peuvent entrainer le développement de dépendance physique et psychologique à ces produits. Le risque de dépendance augmente avec la dose et la durée du traitement ; le risque de dépendance est également accru chez les patients ayant des antécédents de dépendance alcoolique ou de toxicomanie ou chez ceux présentant des troubles de la personnalité marqués. En cas de dépendance physique, l'arrêt brutal du traitement peut s'accompagner de symptômes de sevrage. Ils peuvent comprendre des céphalées, des douleurs musculaires, une anxiété extrême, une tension, une agitation, une confusion et une irritabilité. Dans les cas sévères, les symptômes suivants peuvent apparaître : déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et picotement des extrémités, hypersensibilité à la lumière, au bruit et au contact physique, hallucinations et crises convulsives. De rares cas d'abus ont été rapportés.
Rebond d'insomnie
L'interruption d'un traitement par benzodiazépines ou agents apparentés aux benzodiazépines peut entraîner une réapparition transitoire et sous une forme plus sévère des symptômes ayant motivé le traitement. Cet épisode de rebond peut s'accompagner d'autres symptômes tels que troubles de l'humeur, anxiété et agitation. Etant donné que le risque de survenue d'un phénomène de sevrage ou de rebond peut être accru en cas d'interruption brutale du traitement, il est recommandé de réduire progressivement les doses.
Période de traitement
Le traitement doit être aussi bref que possible (voir Posologie et mode d'administration) et ne pas dépasser 4 semaines, y compris la période de réduction de la posologie. Le traitement ne peut être prolongé au-delà de cette durée maximale qu'après réévaluation de l'état du patient. Il convient d'informer d'emblée le patient de la durée limitée du traitement et des modalités d'arrêt progressif de celui-ci. Il est également important d'avertir le patient de la possibilité du phénomène de rebond afin de minimiser l'anxiété qui pourrait découler des symptômes associés à l'interruption du traitement. On a pu noter dans le cas d'utilisation de benzodiazépines et apparentées à courte durée d'action que des symptômes de sevrage pouvaient survenir entre les prises, particulièrement lorsque la posologie est forte.
Accoutumance
L'effet hypnotique des benzodiazépines et apparentées à courte durée d'action peut diminuer en cas d'administration répétée durant plusieurs semaines. Aucun cas d'accoutumance marquée n'a toutefois été rapporté avec la zopiclone pour des traitements ne dépassant pas 4 semaines.
Amnésie antérograde
Les benzodiazépines et apparentées peuvent entraîner une amnésie antérograde, le plus souvent quelques heures après la prise du produit. C'est pourquoi il est conseillé aux patients de se mettre dans les conditions les plus favorables pour une durée de sommeil ininterrompue de 7 à 8 heures (voir rubrique Effets indésirables Effets indésirables).
Réactions psychiatriques et « paradoxales »
Certains symptômes peuvent apparaître au cours de la prise de benzodiazépines et apparentées : nervosité, agitation, irritabilité, agressivité, idées délirantes, accès de colère, cauchemars, hallucinations, symptômes psychotiques, comportement inapproprié et autres troubles du comportement. Dans ce cas, le traitement doit être interrompu. Ces symptômes sont plus susceptibles d'apparaître chez l'enfant et le sujet âgé.
Somnambulisme et comportements associés
Le somnambulisme et autres comportements associés comme « dormir au volant » ou préparer à manger et manger ou passer des coups de téléphone sans s'en souvenir, ont été rapportés chez des patients ayant pris de la zopiclone et qui n'étaient pas complètement réveillés. La consommation d'alcool et autres dépresseurs du système nerveux central (SNC) avec la zopiclone augmente le risque de somnambulisme et de comportements associés, ainsi que la prise de zopiclone à des doses supérieures aux doses maximales recommandées. L'arrêt de la zopiclone doit être fortement envisagé chez les patients rapportant de tels comportements (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Groupes particuliers de patients
Personnes âgées : voir également rubrique Posologie et mode d'administration. Compte tenu des propriétés myorelaxantes de la zopiclone, il existe un risque de chute, surtout chez les personnes âgées si elles se lèvent la nuit.
Pour les sujets souffrant d'insuffisance respiratoire chronique, une dose plus faible est recommandée en raison de l'effet dépresseur respiratoire. Les benzodiazépines et apparentées sont contre-indiquées chez les sujets atteints d'insuffisance hépatique sévère, car elles peuvent déclencher une encéphalopathie. Les benzodiazépines et apparentées ne constituent pas le traitement principal des psychoses. Les benzodiazépines et apparentées ne doivent pas être utilisées seules pour traiter la dépression ou l'anxiété liée à la dépression (en raison des risques de suicide). Les benzodiazépines et apparentées doivent être administrées avec la plus grande prudence chez les sujets ayant des antécédents d'alcoolisme ou de toxicomanie.
Risque concernant la prise concomitante d'opioïdes
La prise concomitante de zopiclone et d'opioïdes peut entrainer une sédation, une dépression respiratoire, un coma et un décès. En raison de ces risques, la prescription concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou apparentées, y compris la zopiclone, et d'opioïdes doit être réservée aux patients pour lesquels les alternatives thérapeutiques sont inadéquates. Si la décision est prise de prescrire de façon concomitante de la zopiclone et des opioïdes, la dose efficace la plus faible doit être prescrite et la durée de prise concomitante doit être la plus courte possible (voir également les recommandations posologiques générales à la rubrique Posologie et mode d'administration).
Le patient doit être étroitement suivi concernant les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. À cet égard, il est vivement conseillé d'informer les patients et leurs aidants (le cas échéant) de la possibilité d'apparition de ces symptômes (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares)
Ce médicament contient 0,025 mg de sodium (moins de 1 mmol de sodium (23 mg)) par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Antécédent de dépendance alcoolique
Antécédent de toxicomanie
Troubles de la personnalité
Amnésie antérograde
Réaction paradoxale aux benzodiazépines
Troubles du comportement
Sujet âgé
Somnambulisme
Insuffisance respiratoire chronique
Insuffisance respiratoire légère à moderée
Dépression
Anxiété liée à la dépression
Patiente en âge de procréer
Insuffisant hépatique léger à modéré
Insuffisant rénal
Femme envisageant une grossesse
Sédation, amnésie, difficultés de concentration et troubles musculaires peuvent altérer la capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Le risque est accru avec la prise concomitante d'alcool. Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque est encore accru. Les patients doivent être engagés à ne pas conduire de véhicules ou utiliser de machines avant la fin du traitement ou avant de s'être assurés de l'absence d'altération de leurs performances. En raison des effets résiduels de la zopiclone, cette mise en garde vaut également pour le matin suivant la prise de la zopiclone.
Associations déconseillées :
L'absorption de boissons alcoolisées pendant le traitement est déconseillée car elle peut majorer l'effet sédatif de la zopiclone. L'altération de la vigilance peut affecter l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Associations à prendre en compte :
En association avec des dépresseurs du SNC, une amélioration de l'effet dépressif central peut avoir lieu. Le bénéfice thérapeutique de l'administration concomitante avec des antipsychotiques (neuroleptiques), des hypnotiques, des anxiolytiques/sédatifs, des antidépresseurs, des analgésiques narcotiques, des médicaments antiépileptiques, des anesthésiques et des antihistaminiques sédatifs, doit donc être soigneusement pesée.
L'effet euphorisant des analgésiques narcotiques peut également être potentialisé, ce qui risque d'entraîner une augmentation de la dépendance psychique.
L'association de la zopiclone aux myorelaxants peut augmenter l'effet myorelaxant.
La zopiclone étant métabolisée par le CYP3A4, les concentrations plasmatiques en zopiclone, et donc son effet, peuvent être augmentés en cas d'association avec des médicaments inhibant le CYP3A4, comme les antibiotiques de la famille des macrolides, les antifongiques azolés et les inhibiteurs de la protéase du VIH, ou avec du jus de pamplemousse. Une réduction de la posologie devra être envisagée si la zopiclone est administrée en association à des inhibiteurs du CYP3A4. Les médicaments inducteurs du CYP3A4, comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, la rifampicine, et les produits contenant du millepertuis, peuvent réduire les concentrations plasmatiques de zopiclone, et donc son effet.
L'effet de l'érythromycine sur la pharmacocinétique de la zopiclone a été étudié chez 10 sujets sains. L'ASC de la zopiclone est augmentée de 80 % en présence d'érythromycine, ce qui indique que l'érythromycine peut inhiber le métabolisme de médicaments métabolisés par le CYP3A4. En conséquence, l'effet hypnotique de la zopiclone peut être accru.
Opioïdes :
La prise concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines, y compris la zopiclone, et d'opioïdes augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison de l'addition des effets dépresseurs sur le SNC. Les doses et la durée du traitement concomitant de benzodiazépines et d'opioïdes doivent être limitées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
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EG LABO
Central Park 9-15 rue Maurice Mallet
92130
Issy-Les-Moulineaux
Code UCD7 : 9219237
Code UCD13 : 3400892192376
Code CIS : 60976557
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : EG LABO
Laboratoire exploitant : EG LABO
Prix vente TTC : 1.92€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 1.92€
Taux SS : 15%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH2
Date AMM : 11/10/1999
Rectificatif AMM : 06/10/2022
Marque : ZOPICLONE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400935247490
Référence LPPR : Aucune
IMOVANE 7,5 mg, comprimé pelliculé sécable, boîte de 14
IMOVANE 7,5 mg, comprimé pelliculé sécable, boîte de 20
IMOVANE 7,5 mg, comprimé pelliculé sécable, boîte de 5
ZOPICLONE ALTER 7,5 mg, comprimé pelliculé sécable, boîte de 14
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