LAROXYL
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Solution buvable en gouttes
Catégories :
Antalgiques, Traitements spécifiques des douleurs neuropathiques, Amitriptyline, Neurologie-psychiatrie, Antimigraineux, Divers traitements de la migraine, Amitriptyline, Neurologie-psychiatrie, Antidépresseurs, Antidépresseurs imipraminiques, Antidépresseurs imipraminiques seuls, Amitriptyline, Urologie néphrologie, Médicaments de l'énurésie, Imipraminiques, Amitriptyline
Principes actifs :
Amitriptyline
Episode dépressif majeur, Douleur neuropathique périphérique, Prophylaxie d'une céphalée de tension chronique, Migraine, Enurésie nocturne chez l'enfant en deuxième intention
Enfant de 6 ans à 11 ans . Enurésie nocturne chez l'enfant en deuxième intention (implicite)
20 mg 1 heure à 1 heure 30 min avant le coucher.
ou 20 gouttes 1 heure à 1 heure 30 min avant le coucher.
Enfant de 11 ans à 18 ans . Enurésie nocturne chez l'enfant en deuxième intention (implicite)
50 mg 1 heure à 1 heure 30 min avant le coucher.
ou 50 gouttes 1 heure à 1 heure 30 min avant le coucher.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Episode dépressif majeur
75 mg 2 fois par jour. Maximum 150 mg par jour.
ou 75 gouttes 2 fois par jour. Maximum 150 gouttes par jour.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement initial (implicite)
25 mg par jour le soir.
ou 25 gouttes par jour le soir.
Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement d'entretien
75 mg par jour le soir.
ou 75 gouttes par jour le soir.
Sujet âgé de plus de 65 ans . Traitement initial. Episode dépressif majeur (implicite)
25 mg 1 fois par jour.
ou 25 gouttes 1 fois par jour.
Sujet âgé de plus de 65 ans . Traitement initial
25 mg par jour le soir.
ou 25 gouttes par jour le soir.
Sujet âgé de plus de 65 ans . Traitement d'entretien. Episode dépressif majeur
50 mg 2 fois par jour. Maximum 150 mg par jour.
ou 50 gouttes 2 fois par jour. Maximum 150 gouttes par jour.
Sujet âgé de plus de 65 ans . Traitement d'entretien
75 mg par jour le soir.
ou 75 gouttes par jour le soir.
Voie orale
Agitation
Bloc auriculoventriculaire
Fatigue
Hyponatrémie
Etat confusionnel
Mydriase
Allongement de l'intervalle QT
Ataxie
Dysgueusie
Paresthésie
Diminution de la libido
Sensation de soif
Bloc de branche
Trouble de l'attention
Trouble de la miction
Trouble érectile
Anomalie de l'électrocardiogramme
Allongement de QRS
Acouphènes
Altération de la fonction hépatique
Anxiété
Collapsus cardiovasculaire
Convulsions
Diarrhée
Galactorrhée
Hypertension artérielle
Insomnie
Rétention urinaire
Urticaire
Eruption cutanée
Cauchemars
Augmentation de la pression intraoculaire
Vomissement
Hypomanie
Oedème du visage
Manie
Oedème de la langue
Altération de la fonction cardiaque
Myocardite d'hypersensibilité
Alopécie
Gynécomastie
Iléus paralytique
Leucopénie
Agranulocytose
Thrombocytopénie
Anomalie de la fonction hépatique
Hallucinations
Arythmie
Délire
Diminution de l'appétit
Eosinophilie
Perte de poids
Augmentation des transaminases
Pyrexie
Dépression médullaire
Comportement suicidaire
Jaunisse
Réaction de photosensibilité
Augmentation de la phosphatase alcaline
Hypertrophie des glandes salivaires
Pensée suicidaire
Glaucome aigu
Torsades de pointes
Akathisie
Cardiomyopathie
Polyneuropathie
Alvéolite allergique
Syndrome de Löffler
Anorexie
Hépatite
Hyperthermie
Paranoïa
Sécheresse oculaire
Hépatite cholestatique
Augmentation de la glycémie
Diminution de la glycémie
Trouble extrapyramidal
Augmentation du risque de fracture
L'amitriptyline peut provoquer des effets secondaires similaires à ceux associés aux autres antidépresseurs tricycliques. Certains des effets secondaires indiqués ci-dessous, par ex. céphalées, tremblements, troubles de l'attention, constipation et diminution de la libido, peuvent également être des symptômes de dépression et s'atténuent généralement lorsque l'état dépressif s'améliore.
Dans la liste ci-dessous, la convention suivante est utilisée :
classe de système d'organes MedDRA / terme préconisé ;
Très fréquent (> 1/10) ;
Fréquent (> 1/100, < 1/10) ;
Peu fréquent (>1/1 000, < 1/100) ;
Rare (> 1/10 000, < 1/1 000) ;
Très rare (< 1/10 000) ;
Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
*Des cas de pensées ou de comportements suicidaires ont été signalés pendant le traitement ou juste après l'arrêt du traitement par amitriptyline (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des études épidémiologiques, menées principalement chez des patients âgés de plus de 50 ans, montrent un risque accru de fractures osseuses chez les patients recevant des ISRS et des ATC. Le mécanisme qui sous-tend ce risque est inconnu.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.
Voir plus
Grossesse
Pour l'amitriptyline, les données cliniques disponibles sont limitées en ce qui concerne l'exposition pendant la grossesse.
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
L'amitriptyline n'est pas recommandée pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité incontestable et uniquement après un examen rigoureux du rapport bénéfice/risque.
En cas d'utilisation chronique et après une administration au cours des dernières semaines de grossesse, des symptômes de sevrage peuvent apparaître chez le nouveau-né. Cela peut comprendre irritabilité, hypertonie, tremblements, respiration irrégulière, mauvaise prise alimentaire et pleurs intenses, et potentiellement des symptômes anticholinergiques (rétention urinaire, constipation).
Allaitement
L'amitriptyline et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel (correspondant à une valeur comprise entre 0,6 % et 1 % de la dose maternelle). Un risque pour le nourrisson allaité ne peut pas être exclu. La décision d'interrompre l'allaitement ou d'interrompre le traitement par ce médicament ou de ne pas l'utiliser sera prise en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la mère.
Fertilité
L'amitriptyline a diminué le taux de gravidité chez les rates (voir rubrique Données de sécurité préclinique).
Aucune donnée n'est disponible concernant les effets de l'amitriptyline sur la fertilité chez les humains.
Des arythmies cardiaques et une hypotension sévère peuvent survenir à des posologies élevées. Elles peuvent également survenir à la posologie normale chez les patients présentant une maladie cardiaque préexistante.
Allongement de l'intervalle QT
Des cas d'allongement de l'intervalle QT et d'arythmies ont été signalés depuis la commercialisation. La prudence est recommandée chez les patients atteints de bradycardie significative, chez ceux en insuffisance cardiaque non équilibrée, ou ceux prenant concomitamment des médicaments qui allongent l'intervalle QT. Les perturbations électrolytiques (hypokaliémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie) sont connues pour augmenter le risque pro-arythmique.
Les anesthésiques administrés concomitamment aux antidépresseurs tri/tétracycliques peuvent augmenter le risque d'arythmies et d'hypotension. Si possible, arrêter ce médicament plusieurs jours avant l'intervention chirurgicale ; si une chirurgie en urgence est nécessaire, l'anesthésiste doit être informé que le patient prend ce type de traitement.
La plus grande prudence est nécessaire si l'amitriptyline est administrée à des patients atteints d'hyperthyroïdie ou à ceux recevant des médicaments contre les troubles de la thyroïde car des arythmies cardiaques peuvent survenir.
Les patients âgés sont particulièrement enclins à l'hypotension orthostatique.
Ce médicament doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant les affections suivantes : crises convulsives, rétention urinaire, hypertrophie prostatique, hyperthyroïdie, symptomatologie paranoïaque et pathologie hépatique ou cardiovasculaire avancée, sténose du pylore et iléus paralytique.
Chez les patients atteints de la maladie rare caractérisée par une chambre antérieure étroite et un angle irido-cornéen fermé, des crises de glaucome aiguës peuvent survenir, dues à la dilatation de la pupille.
Suicides/idées suicidaires
La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à obtention d'une rémission significative. L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à obtention de cette amélioration. L'expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter en tout début de rétablissement.
Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo. Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose. Les patients (et leur entourage) devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées/comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
Chez les bipolaires, un passage à la phase maniaque peut survenir ; si le patient entre en phase maniaque, l'amitriptyline doit être arrêtée.
Comme indiqué pour d'autres psychotropes, l'amitriptyline peut modifier les réponses glycémiques et insuliniques, ce qui nécessite un ajustement du traitement antidiabétique chez les diabétiques ; en outre, la maladie dépressive en soi peut avoir un effet sur l'équilibre glycémique du patient.
L'hyperpyrexie a été signalée avec les antidépresseurs tricycliques lorsque ceux-ci sont administrés avec des anticholinergiques ou des neuroleptiques, en particulier par temps chaud.
Après une administration prolongée, un arrêt brutal du traitement peut entraîner des symptômes de sevrage, tels que céphalées, malaise, insomnie et irritabilité.
L'amitriptyline doit être utilisée avec précaution chez les patients recevant des ISRS (voir rubrique Posologie et mode d'administration et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Énurésie nocturne
Un ECG doit être pratiqué avant l'instauration du traitement par amitriptyline afin d'exclure un syndrome du QT long.
L'amitriptyline ne doit pas être associée à un anticholinergique dans le cadre du traitement de l'énurésie.
Les pensées et les comportements suicidaires peuvent également survenir en début de traitement par des antidépresseurs pour des troubles autres que la dépression ; par conséquent, les mêmes précautions doivent être appliquées chez ces patients que celles à prendre chez les patients traités pour dépression.
Population pédiatrique
Aucune donnée n'est disponible sur la sécurité à long terme chez les enfants et les adolescents en ce qui concerne la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Excipients
Ce médicament apporte 188 mg d'alcool (éthanol) pour une demi-dose journalière maximale chez l'adulte de 75 mg d'amitriptyline, équivalent à 2,7 mg d'éthanol/kg (pour un adulte de 70 kg). La quantité en éthanol équivaut à moins de 4,7 ml de bière ou 1,9 ml de vin.
Ce médicament apporte 125 mg d'alcool (éthanol) pour une dose journalière maximale chez l'enfant de 50 mg d'amitriptyline, équivalent à 6,3 mg d'éthanol/kg (pour un enfant de 20 kg). La quantité en éthanol équivaut à moins de 3,1 ml de bière ou 1,3 ml de vin.
La faible quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptible d'entrainer d'effet notable.
Maladie cardiaque pré-existante
Insuffisance cardiaque (non compensée)
Trouble électrolytique
Intervention chirurgicale
Hyperthyroïdie
Sujet âgé
Crise convulsive
Rétention urinaire
Hypertrophie prostatique
Réaction paranoïaque
Pathologie hépatique
Sténose du pylore
Iléus paralytique
Rétrécissement de la chambre antérieure
Angle irido-cornéen étroit
Idée suicidaire
Comportement suicidaire
Patient de 11 à 25 ans
Comportement anormal
Trouble bipolaire
Diabétique
Pathologie cardiovasculaire
Patient métaboliseur lent CYP2D6
Patient métaboliseur lent CYP2C19
Consommation d'alcool
L'amitriptyline est un sédatif.
Les patients à qui l'on a prescrit des psychotropes peuvent s'attendre à une certaine diminution de l'attention et de la concentration générales et doivent être mis en garde quant à leur capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Ces effets indésirables peuvent être potentialisés par la prise concomitante d'alcool.
Associations contre-indiquées
IMAO (inhibiteurs non sélectifs et sélectifs de type A (moclobémide) et B (sélégiline)) - risque de « syndrome sérotoninergique » (voir rubrique Contre-indications).
Associations non recommandées
Agents sympathomimétiques : l'amitriptyline peut potentialiser les effets cardiovasculaires de l'adrénaline, l'éphédrine, l'isoprénaline, la noradrénaline, la phényléphrine et la phénylpropanolamine (par ex., contenus dans les anesthésiques locaux et généraux ainsi que dans les décongestionnants nasaux).
Agents bloquant des neurones adrénergiques : les antidépresseurs tricycliques peuvent contrer les effets antihypertenseurs des antihypertenseurs à action centrale tels que guanéthidine, bétanidine, réserpine, clonidine et méthyldopa. Il est recommandé de vérifier tous les traitements antihypertenseurs lors du traitement par antidépresseurs tricycliques.
Agents anticholinergiques : les antidépresseurs tricycliques peuvent potentialiser les effets de ces médicaments sur l'oeil, le système nerveux central, les intestins et la vessie ; l'utilisation concomitante de ces médicaments doit être évitée en raison d'un risque accru d'iléus paralytique, d'hyperpyrexie, etc.
Les médicaments qui allongent l'intervalle QT, notamment les antiarythmiques tels que la quinidine, les antihistaminiques astémizole et terfénadine, certains antipsychotiques (notamment pimozide et sertindole), cisapride, halofantrine et sotalol, peuvent augmenter le risque d'arythmie ventriculaire lorsqu'ils sont pris avec des antidépresseurs tricycliques.
Ils doivent être utilisés avec prudence lors de l'utilisation concomitante d'amitriptyline et de méthadone en raison d'un risque d'effets cumulés sur l'intervalle QT et du risque accru d'effets cardiovasculaires graves.
La prudence est également recommandée en cas d'administration conjointe d'amitriptyline et de diurétiques induisant une hypokaliémie (par ex. furosémide).
Thioridazine : l'administration conjointe d'amitriptyline et de thioridazine (substrat du CYP2D6) doit être évitée en raison de l'inhibition du métabolisme de la thioridazine et, en conséquence, du risque accru d'effets secondaires cardiaques.
Tramadol : l'utilisation concomitante de tramadol (un substrat du CYP2D6) et d'antidépresseurs tricycliques (ATC), tels que l'amitriptyline, augmente le risque de crises convulsives et de syndrome sérotoninergique. En outre, cette association peut inhiber le métabolisme du tramadol en son métabolite actif, ce qui augmente ainsi les concentrations de tramadol, pouvant potentiellement entraîner une toxicité due aux opioïdes.
Les antifongiques tels que le fluconazole et la terbinafine augmentent les concentrations sériques des tricycliques et la toxicité qui y est associée. Des cas de syncope et de torsades de pointes ont été observés.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
Dépresseurs du SNC : l'amitriptyline peut augmenter les effets sédatifs de l'alcool, des barbituriques et d'autres dépresseurs du SNC.
Valproate de sodium : le valproate de sodium et le valpromide peuvent entrainer une augmentation de la concentration plasmatique de l'amitriptyline. Une surveillance clinique est donc recommandée.
Risque que d'autres médicaments affectent l'amitriptyline
Les antidépresseurs tricycliques (ATC), dont l'amitriptyline fait partie, sont essentiellement métabolisés par les isoenzymes CYP2D6 et CYP2C19 du cytochrome P450 hépatique, qui sont polymorphes dans la population. Les autres isoenzymes impliquées dans le métabolisme de l'amitriptyline sont le CYP3A4, le CYP1A2 et le CYP2C9.
Inhibiteurs du CYP2D6 : l'isoenzyme CYP2D6 peut être inhibée par différents médicaments, par ex. les neuroleptiques, les inhibiteurs de recapture de la sérotonine, les bêtabloquants et les antiarythmiques. Le bupropion, la fluoxétine, la paroxétine et la quinidine sont des exemples d'inhibiteurs puissants du CYP2D6. Ces médicaments peuvent ralentir de façon importante le métabolisme des ATC et entraîner une augmentation significative de leurs concentrations plasmatiques. Envisager de contrôler les concentrations plasmatiques des ATC, dès lors qu'un ATC doit être administré conjointement à un autre médicament connu comme étant un inhibiteur puissant du CYP2D6. Des ajustements posologiques de l'amitriptyline peuvent être nécessaires (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
La prudence est recommandée en cas d'administration concomitante de l'amitriptyline et de la duloxétine, un inhibiteur modéré du CYP2D6.
Autres inhibiteurs du cytochrome P450 : la cimétidine, le méthylphénidate et les inhibiteurs des canaux calciques (par ex. diltiazem et vérapamil) peuvent augmenter les concentrations plasmatiques des antidépresseurs tricycliques et la toxicité que cela implique. Il a été observé que les antifongiques tels que le fluconazole (inhibiteur du CYP2C9) et la terbinafine (inhibiteur du CYP2D6) augmentent les concentrations sériques d'amitriptyline et de nortriptyline.
Les isoenzymes CYP3A4 et CYP1A2 métabolisent l'amitriptyline dans une moindre mesure. Toutefois, il a été démontré que la fluvoxamine (puissant inhibiteur du CYP1A2) augmente les concentrations plasmatiques d'amitriptyline et cette association doit être évitée. Des interactions cliniquement significatives peuvent être attendues avec l'utilisation concomitante d'amitriptyline et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole et le ritonavir.
Les antidépresseurs tricycliques et les neuroleptiques inhibent mutuellement leur métabolisme ; cela peut entraîner un seuil de convulsion plus bas et des crises convulsives. Il peut être nécessaire d'ajuster la posologie de ces médicaments.
Inducteurs du cytochrome P450 : les contraceptifs oraux, la rifampicine, la phénytoïne, les barbituriques, la carbamazépine et le millepertuis (Hypericum perforatum) peuvent accélérer le métabolisme des antidépresseurs tricycliques, ce qui entraîne des concentrations plasmatiques plus basses d'antidépresseurs tricycliques et une diminution de la réponse aux antidépresseurs.
En présence d'éthanol, les concentrations plasmatiques libres d'amitriptyline et les concentrations de nortriptyline étaient augmentées.
Médicaments susceptibles d'altérer l'adaptation de l'organisme à la chaleur
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Télécharger le documentEthylique alcool, Glycérol, Eau purifiée
TEOFARMA SRL
Code UCD7 : 9049887
Code UCD13 : 3400890498876
Code CIS : 68969066
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : TEOFARMA SRL
Laboratoire exploitant : TEOFARMA SRL
Prix vente TTC : 3.15€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 3.15€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 08/04/1991
Rectificatif AMM : 03/06/2022
Marque : LAROXYL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930573259
Référence LPPR : Aucune
AMITRIPTYLINE SUBSTIPHARM 40 mg/mL, solution buvable en gouttes, boîte de 1 flacon avec compte-gouttes de 20 ml
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