MAXIDROL
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Collyre
Catégories :
Ophtalmologie, Anti-inflammatoires ophtalmiques, Corticoïdes ophtalmiques + Antibactériens ophtalmiques, Corticoïde + Association d'antibactériens
Principes actifs :
Dexaméthasone, Néomycine sulfate, Polymyxine B sulfate
Suite de la chirurgie ophtalmologique, Infection de l'oeil avec inflammation
Adulte - Enfant de plus de 30 mois . Traitement d'affection aiguë sévère. Voie ophtalmique
1 goutte par heure dans le cul-de-sac conjonctival inférieur.
Utiliser dans les 15 jours après ouverture.
Adulte - Enfant de plus de 30 mois . Voie ophtalmique (implicite)
1 goutte 6 fois par jour dans le cul-de-sac conjonctival inférieur pendant 7 jours.
Utiliser dans les 15 jours après ouverture.
Voie ophtalmique
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONSULTER UN MEDECIN en cas de : réactions allergiques telles que des démangeaisons de la paupière, un gonflement ou une rougeur de l'oeil.
CONSULTER UN MEDECIN en cas :
- d'un gonflement et d'une prise de poids au niveau du tronc et du visage,
- de vision floue ou d'autres troubles visuels,
- de sensation anormale, de picotements ou de douleur dans les yeux après avoir utilisé ce collyre.
Si un autre collyre ou une pommade ophtalmique est
utilisé, il est recommandé d'attendre au moins 5 minutes entre chaque
médicament. Les pommades ophtalmiques doivent être administrées en
dernier.
PRUDENCE
en cas de conduite de véhicules (vision floue, autre trouble visuel).
SPORTIF : cette spécialité contient un principe actif (dexaméthasone) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage.
FEMME en AGE DE PROCREER : utiliser une méthode de contraception pendant le traitement.
EVITER le port de lentilles de contact pendant le traitement.
Céphalée
Irritation oculaire
Photophobie
Syndrome de Cushing
Mydriase
Syndrome de Stevens-Johnson
Larmoiement
Vision floue
Hypersensibilité
Douleur oculaire
Hyperhémie oculaire
Inhibition de la fonction surrénalienne
Sensation anormale dans l'oeil
Gonflement des yeux
Sensation de corps étrangers dans les yeux
Ptosis de la paupière
Décoloration des lentilles de contact souples
Kératite ulcéreuse
Liste tabulée des effets indésirables rapportés au cours des essais cliniques
Les effets indésirables suivants ont été rapportés durant les essais cliniques avec MAXIDROL, collyre et sont classés selon la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à <1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000 à <1/100), rare (≥ 1/10 000 à <1/1 000) ou très rare (<1/10 000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité.
Liste tabulée des effets indésirables rapportés après commercialisation
Des effets indésirables additionnels ont été identifiés à partir de la surveillance post-commercialisation et sont listés dans le tableau suivant. Les fréquences ne peuvent être estimées à partir des données disponibles. Dans chaque classe système organe, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr.
Voir plus
Grossesse
Il n'y a peu ou pas de données suffisantes sur l'utilisation de la dexaméthasone, du sulfate de néomycine ou du sulfate de polymyxine B chez la femme enceinte. .
Les antibiotiques aminosides, tels que la néomycine, traversent le placenta après administration intraveineuse chez la femme enceinte. L'exposition systémique non-clinique et clinique aux aminosides a montré qu'ils induisaient une ototoxicité et une néphrotoxicité. A dose faible administrée par cette voie topique, il n'est pas attendu d'otoxicité ou de nephrotoxicité par la néomycine dues à l'exposition in utero. Dans un modèle de rat avec administration orale de néomycine jusqu'à 25 mg/kg jusqu'à deux fois par jour, aucune toxicité maternelle, foetotoxicité ou tératogénicité n'a été observée. L'utilisation prolongée ou répétée de corticoïdes durant la grossesse a été associée avec un risque augmenté de retard de croissance intra-utérine. Les nouveau-nés nés de mères ayant reçu des doses substantielles de corticoïdes durant la grossesse doivent être attentivement surveillés pour des signes d'hypoadrénalisme (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Des études chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction après une administration systémique et oculaire de dexaméthasone (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Il n'y a pas de données disponibles concernant la sécurité de la polymyxine B chez les femelles gestantes.
MAXIDROL collyre n'est pas recommandé pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de contraception.
Allaitement
On ignore si la dexaméthasone, le sulfate de néomycine ou le sulfate de polymyxine B sont excrétés dans le lait maternel à la suite d'une administration topique oculaire.
Les aminosides sont excrétés dans le lait maternel humain après une administration systémique. Il n'y a pas de données disponibles sur le passage de la dexaméthasone et de la polymyxine B dans le lait maternel. Cependant, il est probable que les concentrations de dexaméthasone, de néomycine et de polymyxine B ne soient pas détectables dans le lait maternel et ne soient pas capables de produire des effets cliniques chez le nouveau-né après un usage approprié de ce produit topique chez la mère.
Un risque pour l'enfant allaité ne peut être exclu. Une décision doit être prise d'arrêter l'allaitement ou d'arrêter le traitement en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et le bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité
Il n'existe pas de données concernant les effets de la néomycine et de la polymyxine B sur la fertilité masculine ou féminine. Il existe des données cliniques limitées sur l'évaluation de l'effet de la dexaméthasone sur la fertilité masculine ou féminine. La dexaméthasone n'a pas induit d'effet indésirable sur la fertilité chez un modèle de rat gonadotrophine chorionique.
Mises en garde
Utilisation par voie ophtalmique uniquement.
Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intra-oculaire.
Après ouverture du bouchon, si le dispositif de sécurité du col du flacon est lâche, il doit être retiré avant d'utiliser le produit.
Une sensibilité aux aminosides comme la néomycine, administrés par voie topique, peut survenir chez certains patients. La sévérité des réactions d'hypersensibilité peut varier, allant d'effets locaux jusqu'à des réactions généralisées, telles que érythème, démangeaisons, urticaire, rash cutané, anaphylaxie, réactions anaphylactiques, ou réactions bulleuses. Si une hypersensibilité se développe pendant l'utilisation de ce médicament, le traitement doit être interrompu.
De plus, l'utilisation topique de néomycine peut provoquer une sensibilisation cutanée.
Une hypersensibilité croisée à d'autres aminosides peut se produire, et la possibilité que les patients devenus sensibles à la néomycine topique puissent également être sensibles à d'autres aminosides topiques et / ou systémiques doit être envisagée.
Des effets indésirables graves, y compris de neurotoxicité, d'ototoxicité et de néphrotoxicité sont survenus chez des patients recevant de la néomycine par voie systémique ou appliquée par voie topique sur des plaies ouvertes ou sur une peau endommagée. Des réactions néphrotoxiques et neurotoxiques sont également survenues avec de la polymyxine B par voie systémique. Bien que ces effets n'ont pas été rapportés après une utilisation topique oculaire de ce produit, la prudence est recommandée lors de l'administration concomitante d'aminosides systémiques ou d'un traitement par polymyxine B.
Un usage prolongé de corticoïdes ophtalmiques peut entraîner une hypertension oculaire et/ou un glaucome avec lésion du nerf optique, une diminution de l'acuité visuelle et une altération du champ visuel, et la formation d'une cataracte sous-capsulaire postérieure. Chez les patients recevant un traitement prolongé par corticoïdes ophtalmiques, la pression intraoculaire devra être vérifiée régulièrement et fréquemment. Ceci est particulièrement important chez les enfants, puisque le risque d'hypertension oculaire induite par les corticoïdes peut être supérieur chez l'enfant et peut se produire plus tôt que chez les adultes.
Le risque d'augmentation cortico-induite de la pression intra-oculaire et/ou de la formation d'une cataracte est majoré chez les patients prédisposés (par exemple, chez les diabétiques).
Un syndrome de Cushing et/ou une inhibition de la fonction surrénalienne associés à l'absorption systémique de dexaméthasone ophtalmique peuvent survenir après un traitement continu intensif ou à long terme chez des patients prédisposés, y compris chez les enfants et les patients traités par des inhibiteurs du CYP3A4 (incluant le ritonavir et le cobicistat). Dans ce cas, le traitement doit être arrêté progressivement.
Les corticoïdes peuvent diminuer la résistance aux infections bactériennes, fongiques, parasitaires ou virales, contribuer à leur apparition, et masquer les signes cliniques d'une infection.
L'éventualité d'une infection fongique doit être envisagée chez les patients présentant une ulcération cornéenne persistante. En cas d'infection fongique, le traitement aux corticoïdes doit être interrompu.
Comme avec d'autres agents anti-infectieux, l'utilisation prolongée d'antibiotiques tels que la néomycine et la polymyxine peut entraîner la prolifération de micro-organismes résistants, dont les champignons. En cas de surinfection, cesser l'utilisation et mettre en place un traitement de remplacement.
Troubles visuels
Des troubles visuels peuvent apparaitre lors d'une corticothérapie par voie systémique ou locale. En cas de vision floue ou d'apparition de tout autre symptôme visuel apparaissant au cours d'une corticothérapie, un examen ophtalmologique est requis à la recherche notamment d'une cataracte, d'un glaucome, ou d'une lésion plus rare telle qu'une choriorétinopathie séreuse centrale, décrits avec l'administration de corticostéroïdes par voie systémique ou locale.
Précautions d'emploi
Une occlusion nasolacrymale ou une fermeture douce des paupières après administration est recommandée. Ceci peut réduire l'absorption systémique des médicaments administrés par voie oculaire et conduire à une diminution des effets indésirables systémiques.
En l'absence d'amélioration rapide ou en cas de traitement prolongé, une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance au produit et d'adapter éventuellement le traitement.
Les corticoïdes topiques ophtalmiques peuvent ralentir la cicatrisation des plaies cornéennes. Les AINS topiques sont également connus pour ralentir ou retarder la guérison. L'utilisation concomitante d'AINS topiques et de corticoïdes topiques peut augmenter le risque de problèmes de cicatrisation. (Voir la section Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Dans les pathologies provoquant un amincissement de la cornée ou de la sclère, des perforations ont été rapportées lors de l'utilisation de corticoïdes topiques.
Le port de lentilles de contact est déconseillé pendant le traitement d'une inflammation ou d'une infection oculaire.
Chlorure de Benzalkonium
Ce médicament contient 0,2 mg de chlorure de benzalkonium pour 5 ml de collyre soit 0,04 mg/ml.
Le chlorure de benzalkonium peut être absorbé par les lentilles de contact souples et changer leur couleur. Les lentilles de contact sont à retirer avant application et attendre au moins 15 minutes avant de les remettre.
Le chlorure de benzalkonium peut également provoquer une irritation des yeux, surtout si le patient souffre du syndrome de l'oeil sec ou de troubles de la cornée. Informez le patient qu'en cas de sensation anormale, de picotements ou de douleur dans les yeux après avoir utilisé ce médicament, un médecin doit être consulté.
L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif (dexaméthasone) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage.
Population pédiatrique
L'usage de ce médicament doit être évité chez le nourrisson.
Réaction d'hypersensibilité
Patient de 30 mois à 15 ans
Prédisposition à l'hypertension oculaire
Prédisposition à la cataracte
Syndrome de Cushing
Inhibition de la fonction surrénalienne
Ulcération cornéenne
Symptômes visuels
Amincissement de la cornée
Amincissement de la sclère
Port de lentilles de contact
Sportif
Oeil sec
Anomalie de la cornée
Patiente en âge de procréer
MAXIDROL, collyre a une influence mineure sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
Une vision floue provisoire ou d'autres troubles visuels peuvent diminuer l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. En cas de vision floue survenant lors de l'instillation, le patient doit attendre que sa vision redevienne normale avant de conduire un véhicule ou d'utiliser une machine.
Aucune interaction cliniquement significative n'a été décrite avec MAXIDROL collyre.
Si un autre collyre ou une pommade ophtalmique est utilisé, il est recommandé d'attendre au moins 5 minutes entre chaque médicament. Les pommades ophtalmiques doivent être administrées en dernier.
L'utilisation concomitante de corticoïdes topiques et d'AINS topiques peut augmenter le risque de problèmes de cicatrisation cornéenne.
Chez les patients traités par du ritonavir, les concentrations plasmatiques de dexaméthasone peuvent être augmentées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Des inhibiteurs du CYP3A4 (incluant le ritonavir et le cobicistat) peuvent diminuer la clairance de la dexaméthasone ce qui entraîne une augmentation des effets et une inhibition de la fonction surrénalienne/un syndrome de Cushing. L'association doit être évitée, sauf si le bénéfice est supérieur au risque accru d'effets secondaires systémiques des corticoïdes, auquel cas les patients doivent être surveillés pour les effets sytémiques des corticoïdes.
L'hypokaliémie est un facteur favorisant l'apparition de troubles du rythme cardiaque (torsades de pointes, notamment) et augmentant la toxicité de certains médicaments, par exemple la digoxine. De ce fait, les médicaments qui peuvent entraîner une hypokaliémie sont impliqués dans un grand nombre d'interactions. Il s'agit des diurétiques hypokaliémiants, seuls ou associés, des laxatifs stimulants, des glucocorticoïdes, du tétracosactide et de l'amphotéricine B (voie IV).
1- LIEES A LA DEXAMETHASONE
Bien que les quantités de dexaméthasone passant dans la circulation systémique soient faibles après instillation oculaire, il convient de tenir compte des interactions observées avec la dexaméthasone par voie générale.
Associations déconseillées
+ Acide acétylsalicylique à des doses anti-inflammatoires (≥ 1g par prise et/ou ≥ 3g par jour)
Majoration du risque hémorragique.
+ Mifamurtide
Risque de moindre efficacité du mifamurtide.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Autres hypokaliémiants
Risque majoré d'hypokaliémie.
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction.
+ Cobimétinib
Augmentation du risque hémorragique.
Surveillance clinique.
+ Digoxine
Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
+ Isoniazide
Décrit pour la prednisolone. Diminution des concentrations plasmatiques de l'isoniazide. Mécanisme invoqué : augmentation du métabolisme hépatique de l'isoniazide et diminution de celui des glucocorticoïdes.
Surveillance clinique et biologique.
+ Praziquantel
Diminution des concentrations plasmatiques du praziquantel, avec risque d'échec du traitement, par augmentation du métabolisme hépatique du praziquantel par la dexaméthasone.
Décaler l'administration des deux médicaments d'au moins une semaine.
+ Substances susceptibles de donner des torsades de pointes
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
Associations à prendre en compte
+ Acide acétylsalicylique à des doses antalgiques ou antipyrétiques (≥ 500 mg par prise et/ou < 3 g par jour)
Majoration du risque hémorragique.
+ Anti-inflammatoires non stéroïdiens
Augmentation du risque d'ulcération et d'hémorragie gastro-intestinale.
+ Fluoroquinolones
Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.
+ Héparines
Augmentation du risque hémorragique.
2- LIEES A LA POLYMYXINE B
Associations déconseillées
+ Aminosides
Addition des effets néphrotoxiques.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance stricte avec une justification bactériologique indiscutable.
REEVALUATION_COLLYRES_21102020_TRANSCRIPTION_CTEVAL503
Télécharger le documentMAXIDROL_17022021_AVIS_CT17785
Télécharger le documentMAXIDROL_17022021_SYNTHESE_CT17785
Télécharger le documentREEVALUATION_COLLYRES_17022021_RAPPORT_CTEVAL503
Télécharger le documentREEVALUATION_COLLYRES_17022021_TRANSCRIPTION_CTEVAL503
Télécharger le documentQ/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentMAXIDROL - CT-11119
Télécharger le documentMéthylhydroxypropylcellulose, Benzalkonium chlorure, Sodium chlorure, Polysorbate 20, Chlorhydrique acide, Sodium hydroxyde, Eau purifiée
NOVARTIS PHARMA
8-10 rue Henri Sainte-Claire-Deville
92500
RUEIL MALMAISON
Code UCD7 : 9057177
Code UCD13 : 3400890571777
Code CIS : 61605665
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : NOVARTIS PHARMA
Laboratoire exploitant : NOVARTIS PHARMA
Prix vente TTC : 1.83€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 1.83€
Taux SS : 30%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH4
Date AMM : 30/12/1991
Rectificatif AMM : 16/01/2025
Marque : MAXIDROL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930652534
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
Visitez notre centre de support ou contactez-nous !
Rendez-vous et téléconsultation
avec vos professionnels de santé