LEELOO
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé enrobé
Catégories :
Contraception et interruption de grossesse, Contraception hormonale, Estroprogestatifs combinés, Minidosés : = < 0,04 mg d'éthinylestradiol, Monophasiques, Lévonorgestrel + Ethinylestradiol, Lévonorgestrel + Ethinylestradiol : prise sur 21 jours
Principes actifs :
Lévonorgestrel, Ethinylestradiol
Contraception orale
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . de sexe féminin en âge de procréer. Contraception orale (implicite)
1 comprimé 1 fois par jour au même moment de la journée à prendre régulièrement et sans oubli pendant 21 jours.
Puis arrêt pendant 7 jours.
Voie orale
ARRETER le TRAITEMENT
et CONSULTER IMMEDIATEMENT un MEDECIN en cas de :
- gonflement du visage, de
la langue et/ou de la gorge,
- difficulté à avaler,
- urticaire associé à des difiicultés pour respirer.
CONSULTER IMMEDIATEMENT UN MEDECIN en cas de :
- gonflement unilatéral
d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe ;
- douleur ou de sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en
position debout ou lors de la marche ;
- sensation de chaleur, rougeur ou
changement de la coloration cutanée de la jambe affectée ;
- apparition
soudaine et inexpliquée d'un essoufflement ou d'une accélération de la
respiration ;
- toux soudaine;
- douleur thoracique aiguë ;
- étourdissements ou de sensations vertigineuses sévères ;
- battements
cardiaques rapides ou irréguliers,
- apparition soudaine de difficultés à
marcher, de sensations vertigineuses, d'une perte d'équilibre ou de coordination
;
- apparition soudaine d'une confusion, de difficultés à parler ou à
comprendre ;
- apparition soudaine de difficultés à voir d'un œil ou des
deux yeux ;
- céphalée soudaine, sévère ou prolongée, sans cause connue
;
- perte de conscience ou évanouissement avec ou sans crise
convulsive.
- maux de ventre intenses subitement,
- absence de règles deux fois de suite,
- changements d'humeur et de symptômes dépressifs.
CONSULTER
IMMEDIATEMENT le médecin en l'absence de règles deux fois de suite.
CONSULTER LE MEDECIN si des saignements irréguliers se poursuivent
au-delà de 3 mois.
INTERROMPRE le traitement
:
- en cas d'immobilisation prolongée
- en cas d'intervention chirurgicale
programmée (arrêter le traitement un mois avant l'intervention et jusqu'au
retour à une mobilité complète).
EVITER de s'exposer au soleil en cas de
mélasme/ chloasma apparu lors d'une grossesse ou sous contraceptifs oraux
estroprogestatifs.
NE PAS CONSOMMER durant le traitement du :
-
millepertuis (Hypericum perforatum) (possibilité de diminuer l'efficacité
contraceptive du médicament ou provoquer des saignements entre les règles).
-
pamplemousse (possibilité de diminuer l'efficacité contraceptive du médicament
ou provoquer des saignements entre les règles).
Alopécie
Chloasma
Diarrhée
Flatulence
Hirsutisme
Hypertension artérielle
Migraine
Urticaire
Crampe abdominale
Exanthème
Diminution de la libido
Vomissement
Hypertrophie mammaire
Modification de l'appétit
Rétention liquidienne
Rash cutané
Modification des lipides plasmatiques
Thrombo-embolie veineuse
Erythème polymorphe
Erythème noueux
Ictère cholestatique
Réaction allergique
Hypersensibilité
Intolérance au glucose (dysglycémie)
Diminution du poids
Thrombo-embolie artérielle
Augmentation de la libido
Ecoulement vaginal
Sécrétion mammaire
Diminution des taux plasmatiques de l'acide folique
Intolérance aux lentilles de contact
Réaction anaphylactique
Angio-oedème
Réaction allergique du système respiratoire
Trouble circulatoire
Candidose vaginale
Hypertriglycéridémie
Lithiase biliaire
Otosclérose
Prurit de cholestase
Rectocolite hémorragique
Tumeur hépatique
Dépression
Perte de la vision
Angio-oedème héréditaire
Diminution de l'appétit
Augmentation de l'appétit
Syndrome hémolytique et urémique
Exacerbation d'une maladie de Crohn
Aggravation d'une porphyrie
Herpès gravidique
Aggravation d'une dépression
Exacerbation d'un lupus érythémateux disséminé
Aggravation de l'épilepsie
Aggravation de lithiase biliaire
Aggravation de cholestase
Atteinte biliaire
Pancréatite avec une hypertriglycéridémie sévère
Exacerbation d'une chorée de Sydenham
Inflammation du nerf optique
Aggravation des varices
Aggravation d'ictère cholestatique
Exacerbation de l'angioedème héréditaire
Exacerbation des symptômes de l'angio-oèdème acquis
Résumé du profil de sécurité
Les effets indésirables les plus fréquents (> 10 %) associés à l'utilisation de LEELOO sont les céphalées (y compris les migraines), les petites pertes sanglantes et les hémorragies utérines secondaires.
Description de certains effets indésirables particuliers
Une augmentation du risque d'événement thrombotique et thrombo-embolique artériel et veineux, incluant l'infarctus du myocarde, l'AVC, les accidents ischémiques transitoires, la thrombose veineuse et l'embolie pulmonaire, a été observée chez les femmes utilisant des CHC ; ceci est abordé plus en détails en rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Les effets indésirables graves suivants qui ont été rapportés chez des femmes utilisant des COC sont commentés à la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi « Mises en garde spéciales et précautions d'emploi » :
· accidents thrombo-emboliques veineux,
· accidents thrombo-emboliques artériels,
· hypertension,
· tumeurs hépatiques,
· cancer du col de l'utérus
· ictère cholestatique.
En outre, les effets indésirables suivants ont été rapportés pendant l'utilisation de contraceptifs oraux de type combiné. La fréquence de ces effets indésirables ne peut pas être calculée d'après les rapports.
· inflammation du nerf optique (peut conduire à une perte partielle ou complète de la vision),
· exacerbation des varices,
· pancréatite en cas d'hypertriglycéridémie co-existante sévère,
· pathologie de la vésicule biliaire, y compris lithiase (les contraceptifs oraux de type combiné peuvent provoquer l'apparition d'une pathologie de la vésicule biliaire ou aggraver une pathologie pré-existante de la vésicule biliaire),
· syndrome hémolytique et urémique,
· herpès gestationnel,
· otosclérose,
· exacerbation d'un lupus érythémateux disséminé,
· exacerbation d'une porphyrie,
· exacerbation d'une chorée de Sydenham,
· exacerbation d'une dépression,
· exacerbation de maladies intestinales inflammatoires chroniques (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique).
· chloasma
La fréquence des cancers du sein diagnostiqués est légèrement augmentée chez les utilisatrices de COC. Le cancer du sein étant rare chez les femmes de moins de 40 ans le nombre de cas supplémentaires est faible par rapport au risque global de cancer du sein. La relation de causalité avec l'utilisation de COC n'est pas établie. Pour plus d'informations se reporter aux rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Les estrogènes exogènes pourraient induire ou exacerber les symptômes de l'angioedème héréditaire et acquis
Interactions
Des métrorragies de privation et/ou un échec de la contraception peuvent être la conséquence d'interactions entre d'autres médicaments (inducteurs enzymatiques) et les contraceptifs oraux (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Voir plus
Grossesse
LEELOO est contre-indiqué pendant la grossesse.
Toute grossesse doit être exclue avant l'utilisation de LEELOO. En cas de grossesse pendant la prise de LEELOO, le traitement doit être immédiatement arrêté.
Toutefois, les résultats de la majorité des études épidémiologiques n'ont pas montré de risque accru d'anomalie congénitale chez les enfants nés de mères ayant pris des contraceptifs oraux avant leur grossesse ni d'effets tératogènes en cas de prise non intentionnelle de pilules contraceptives au début de la grossesse.
L'augmentation du risque de TEV en période post-partum doit être prise en compte lors de la reprise de LEELOO (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Allaitement
L'allaitement peut être influencé par les pilules contraceptives, étant donné qu'elles peuvent diminuer la quantité de lait maternel et en modifier la composition. L'utilisation des contraceptifs oraux ne sera généralement pas recommandée tant que l'enfant n'est pas complètement sevré. Des petites quantités de stéroïdes contraceptifs et/ou de leurs métabolites peuvent être excrétées dans le lait et affecter le nourrisson.
Mises en garde
Si la patiente présente l'un des troubles ou l'un des facteurs de risque mentionnés ci-dessous, la pertinence du traitement par LEELOO doit être discutée avec elle.
En cas d'aggravation ou de première apparition de l'un de ces troubles ou facteurs de risque, la nécessité d'interrompre l'utilisation de LEELOO doit être discutée entre le médecin et la patiente.
Affections vasculaires
Risque de thrombo-embolie veineuse (TEV)
Le risque de TEV est augmenté chez les femmes qui utilisent un contraceptif hormonal combiné (CHC) en comparaison aux femmes qui n'en utilisent pas. La décision d'utiliser LEELOO doit être prise uniquement après concertation avec la patiente afin de s'assurer qu'elle comprend le risque de TEV associé à LEELOO, l'influence de ses facteurs de risque actuels sur ce risque et le fait que le risque de TEV est maximal pendant la première année d'utilisation. Certaines données indiquent également une augmentation du risque lors de la reprise d'un CHC après une interruption de 4 semaines ou plus.
Parmi les femmes qui n'utilisent pas de CHC et qui ne sont pas enceintes, environ 2 sur 10 000 développeront une TEV sur une période d'un an. Cependant, chez une femme donnée, le risque peut être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque qu'elle présente (voir ci-dessous).
On estime que sur 10 000 femmes qui utilisent un CHC contenant du lévonorgestrel, environ 61 développeront une TEV sur une période d'un an.
1 Point central de
l’intervalle de 5-7 pour 10 000 années-femmes sur la base d’un risque
relatif, pour les CHC contenant du lévonorgestrel par rapport à la
non-utilisation d’un CHC, d’environ 2,3 à 3,6
Le nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum.
La TEV peut être fatale dans 1 à 2 % des cas.
De façon extrêmement rare, des cas de thrombose ont été signalés chez des utilisatrices de CHC dans d'autres vaisseaux sanguins, p. ex. les veines et artères hépatiques, mésentériques, rénales cérébrales ou rétiniennes.
Facteurs de risque de TEV :
Le risque de complications thrombo-emboliques veineuses chez les utilisatrices de CHC peut être considérablement accru si d'autres facteurs de risque sont présents, en particulier si ceux-ci sont multiples (voir le tableau ci-dessous).
LEELOO est contre-indiqué chez les femmes présentant de multiples facteurs de risque, ceux-ci les exposant à un risque élevé de thrombose veineuse (voir rubrique Contre-indications). Lorsqu'une femme présente plus d'un facteur de risque, il est possible que l'augmentation du risque soit supérieure à la somme des risques associés à chaque facteur pris individuellement - dans ce cas, le risque global de TEV doit être pris en compte. Si le rapport bénéfice/risque est jugé défavorable, le CHC ne doit pas être prescrit (voir rubrique Contre-indications).
Tableau : Facteurs de risque de TEV
Facteur de risque | Commentaire |
Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) | L'élévation de l'IMC augmente considérablement le risque.Ceci est particulièrement important à prendre en compte si d'autres facteurs de risque sont présents. |
Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeurRemarque : l'immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens > 4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque. | Dans ces situations, il est conseillé de suspendre la prise de la pilule (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée.Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si LEELOO n'a pas été interrompu à l'avance. |
Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) | En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de CHC |
Autres affections médicales associées à la TEV | Cancer, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique) et drépanocytose |
Age | En particulier au-delà de 35 ans |
Il n'existe aucun consensus quant au rôle éventuel joué par les varices et les thrombophlébites superficielles dans l'apparition ou la progression d'une thrombose veineuse.
L'augmentation du risque de thrombo-embolie pendant la grossesse, et en particulier pendant les 6 semaines de la période puerpérale, doit être prise en compte (pour des informations concernant « Grossesse et allaitement », voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement).
Symptômes de TEV (thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire)
Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et lui indiquer qu'elles utilisent un CHC.
Les symptômes de la thrombose veineuse profonde (TVP) peuvent inclure :
· gonflement unilatéral d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe ;
· douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche ;
· sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
Les symptômes de l'embolie pulmonaire (EP) peuvent inclure :
· apparition soudaine et inexpliquée d'un essoufflement ou d'une accélération de la respiration ;
· toux soudaine, pouvant être associée à une hémoptysie ;
· douleur thoracique aiguë ;
· étourdissements ou sensations vertigineuses sévères ;
· battements cardiaques rapides ou irréguliers.
Certains de ces symptômes (p. ex. « essoufflement », « toux ») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (p. ex., infections respiratoires).
Les autres signes d'une occlusion vasculaire peuvent inclure : douleur soudaine, gonflement et coloration légèrement bleutée d'une extrémité.
Si l'occlusion se produit dans l'oeil, les symptômes peuvent débuter sous la forme d'une vision trouble indolore pouvant évoluer vers une perte de la vision. Dans certains cas, la perte de la vision peut survenir presque immédiatement.
Risque de thrombo-embolie artérielle (TEA)
Des études épidémiologiques ont montré une association entre l'utilisation de CHC et l'augmentation du risque de thrombo-embolie artérielle (infarctus du myocarde) ou d'accident cérébrovasculaire (p. ex., accident ischémique transitoire, AVC). Les événements thrombo-emboliques artériels peuvent être fatals.
Facteurs de risque de TEA
Le risque de complications thrombo-emboliques artérielles ou d'accident cérébrovasculaire chez les utilisatrices de CHC augmente avec la présence de facteurs de risque (voir le tableau). LEELOO est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle (voir rubrique Contre-indications). Lorsqu'une femme présente plus d'un facteur de risque, il est possible que l'augmentation du risque soit supérieure à la somme des risques associés à chaque facteur pris individuellement - dans ce cas, le risque global doit être pris en compte. Si le rapport bénéfice/risque est jugé défavorable, le CHC ne doit pas être prescrit (voir rubrique Contre-indications).
Tableau : Facteurs de risque de TEA
Facteur de risque | Commentaire |
Âge | En particulier au-delà de 35 ans |
Tabagisme | Il doit être conseillé aux femmes de ne pas fumer si elles souhaitent utiliser un CHC. Il doit être fortement conseillé aux femmes de plus de 35 ans qui continuent de fumer d'utiliser une méthode de contraception différente. |
Hypertension artérielle | |
Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) | L'élévation de l'IMC augmente considérablement le risque.Ceci est particulièrement important à prendre en compte chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque. |
Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) | En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de CHC. |
Migraine | L'accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l'utilisation d'un CHC (qui peut être le prodrome d'un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d'arrêt immédiat du CHC. |
Autres affections médicales associées à des événements indésirables vasculaires | Diabète, hyperhomocystéinémie, valvulopathie cardiaque et fibrillation auriculaire, dyslipoprotéinémie et lupus érythémateux disséminé. |
Symptômes de TEA :
Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et lui indiquer qu'elles utilisent un CHC.
Les symptômes d'un accident cérébrovasculaire peuvent inclure :
· apparition soudaine d'un engourdissement ou d'une faiblesse du visage, d'un bras ou d'une jambe, en particulier d'un côté du corps ;
· apparition soudaine de difficultés à marcher, de sensations vertigineuses, d'une perte d'équilibre ou de coordination ;
· apparition soudaine d'une confusion, de difficultés à parler ou à comprendre ;
· apparition soudaine de difficultés à voir d'un oeil ou des deux yeux ;
· céphalée soudaine, sévère ou prolongée, sans cause connue ;
· perte de conscience ou évanouissement avec ou sans crise convulsive.
Des symptômes temporaires suggèrent qu'il s'agit d'un accident ischémique transitoire (AIT).
Les symptômes de l'infarctus du myocarde (IM) peuvent inclure :
· douleur, gêne, pression, lourdeur, sensation d'oppression ou d'encombrement dans la poitrine, le bras ou sous le sternum ;
· sensation de gêne irradiant vers le dos, la mâchoire, la gorge, le bras, l'estomac ;
· sensation d'encombrement, d'indigestion ou de suffocation ;
· transpiration, nausées, vomissements ou sensations vertigineuses ;
· faiblesse, anxiété ou essoufflement extrêmes ;
· battements cardiaques rapides ou irréguliers.
L'instauration éventuelle d'un traitement anticoagulant doit également être prise en considération. Un autre moyen de contraception approprié peut être envisagé en raison de la tératogénicité du traitement anticoagulant (coumarines).
Tumeurs
Dans certaines études épidémiologiques, un risque accru de cancer du col de l'utérus chez les utilisatrices au long terme de COC a été rapporté mais la mesure dans laquelle cette observation pourrait être influencée par le comportement sexuel et d'autres facteurs comme le papillomavirus humain (HPV) n'a pas encore été suffisamment élucidée.
Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a montré que les femmes prenant des COC présentaient un risque relatif de diagnostic de cancer du sein légèrement accru (RR = 1,24). Ce risque accru diminue progressivement dans les 10 années suivant l'arrêt du COC. Etant donné que le cancer du sein est rare chez les femmes de moins de 40 ans, l'augmentation du nombre de cas de cancers du sein diagnostiqués chez des femmes prenant ou ayant pris des COC est faible par comparaison au risque de cancer du sein au cours de leur vie entière. Ces études ne font pas ressortir de lien de cause à effet. Le schéma d'un risque accru qui a été observé pourrait être dû à un diagnostic de cancer du sein plus précoce chez les femmes prenant des COC, à l'action biologique des COC ou à une combinaison des deux. Les cas de cancer du sein diagnostiqués chez les utilisatrices des COC ont tendance à être moins avancés cliniquement que les cas de cancer du sein diagnostiqués chez les autres.
Toutes les femmes, notamment celles de plus de 35 ans, doivent bénéficier d'examens des seins réguliers pendant la période de contraception orale.
De rares cas de tumeurs bénignes et de cas encore plus rares de tumeurs malignes du foie ont été rapportés chez les utilisatrices des COC. Ces tumeurs, dans quelques cas, ont conduit à des accidents hémorragiques intra-abdominaux menaçant le pronostic vital. La possibilité d'une tumeur du foie doit être envisagée lorsqu'un diagnostic différentiel est établi en cas de survenue d'une douleur importante dans la partie supérieure de l'abdomen, d'hépatomégalie ou de signes d'accident hémorragique intra-abdominal chez des femmes prenant des COC.
Autres pathologies
Les femmes atteintes d'hypertriglycéridémie ou avec une prédisposition héréditaire à cette affection pourraient présenter un risque accru de pancréatite quand elles prennent des COC.
Bien qu'une légère élévation de la pression artérielle ait été rapportée chez de nombreuses femmes prenant des COC, les élévations cliniquement importantes sont rares. Un arrêt immédiat du traitement se justifie uniquement dans ces cas. On n'a pas établi de relation systématique entre les contraceptifs oraux de type combiné et la présence d'une hypertension clinique. Toutefois, si l'utilisation de COC chez des femmes hypertendues s'accompagne de valeurs constamment élevées de la pression artérielle et d'une augmentation significative des chiffres tensionnels ne répondant pas au traitement anti-hypertension, le traitement devra être interrompu. Le cas échéant, le traitement par COC pourra être repris après restauration des valeurs normales par le traitement antihypertenseur.
Il a été rapporté que les affections suivantes peuvent survenir ou se sont aggravées tant pendant la grossesse que pendant l'utilisation des COC, mais il n'y a pas de preuve concluante d'un lien avec l'utilisation des COC : ictère et/ou démangeaisons cholestatiques, calculs biliaires, porphyrie, lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, chorée de Sydenham, herpes gestationis, perte auditive due à une otosclérose, humeur dépressive.
Les estrogènes exogènes pourraient induire ou exacerber les symptômes de l'angioedème héréditaire et acquis.
Les affections hépatiques aigues ou chroniques peuvent nécessiter l'arrêt de l'utilisation du COC jusqu'au retour à la normale des paramètres de la fonction hépatique. La récidive d'un ictère cholestatique et/ou de démangeaisons cholestatiques déjà apparus lors d'une grossesse ou de l'utilisation précédente d'hormones stéroïdes nécessite l'arrêt du traitement.
Même si les COC peuvent avoir une action sur l'insulinorésistance périphérique et sur la tolérance au glucose, il ne semble pas nécessaire de modifier le traitement antidiabétique chez les patientes prenant des contraceptifs oraux de type combiné faiblement dosés. Les diabétiques doivent cependant être surveillées attentivement lorsqu'elles utilisent des COC, notamment au début du traitement.
Une aggravation d'une dépression endogène, d'une épilepsie, d'une maladie de Crohn et d'une rectocolite hémorragique a été décrite pendant l'utilisation de COC.
L'état dépressif et la dépression sont des effets indésirables bien connus liés à l'utilisation de contraceptifs hormonaux (voir rubrique Effets indésirables). La dépression peut être grave et constitue un facteur de risque bien connu de comportement suicidaire et de suicide. Il convient de conseiller aux femmes de contacter leur médecin en cas de changements d'humeur et de symptômes dépressifs, y compris peu de temps après le début du traitement.
Un chloasma peut se présenter occasionnellement, notamment chez les femmes ayant des antécédents médicaux de chloasma pendant la grossesse. Les femmes ayant une tendance au chloasma devront éviter les expositions au soleil ou aux rayons ultraviolets lorsqu'elles prennent des COC.
Ce médicament contient du lactose monohydraté. Son utilisation est déconseillée chez les patientes présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares). Ce médicament contient également du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patientes présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase.
Consultation/examen médical
Avant l'instauration ou la reprise de LEELOO, une recherche complète des antécédents médicaux (y compris les antécédents familiaux) doit être effectuée et la présence d'une grossesse doit être exclue. La pression artérielle doit être mesurée et un examen physique doit être réalisé, en ayant à l'esprit les contre-indications (voir rubrique Contre-indications) et les mises en garde (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Il est important d'attirer l'attention des patientes sur les informations relatives à la thrombose veineuse et artérielle, y compris le risque associé à LEELOO comparé à celui associé aux autres CHC, les symptômes de la TEV et de la TEA, les facteurs de risque connus et la conduite à tenir en cas de suspicion de thrombose.
Il doit également être indiqué aux patientes de lire attentivement la notice et de suivre les conseils fournis. La fréquence et la nature des examens doivent être définies sur la base des recommandations en vigueur et adaptées à chaque patiente.
Les patientes doivent être averties que les contraceptifs hormonaux ne protègent pas contre l'infection par le VIH (SIDA) et les autres maladies sexuellement transmissibles.
Efficacité réduite
L'efficacité des COC peut être réduite en cas d'oubli de comprimés, de vomissements, de diarrhées ou de prise concomitante d'autres médicaments.
Diminution du contrôle du cycle
Des saignements irréguliers (petites pertes sanglantes ou hémorragies utérines secondaires) peuvent survenir avec la prise de COC, notamment au cours des premiers mois. L'évaluation de la survenue de saignements irréguliers ne sera donc pertinente qu'après une période d'adaptation d'environ 3 cycles. Plus de 50 % des utilisatrices de LEELOO ont rapporté des saignements irréguliers (petites pertes sanglantes ou hémorragies utérines secondaires) pendant les 6 premiers mois d'utilisation.
Si les saignements irréguliers persistent ou surviennent après des cycles réguliers, des causes non hormonales seront envisagées et des examens diagnostiques adéquats seront pratiqués afin d'éliminer la possibilité d'une tumeur maligne ou d'une grossesse. Ces examens peuvent inclure un curetage.
Certaines femmes n'ont pas de saignement menstruel pendant la période sans comprimés. Si les COC ont été pris conformément aux instructions de la rubrique Posologie et mode d'administration, il est peu probable que la femme soit enceinte. Toutefois, si les COC n'ont pas été pris conformément aux instructions avant le premier saignement menstruel absent, ou si deux saignements menstruels sont absents, il faudra s'assurer de l'absence d'une grossesse avant de poursuivre la prise du traitement.
Arrêt de la prise des contraceptifs oraux en vue d'une grossesse
Les femmes qui arrêtent de prendre LEELOO parce qu'elles envisagent une grossesse doivent être averties qu'un déficit en acide folique peut provoquer des anomalies in utero du tube neural chez l'enfant et qu'une supplémentation en acide folique est donc recommandée avant et après la conception.
Obésité (IMC > = 30 kg/m²)
Traumatisme majeur
Antécédent familial d'accident thrombo-embolique
Cancer
Lupus érythémateux disséminé
Syndrome hémolytique et urémique
Maladie de Crohn
Rectocolite hémorragique
Drépanocytose
Femme de plus de 35 ans
Tabagisme
Hypertension artérielle légère ou modérée
Migraine
Diabète
Valvulopathie cardiaque
Fibrillation auriculaire
Dyslipoprotéinémie légère à modérée
Douleur de l'hypochondre droit
Augmentation du volume du foie
Hémorragie intra-abdominale
Hypertriglycéridémie
Antécédent familial d'hypertriglycéridémie
Ictère cholestatique
Prurit de cholestase
Calcul biliaire
Porphyrie
Chorée de Sydenham
Herpès gestationis
Otosclérose
Humeur dépressive
Angioedème
Anomalie hépatique (tests fonctionnels)
Dépression
Epilepsie
Changement d'humeur
Symptôme dépressif
Antécédent d'ictère cholestatique de la grossesse
Prédisposition au chloasma
Vomissement
Diarrhée sévère
Troubles gastro-intestinaux
Absence d'hémorragie de privation
Saignement irrégulier
LEELOO n'a aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Remarque : consulter les informations de prescription des médicaments concomitants afin d'identifier les éventuelles interactions.
Effets d'autres médicaments sur LEELOO
Des interactions peuvent survenir avec les médicaments inducteurs des enzymes microsomales, ce qui peut induire une augmentation de la clairance des hormones sexuelles et provoquer des métrorragies de privation et/ou un échec de la contraception.
Prise en charge
L'induction enzymatique peut déjà s'observer après quelques jours de traitement. L'induction enzymatique maximale s'observe généralement en quelques semaines. Après l'arrêt du traitement, l'induction enzymatique peut se maintenir pendant environ 4 semaines.
Traitement à court terme
Les femmes recevant un traitement par des médicaments inducteurs des enzymes doivent utiliser temporairement, en plus du COC, une méthode barrière ou une autre forme de contraception. La méthode barrière doit s'utiliser pendant toute la durée du traitement concomitant et pendant les 28 jours suivant son arrêt.
Si l'administration du médicament concomitant persiste au-delà de la fin de la prise des comprimés de la plaquette de COC en cours, la plaquette suivante de COC doit être commencée tout de suite sans respecter la période sans comprimé habituelle.
Traitement à long terme
Chez les femmes recevant un traitement à long terme par des médicaments inducteurs des enzymes hépatiques, il est recommandé d'utiliser une autre méthode contraceptive non hormonale fiable.
Les interactions suivantes ont été rapportées dans la littérature.
Substances qui augmentent la clairance des COC (réduction de l'efficacité des COC suite à l'induction enzymatique), p. ex. :
Barbituriques, bosentan, carbamazépine, phénytoïne, primidone, rifampicine, médicaments pour traiter l'infection à VIH (ritonavir, névirapine et éfavirenz) et éventuellement aussi felbamate, griséofulvine, oxcarbazépine, topiramate et produits contenant le remède à base de plantes millepertuis (Hypericum perforatum).
Substances induisant des effets variables sur la clairance des COC :
En cas d'administration concomitante avec les COC, de nombreuses associations d'inhibiteurs de la protéase du VIH et d'inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse, y compris les associations contenant des inhibiteurs du VHC, peuvent augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques d'oestrogènes ou de progestatifs. L'effet net de ces modifications peut s'avérer cliniquement significatif dans certains cas.
Les informations de prescription des médicaments concomitants utilisés pour le traitement de l'infection à VIH-VHC doivent donc être consultées afin d'identifier les éventuelles interactions et de s'informer des recommandations s'y rapportant. En cas de doute, les femmes recevant un traitement par un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse doivent utiliser une méthode contraceptive barrière supplémentaire.
Substances diminuant la clairance des COC (inhibiteurs enzymatiques) :
Les inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 tels que les antifongiques azolés (e.g. itraconazole, voriconazole, fluconazole) et le vérapamil, les macrolides (e.g. clarithromycine, érythromycine), le diltiazem et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les concentrations plasmatiques de l'estrogène, du progestatif ou des deux.
Diminution de l'absorption : les médicaments accélérant la motilité gastro-intestinale (p. ex., métoclopramide) peuvent diminuer l'absorption hormonale.
Des doses d'étoricoxib de 60 à 120 mg/jour ont montré une augmentation des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol de 1,4 à 1,6 fois respectivement quand la prise se fait de façon concomitante avec un contraceptif hormonal combiné contenant 35 microgrammes d'éthinylestradiol.
Effets de LEELOO sur d'autres médicaments
Les contraceptifs oraux peuvent interférer avec le métabolisme de certains autres médicaments. Une augmentation des concentrations plasmatiques de ciclosporine a été rapportée lors de la prise concomitante de COC. Il a été démontré que les COC induisent le métabolisme de la lamotrigine avec pour conséquence des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques de lamotrigine.
La troléandomycine peut augmenter le risque de cholestase intra-hépatique en cas d'administration concomitante avec les COC.
In vitro, l'éthynylestradiol est un inhibiteur réversible de CYP2C19, CYP1A1 et CYP1A2, ainsi qu'un inhibiteur basé sur le mécanisme des CYP3A4/5, CYP2C8 et CYP2J2. Au cours des études cliniques, l'administration d'un contraceptive hormonal oral contenant de l'éthynylestradiol n'a entrainé aucune augmentation ou une augmentation faible des concentrations plasmatiques des substrats du CYP3A4 (e.g. midazolam) tandis que les concentrations plasmatiques des substrats du CYP1A2 ont pu augmenter faiblement (e.g. théophylline) ou modérément (e.g. mélatonine et tizanidine).
Interactions pharmacodynamiques
Au cours des études cliniques chez des patientes traitées pour une infection par le virus de l'hépatite C (VHC) avec des médicaments contenant de l'ombitasvir/du paritaprévir/du ritonavir et du dasabuvir, avec ou sans ribavirine, une élévation des transaminases (ALAT) de plus de 5 fois la limite supérieure de la normale (LSN) a été observée de manière significativement plus fréquente chez les femmes utilisant des médicaments contenant de l'éthinylestradiol, tels que les contraceptifs hormonaux combinés (CHC). De plus, chez les patientes traitées par glecaprevir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprevir, des élévations des taux d'ALAT ont également été observées chez les femmes utilisant des médicaments contenant de l'éthinylestradiol tels que les CHC (voir rubrique Contre-indications).
C'est pourquoi les utilisatrices de LEELOO doivent adopter un autre mode de contraception (par exemple, un contraceptif contenant uniquement un progestatif ou une méthode non hormonale) avant de commencer un traitement avec ces médicaments. LEELOO peut être repris 2 semaines après l'arrêt de ces médicaments.
Il importe donc de vérifier les interactions potentielles avec LEELOO dans le Résumé des Caractéristiques du Produit des médicaments prescrits de façon concomitante.
· Analyses biologiques
L'utilisation de stéroïdes contraceptifs peut influencer les résultats de certaines analyses biologiques, y compris les explorations fonctionnelles hépatiques, thyroïdiennes, rénales et surrénaliennes, les concentrations plasmatiques des protéines (porteuses) (par exemple, la corticosteroid binding globulin (CBG), les fractions lipides/lipoprotéines, les paramètres du métabolisme glucidique, la coagulation et la fibrinolyse. Ces modifications restent généralement dans les normes du laboratoire.
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THERAMEX
83 avenue Charles de Gaulle
92200
NEUILLY-SUR-SEINE
Code UCD7 : 9315946
Code UCD13 : 3400893159460
Code CIS : 66819566
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : THERAMEX IRELAND LTD
Laboratoire exploitant : THERAMEX
Prix vente TTC : 3.76€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Oui
Base de remboursement : 3.76€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 31/03/2008
Rectificatif AMM : 29/12/2022
Marque : LEELOO
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400938479324
Référence LPPR : Aucune
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