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ABILIFY

Principes actifs : Aripiprazole

Les gammes de produits

Maintena LP

ABILIFY MAINTENA 300 mg, poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée, boîte de 1 flacon de poudre + flacon de solvant (+ set) de 1,50 ml

Poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée

ABILIFY MAINTENA 400 mg, poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée, boîte de 1 flacon de poudre + flacon de solvant (+ set) de 2 ml

Poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée

ABILIFY MAINTENA 400 mg, poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie à 2 compartiments de 400 mg

Poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée

ABILIFY MAINTENA 720 mg, suspension injectable à libération prolongée en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie (+ 2 aiguilles) de 2,40 ml

Suspension injectable à libération prolongée

ABILIFY MAINTENA 960 mg, suspension injectable à libération prolongée en seringue préremplie, boîte de 1 seringue préremplie (+ 2 aiguilles) de 3,20 ml

Suspension injectable à libération prolongée

ABILIFY MAINTENA LP 300 mg pdr+solv pr susp inj LP

Remboursable

Sur prescription seulement

Schizophrénie

Forme :

 Poudre et solvant pour suspension injectable à libération prolongée

Catégories :

 Neurologie-psychiatrie, Neuroleptiques, Autres antipsychotiques, Aripiprazole

Principes actifs :

 Aripiprazole

Posologie pour ABILIFY MAINTENA LP 300 mg pdr+solv pr susp inj LP

Indications

Schizophrénie

Posologie

Adulte de plus de 18 ans . Traitement à dose réduite en cas d'effets indésirables. Schizophrénie. Voie IM (implicite)
300 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 1½ ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . Métaboliseurs lents du CYP2D6. Schizophrénie. Voie IM
300 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 1½ ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement associé à inhibiteur puissant du CYP2D6 ou CYP3A4. Schizophrénie. Voie IM
300 mg 1 fois par mois en IM profonde dans le muscle deltoïde ou fessier. ou 1½ ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM profonde dans le muscle deltoïde ou fessier.

Adulte de plus de 18 ans . Traitement associé à inhibiteur puissant du CYP2D6 et CYP3A4. Schizophrénie. Voie IM
200 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 1 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . Métaboliseurs lents du CYP2D6. Traitement associé à inhibiteur puissant du CYP2D6 ou CYP3A4. Schizophrénie. Voie IM
200 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 1 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . Métaboliseurs lents du CYP2D6. Traitement associé à inhibiteur puissant du CYP2D6 et CYP3A4. Schizophrénie. Voie IM
160 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 0.8 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . traité par un inhibiteur puissant du CYP3A4 ou 2D6. Traitement à dose réduite en cas d'effets indésirables. Schizophrénie. Voie IM
200 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 1 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . traité par un inhibiteur puissant du CYP3A4 et 2D6. Traitement à dose réduite en cas d'effets indésirables. Schizophrénie. Voie IM
160 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde. ou 0.8 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde.

Adulte de plus de 18 ans . Métaboliseurs lents du CYP2D6. Traitement initial en 1 injection. Schizophrénie. Voie IM
300 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde pendant 1 mois. ou 1½ ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde pendant 1 mois.

Adulte de plus de 18 ans . Métaboliseurs lents du CYP2D6. Traitement initial en 2 injections. Schizophrénie. Voie IM
600 mg 1 fois par mois pendant 1 mois. ou 3 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois pendant 1 mois.

Adulte de plus de 18 ans . Métaboliseurs lents du CYP2D6. Traitement initial : associé à inhibiteur puissant du CYP3A4. Schizophrénie. Voie IM
200 mg 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde pendant 1 mois. ou 1 ml de suspension reconstituée 1 fois par mois en IM dans le muscle fessier ou deltoïde pendant 1 mois.

Administration

Voie IM

Recommandations patient

PREVENIR LE MEDECIN IMMEDIATEMENT en cas de :

- Pensées suicidaires ou d'auto-agression.

- Association des symptômes suivants, quels qu'ils soient : somnolence excessive, étourdissements, confusion, désorientation, difficultés à parler, difficultés à marcher, raideur musculaire ou tremblements, fièvre, faiblesse, irritabilité, agressivité, anxiété, augmentation de la pression artérielle ou convulsions pouvant entraîner une perte de conscience.
- Mouvements anormaux, principalement du visage ou de la bouche.
- Gonflement, douleur et rougeur d'une jambe : ils peuvent être le signe d'un caillot sanguin, susceptible de se déplacer dans les vaisseaux sanguins jusqu'aux poumons et de provoquer une douleur thoracique et des difficultés à respirer.
- Association de fièvre, respiration rapide, transpiration, raideur musculaire et somnolence ou endormissement, qui peut être un signe d'une affection appelée syndrome malin des neuroleptiques (SMN).
- Soif inhabituelle, besoin d'uriner plus fréquemment que d'habitude, sensation de faim importante, sensation de faiblesse ou de fatigue, mal au coeur, confusion ou odeur fruitée de l'haleine, qui peuvent être un signe de diabète.
PREVENIR LE MEDECIN en cas de :

- Prise de poids, de mouvements anormaux, de somnolence gênant l'activité quotidienne habituelle, de difficulté pour avaler, de réactions allergiques.

- Troubles du contrôle des impulsions, qui comprennent des comportements tels que dépendance au jeu, prise excessive de nourriture, dépenses excessives, pulsions et obsessions sexuelles anormalement accrues avec une augmentation des pensées et des sensations à caractère sexuel.

EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
EVITER la prise de préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (étourdissements, sédation, somnolence et vision double).

 


 


Contre-indications pour ABILIFY MAINTENA LP 300 mg pdr+solv pr susp inj LP

  • Voie IV
  • Voie SC
  • Allaitement
  • Patient de moins de 18 ans
  • Consommation d'alcool
  • Grossesse

Effets indésirables pour ABILIFY MAINTENA LP 300 mg pdr+solv pr susp inj LP

Niveau d’apparition des effets indésirables

frequency-common

Agitation

Anxiété

Céphalée

Diabète

Fatigue

Insomnie

Prise de poids

Douleur au point d'injection

Dyskinésie

Perte de poids

Somnolence

Sédation

Tremblement

Sensation vertigineuse

Akathisie

Bouche sèche

Induration au point d'injection

Impatience

Raideur musculosquelettique

Trouble extrapyramidal

Créatinine phosphokinase sanguine augmentée

Dysérection

Acné

Alopécie

Anémie

Asthénie

Bradycardie

Constipation

Contracture musculaire

Diarrhée

Dorsalgie

Dyspepsie

Eczéma

Extrasystole ventriculaire

Fièvre

Galactorrhée

Gynécomastie

Hoquet

Hypercholestérolémie

Hyperlipidémie

Hyperprolactinémie

Hypertension

Hypertriglycéridémie

Hypotension orthostatique

Photophobie

Reflux gastro-oesophagien

Rosacée

Tachycardie

Thrombopénie

Toux

Dépression

Idée suicidaire

Myalgie

Diplopie

Idée délirante

Arthralgie

Dysgueusie

Dyskinésie tardive

Hyperglycémie

Prurit au point d'injection

Neutropénie

Soif

Troubles de la marche

Dystonie

Glycosurie

Apathie

Trismus

Crise oculogyre

Hypersalivation

Réaction au site d'injection

Diminution de la libido

Bradykinésie

Vision trouble

Gêne abdominale

Hypersensibilité

Nausée

Vomissement

Hyperinsulinisme

Néphrolithiase

Augmentation de la pression artérielle

Dysphorie

Hypertonie

Gonflement au point d'injection

Trouble du sommeil

Douleur oculaire

Syndrome des jambes sans repos

Anomalie du bilan hépatique

Tension musculaire

Parosmie

Diminution des neutrophiles

Labilité affective

Diminution de la glycémie

Douleur abdominale haute

Gêne thoracique

Diminution des globules blancs

Altération de l'humeur

Rigidité de la nuque

Trouble psychotique

Gêne au site d'injection

Parkinsonisme

Bruxisme

Hyperactivité psychomotrice

Enzymes hépatiques augmentées

Extrémités douloureuses

Diminution de l'amplitude articulaire des mouvements

Hallucination

Trouble de l'appétit

Electrocardiogramme anormal

Bilirubinémie augmentée

Panique

Hypersexualité

Erythème au site de l'injection

Selles fréquentes

Indolence

Induration cutanée

Glycémie augmentée

Diminution d'amplitude de l'onde T à l'électrocardiogramme

Sécheresse vulvovaginale

Gamma GT augmentées

ASAT augmentées

ALAT augmentées

Trouble du mouvement

Tour de taille augmenté

Hémoglobine glycosylée augmentée

Hypersensibilité mammaire

Diminution de la sécrétion de prolactine

Contraction fasciculaire

Rigidité pallidale

Onde T inversée à l'électrocardiogramme

Cholestérolémie diminuée

Triglycérides diminués

Agressivité

Anorexie

Arythmie ventriculaire

Douleur thoracique

Hépatite

Hyperhidrose

Hyponatrémie

Ictère

Incontinence urinaire

Leucopénie

Nervosité

Oedème de Quincke

Pancréatite

Priapisme

Rétention urinaire

Thrombose veineuse profonde

Torsades de pointes

Urticaire allergique

Thrombo-embolie veineuse

Embolie pulmonaire

Dysphagie

Syncope

Tentative de suicide

Laryngospasme

Oedème périphérique

Réaction anaphylactique

Syndrome malin des neuroleptiques

Arrêt cardiaque

Rhabdomyolyse

Syndrome sérotoninergique

Variation de la glycémie

Oedème de la face

Suicide

Réaction allergique

Hypothermie

Difficulté respiratoire

Protrusion de la langue

Prurit cutané

Etat de grand mal

Gonflement de la langue

Hyperphagie

Trouble du langage

Acidocétose diabétique

Défaillance hépatique

Oppression de la gorge

Rash cutané

Réaction de photosensibilité

Trouble de la thermorégulation

Pneumonie de déglutition

Mort subite inexpliquée

Jeu pathologique

Allongement de l'espace QT

Spasme oropharyngé

Coma diabétique hyperosmolaire

Syndrome DRESS

Spasme de la mâchoire

Phosphatases alcalines augmentées

Achats compulsifs

Trouble du contrôle des pulsions

Syndrome de sevrage néonatal

Automatisme ambulatoire


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Résumé du profil de sécurité

Les effets indésirables (EI) les plus fréquemment observés, rapportés chez au moins 5 % des patients dans deux essais à long terme conduits en double aveugle avec Abilify Maintena 400 mg/300 mg, sont la prise de poids (9,0 %), l'akathisie (7,9 %), l'insomnie (5,8 %) et la douleur au point d'injection (5,1 %).

Liste des effets indésirables présentée sous forme de tableau

L'incidence des EI associés au traitement par aripiprazole est présentée ci-dessous sous forme de tableau. Le tableau est basé sur les effets indésirables rapportés pendant les essais cliniques et/ou l'utilisation après commercialisation.

Tous les effets indésirables sont énumérés par classe de système d'organe et fréquence : très fréquents (≥ 1/10), fréquents (≥ 1/100 à < 1/10), peu fréquents (≥ 1/1 000 à < 1/100), rares (≥ 1/10 000 à < 1/1 000), très rares (< 1/10 000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). À l'intérieur de chaque classe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante.

Les EI répertoriés sous « fréquence indéterminée » ont été rapportés après la mise sur le marché.

Description d'effets indésirables sélectionnés

Réactions au site d'injection

Pendant les phases contrôlées, en double aveugle, de deux essais, des réactions au site d'injection ont été observées ; elles étaient généralement d'intensité légère à modérée et ont disparu avec le temps. La douleur au site d'injection (incidence 5,1 %) est survenue dans un délai médian de 2 jours après l'injection et persiste pendant une durée médiane de 4 jours.

Dans une étude menée en ouvert, comparant la biodisponibilité d'Abilify Maintena 400 mg/300 mg administré dans le muscle deltoïde ou fessier, les réactions liées au site d'injection étaient légèrement plus fréquentes dans le muscle deltoïde. La majorité étaient légères et se sont améliorées lors des injections ultérieures. Comparée à celle observée dans des études où Abilify Maintena 400 mg/300 mg était injecté dans le muscle fessier, la survenue répétée de douleurs au site d'injection était plus fréquente dans le muscle deltoïde.

Neutropénie

Des cas de neutropénie ont été rapportés au cours du développement clinique d'Abilify Maintena 400 mg/300 mg ; ils apparaissaient généralement vers le 16e jour après la première injection et persistaient pendant une durée médiane de 18 jours.

Symptômes extrapyramidaux

Dans les essais réalisés chez des patients stables atteints de schizophrénie, Abilify Maintena 400 mg/300 mg a été associé à une fréquence de symptômes extrapyramidaux supérieure (18,4 %) à celle observée avec l'aripiprazole oral (11,7 %). L'akathisie était le symptôme le plus fréquemment observé (8,2 %) ; elle apparaissait généralement vers le 10e jour après la première injection et persistait pendant une durée médiane de 56 jours. Les patients atteints d'akathisie ont généralement reçu un traitement à base d'un anticholinergique, notamment le mésylate de benzatropine et le trihexyphénidyle. Des médicaments tels que le propranolol et les benzodiazépines (clonazépam et diazépam) ont également été administrés pour contrôler l'akathisie, mais à une fréquence moindre. En termes de fréquence, le parkinsonisme arrivait en seconde position (respectivement 6,9 % pour Abilify Maintena 400 mg/300 mg, 4,15 % pour les comprimés d'aripiprazole [10 mg à 30 mg] et 3,0 % pour le placebo).

Dystonie

Effet de classe : des symptômes de dystonie, contractions anormales prolongées d'un groupe musculaire, peuvent survenir pendant les premiers jours de traitement chez les patients qui y sont prédisposés. Les symptômes dystoniques incluent un spasme des muscles du cou qui peut progresser vers une oppression de la gorge, des difficultés de déglutition, des difficultés respiratoires et/ou une protrusion de la langue. Bien que ces symptômes puissent survenir à faibles doses, ils apparaissent plus fréquemment et avec une plus grande sévérité avec les antipsychotiques de première génération, puissants et fortement dosés. Un risque élevé de dystonie aiguë est observé chez les hommes et les patients jeunes.

Poids

Pendant la phase en double aveugle contrôlée versus produit actif (aripiprazole comprimé 10 mg à

30 mg) de l'essai à long terme de 38 semaines (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques), l'incidence d'une prise de poids ≥ 7 % entre l'inclusion et la dernière visite a été de 9,5 % pour Abilify Maintena 400 mg/300 mg et de

11,7 % pour les comprimés d'aripiprazole oral (10 mg à 30 mg). L'incidence d'une perte de poids ≥ 7 % entre l'inclusion et la dernière visite a été de 10,2 % pour Abilify Maintena 400 mg/300 mg et de 4,5 % pour les comprimés d'aripiprazole oral (10 mg à 30 mg). Pendant la phase en double aveugle contrôlée versus placebo de l'essai à long terme de 52 semaines (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques), l'incidence d'une prise de poids ≥ 7 % entre l'inclusion et la dernière visite a été de 6,4 % pour Abilify Maintena 400 mg/300 mg et de 5,2 % pour le placebo. L'incidence d'une perte de poids ≥ 7 % entre l'inclusion et la dernière visite a été de 6,4 % pour Abilify Maintena 400 mg/300 mg et de 6,7 % pour le placebo. Pendant le traitement en double aveugle, la variation du poids corporel entre l'inclusion et la dernière visite a été de −0,2 kg pour Abilify Maintena 400 mg/300 mg et de −0,4 kg pour le placebo (p = 0,812).

Prolactine

Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation, une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique ont été toutes deux observées par rapport à la valeur à l'inclusion après traitement avec l'aripiprazole (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).

Pathologie du jeu et autres troubles du contrôle des impulsions

La pathologie du jeu, l'hypersexualité, les achats compulsifs, l'hyperphagie boulimique et la compulsion alimentaire peuvent se manifester chez les patients traités par l'aripiprazole (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.

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Grossesse et allaitement pour le ABILIFY MAINTENA LP 300 mg pdr+solv pr susp inj LP

Femmes en âge de procréer

Après une dose unique d'Abilify Maintena, il est attendu que l'exposition plasmatique soit maintenue pendant une durée allant jusqu'à 34 semaines (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Il convient de prendre cela en considération lors de l'initiation du traitement chez les femmes en âge de procréer, considérant une éventuelle future grossesse ou allaitement. Abilify Maintena ne doit être utilisé chez les femmes qui prévoient une grossesse qu'en cas de réelle nécessité.

Grossesse

Aucune étude contrôlée spécifique n'a été réalisée avec l'aripiprazole chez la femme enceinte. Des anomalies congénitales ont été rapportées ; cependant, une relation de causalité avec l'aripiprazole n'a pas pu être établie. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas pu exclure une toxicité potentielle sur le développement (voir rubrique Données de sécurité préclinique). Les patientes doivent être averties de la nécessité d'informer leur médecin de toute grossesse ou désir de grossesse au cours du traitement par aripiprazole.

Les prescripteurs doivent être conscients de la longue durée d'action d'Abilify Maintena. L'aripiprazole a été détecté dans le plasma de patients adultes jusqu'à 34 semaines après l'administration d'une dose unique de la suspension à libération prolongée.

Les nouveau-nés exposés aux antipsychotiques (dont l'aripiprazole) pendant le troisième trimestre de la grossesse présentent un risque d'effets indésirables, incluant des symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage, susceptibles de varier en termes de sévérité et de durée après l'accouchement. Les effets suivants ont été rapportés : agitation, hypertonie, hypotonie, tremblements, somnolence, détresse respiratoire, troubles de l'alimentation. En conséquence, les nouveau-nés doivent être surveillés étroitement (voir rubrique Effets indésirables).

L'exposition maternelle à Abilify Maintena avant et pendant la grossesse peut entraîner des effets indésirables chez le nouveau-né. Abilify Maintena ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf si cela est absolument nécessaire.

Allaitement

L'aripiprazole et ses métabolites étant excrétés dansle lait maternel, des effets chez les nouveaunés/nourrissons sont probables si Abilify Maintena est administré à des femmes qui allaitent. Étant donné qu'il est attendu qu'une dose unique d'Abilify Maintena reste dans le plasma pendant une durée allant jusqu'à 34 semaines (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques), les nourrissons allaités peuvent être à risque même lorsqu'Abilify Maintena est administré longtemps avant l'allaitement. Les patientes actuellement sous traitement ou qui ont été traitées au cours des 34 dernières semaines par Abilify Maintena ne doivent pas allaiter.

Fertilité

L'aripiprazole n'a pas altéré la fertilité dans les études de toxicité de la reproduction.


Mise en garde pour ABILIFY MAINTENA LP 300 mg pdr+solv pr susp inj LP

Mise en garde

Lors d'un traitement antipsychotique, l'amélioration de l'état clinique du patient peut nécessiter plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant toute cette période.

Utilisation chez les patients dans un état d'agitation aiguë ou dans un état psychotique grave

Abilify Maintena 400 mg/300 mg ne doit pas être utilisé dans la prise en charge des états psychotiques graves ou d'agitation aiguë lorsqu'un contrôle immédiat des symptômes est recherché.

Suicidalité

La survenue d'un comportement suicidaire est inhérente aux psychoses et dans certains cas, elle a été rapportée rapidement après l'instauration ou le changement du traitement antipsychotique, y compris avec l'aripiprazole (voir rubrique Effets indésirables). Une surveillance étroite des patients à haut risque doit accompagner le traitement antipsychotique.

Troubles cardiovasculaires

L'aripiprazole doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire connue (antécédent d'infarctus du myocarde ou de cardiopathie ischémique, insuffisance cardiaque ou troubles de la conduction), d'une maladie vasculaire cérébrale, de tout état pouvant favoriser une hypotension (déshydratation, hypovolémie et traitement par des médicaments antihypertenseurs) ou une hypertension artérielle, notamment accélérée ou maligne. Des cas d'évènements thromboemboliques vasculaires (ETEV) ont été rapportés avec les antipsychotiques. Comme les patients traités par antipsychotiques présentent souvent des facteurs de risque d'ETEV acquis, tous les facteurs de risque possibles d'ETEV doivent être identifiés avant et pendant le traitement par l'aripiprazole et des mesures préventives doivent être prises (voir rubrique Effets indésirables).

Allongement de l'intervalle QT

Dans les études cliniques avec l'aripiprazole oral, l'incidence de l'allongement du QT était comparable à celle observée sous placebo. L'aripiprazole doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant des antécédents familiaux d'allongement du QT (voir rubrique Effets indésirables).

Dyskinésie tardive

Dans les études cliniques de durée inférieure ou égale à un an, des cas peu fréquents de survenue de dyskinésies ont été rapportés au cours du traitement par l'aripiprazole. En cas d'apparition de signes et de symptômes de dyskinésie tardive chez un patient traité par l'aripiprazole, la réduction de la dose, voire l'arrêt du traitement, doit être envisagée (voir rubrique Effets indésirables). Ces symptômes peuvent s'aggraver provisoirement ou même survenir après l'arrêt du traitement.

Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)

Le SMN est un syndrome potentiellement mortel associé aux traitements antipsychotiques. Dans les études cliniques, de rares cas de SMN ont été rapportés au cours du traitement par l'aripiprazole. Les signes cliniques du SMN sont l'hyperthermie, la rigidité musculaire, l'altération des facultés mentales et des signes d'instabilité neurovégétative (instabilité du pouls ou de la pression artérielle, tachycardie, hypersudation et troubles du rythme cardiaque). Peuvent s'ajouter des signes comme une augmentation des taux sériques de créatine phosphokinase (CPK), une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale aiguë. Cependant, des cas d'élévation des créatines phosphokinases et de rhabdomyolyse n'étant pas nécessairement liées au SMN ont également été rapportés. Lorsqu'un patient présente des signes et symptômes évoquant un SMN, ou une hyperthermie inexpliquée non accompagnée d'autres signes de SMN, tous les antipsychotiques, y compris l'aripiprazole, doivent être arrêtés (voir rubrique Effets indésirables).

Convulsions

Dans les études cliniques, des cas peu fréquents de convulsions ont été rapportés au cours du traitement par l'aripiprazole. Par conséquent, l'aripiprazole doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou présentant une affection associée à des convulsions (voir rubrique Effets indésirables).

Patients âgés présentant un état psychotique associé à une démence

Augmentation de la mortalité

Dans trois essais contrôlés avec aripiprazole oral versus placebo chez des patients âgés présentant une psychose associée à la maladie d'Alzheimer (n = 938 ; âge moyen : 82,4 ans ; intervalle : 56 à 99 ans) le risque de décès a été plus élevé chez les patients traités par l'aripiprazole que chez ceux recevant le placebo. Le taux de mortalité dans le groupe des patients traités par aripiprazole était de 3,5 %, contre 1,7 % dans le groupe placebo. Bien que les causes de décès aient été variées, la plupart de ces décès semblaient soit d'origine cardiovasculaire (par exemple, insuffisance cardiaque, mort subite) soit d'origine infectieuse (par exemple, pneumonie) (voir rubrique Effets indésirables).

Effets indésirables cérébrovasculaires

Dans les mêmes études sur l'aripiprazole oral, des effets indésirables vasculaires cérébraux (par exemple, accident vasculaire cérébral, accident ischémique transitoire), dont certains d'évolution fatale, ont été rapportés chez ces patients (âge moyen : 84 ans ; intervalle : 78 à 88 ans). Dans l'ensemble, des effets indésirables vasculaires cérébraux ont été rapportés dans ces essais pour 1,3 % des patients traités par aripiprazole oral et pour 0,6 % des patients traités par placebo. Cette différence n'était pas statistiquement significative. Néanmoins, dans un des essais, une étude à dose fixe, une relation dose-dépendante significative a été observée entre la survenue des effets indésirables vasculaires cérébraux et le traitement par aripiprazole (voir rubrique Effets indésirables).

L'aripiprazole n'est pas indiqué dans le traitement des patients présentant des états psychotiques associés à une démence.

Hyperglycémie et diabète

Une hyperglycémie, dans certains cas sévère et associée à une acidocétose, un coma hyperosmolaire ou un décès, a été rapportée chez les patients traités avec l'aripiprazole. L'obésité et les antécédents familiaux de diabète sont des facteurs de risque pouvant favoriser les complications sévères. Les signes et symptômes d'hyperglycémie (tels que polydipsie, polyurie, polyphagie et asthénie) doivent être recherchés chez les patients traités avec l'aripiprazole. Une surveillance régulière est recommandée afin de détecter toute anomalie de la glycémie chez les patients diabétiques ou ayant des facteurs de risque pouvant favoriser le développement d'un diabète (voir rubrique Effets indésirables).

Hypersensibilité

Des réactions d'hypersensibilité caractérisées par des symptômes allergiques peuvent survenir chez les patients traités par aripiprazole (voir rubrique Effets indésirables).

Prise de poids

Une prise de poids pouvant conduire à des complications graves est souvent observée chez les patients schizophrènes en raison de l'utilisation d'antipsychotiques connus pour entraîner une prise de poids, des comorbidités et une mauvaise hygiène de vie. Une prise de poids a été rapportée chez les patients traités par l'aripiprazole oral après sa commercialisation. Lorsqu'une prise de poids a été observée, il s'agissait généralement de patients qui présentaient des facteurs de risque significatifs tels qu'un antécédent de diabète, un trouble thyroïdien ou un adénome hypophysaire. Dans les études cliniques, l'aripiprazole n'a pas entraîné de prise de poids cliniquement significative (voir rubrique Effets indésirables).

Dysphagie

Des troubles de la motilité œsophagienne et des inhalations du contenu gastrique ont été associés à l'utilisation d'aripiprazole. L'aripiprazole doit être utilisé avec prudence chez les patients à risque de pneumopathie d'inhalation.

Pathologie du jeu et autres troubles du contrôle des impulsions

Les patients peuvent éprouver des impulsions accrues, en particulier pour le jeu, et l'incapacité de contrôler ces impulsions tout en prenant de l'aripiprazole. Les autres impulsions signalées comprennent des pulsions sexuelles accrues, des achats compulsifs, une hyperphagie boulimique ou une alimentation compulsive et d'autres comportements impulsifs et compulsifs. Il est important pour les prescripteurs d'interroger spécifiquement les patients ou leurs soignants sur le développement de nouvelles impulsions, ou leur augmentation, pour le jeu, des pulsions sexuelles, des achats compulsifs, de l'alimentation excessive ou compulsive ou d'autres impulsions lorsqu'ils sont sous traitement avec de l'aripiprazole. Il convient de noter que les symptômes du trouble du contrôle des impulsions peuvent être associés au trouble sous-jacent ; cependant, dans certains cas, des impulsions ont disparu lorsque la dose a été réduite ou que le médicament a été interrompu. Les troubles du contrôle des impulsions peuvent nuire au patient et à d'autres personnes s'ils ne sont pas reconnus. Une réduction de la dose, voire l'arrêt du médicament, doit être pris en considération si un patient développe de telles impulsions (voir rubrique Effets indésirables).

Chutes

L'aripiprazole peut provoquer somnolence, hypotension orthostatique, instabilité motrice et sensorielle, ce qui peut entraîner des chutes. Des précautions doivent être prises lors du traitement de patients à haut risque, et une dose initiale plus faible doit être envisagée (par exemple, patients âgés ou affaiblis physiquement et/ou psychologiquement, voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Sodium

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».

Précautions d'emploi

Surveillance neuropsychiatrique

Comportement suicidaire

Antécédent d'infarctus du myocarde

Antécédent de maladie cardiaque ischémique

Insuffisance cardiaque

Trouble de la conduction

Maladie cérébrovasculaire

Déshydratation

Hypovolémie

Hypertension artérielle

Risque thromboembolique

Antécédent familial de QT long

Dyskinésie tardive aux neuroleptiques

Syndrome malin des neuroleptiques

Hyperthermie inexpliquée

Antécédent de convulsion

Prédisposition aux convulsions

Patient âgé dément

Obésité

Diabète

Facteurs de risque de diabète

Trouble thyroïdien

Adénome hypophysaire

Risque de pneumonie de déglutition

Trouble du contrôle des pulsions

Sujet âgé de plus de 65 ans

Patient débilité

Risque de chute

Patient métaboliseur lent CYP2D6

Insuffisance hépatique sévère

Femme souhaitant concevoir

Aptitude à conduire

L'aripiprazole a une influence mineure à modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines en raison de ses effets potentiels sur le système nerveux et sur la vue, tels que sédation, somnolence, syncope, vision trouble, diplopie (voir rubrique Effets indésirables).

Interaction avec d'autre médicaments

Aucune étude d'interaction n'a été réalisée avec Abilify Maintena. Les données ci-dessous sont issues d'études sur l'aripiprazole oral.

Du fait de son activité antagoniste des récepteurs α1-adrénergiques, l'aripiprazole peut augmenter l'effet de certains antihypertenseurs.

Compte tenu des principaux effets de l'aripiprazole sur le système nerveux central, la prudence est recommandée lors de l'association avec l'alcool ou d'autres médicaments à action centrale ayant des effets indésirables qui s'ajoutent à ceux de l'aripiprazole, tels que la sédation (voir rubrique Effets indésirables).

La prudence s'impose en cas d'administration concomitante d'aripiprazole et de médicaments connus pour entraîner un allongement du QT ou un déséquilibre électrolytique.

Effets potentiels d'autres médicaments sur l'aripiprazole

Quinidine et autres inhibiteurs puissants du CYP2D6

Dans une étude clinique chez des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP2D6 (la quinidine) a augmenté l'ASC de l'aripiprazole pris par voie orale de 107 %, alors que la Cmax était inchangée. L'ASC et la Cmax du métabolite actif, le déhydro-aripiprazole, ont été diminuées respectivement de 32 % et 47 %. D'autres inhibiteurs puissants du CYP2D6, tels que la fluoxétine et la paroxétine, sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s'appliquent (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

Kétoconazole et autres inhibiteurs puissants du CYP3A4

Dans une étude clinique chez des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP3A4 (le kétoconazole) a augmenté l'ASC et la Cmax de l'aripiprazole par voie orale respectivement de 63 % et 37 %. L'ASC et la Cmax du déhydro-aripiprazole ont été augmentées respectivement de 77 % et 43 %.

Chez les métaboliseurs lents du CYP2D6, l'utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 peut conduire à des concentrations plasmatiques plus élevées d'aripiprazole, comparativement aux métaboliseurs rapides du CYP2D6 (voir rubrique Posologie et mode d'administration). L'administration concomitante de kétoconazole ou d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 et d'aripiprazole ne doit être envisagée que si les bénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus. D'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4, tels que l'itraconazole et les antiprotéases, sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose sont recommandées (voir rubrique Posologie et mode d'administration). À l'arrêt du traitement par l'inhibiteur du CYP2D6 ou du CYP3A4, la dose d'aripiprazole doit être réaugmentée à la posologie utilisée avant l'initiation du traitement concomitant. Lors de l'utilisation concomitante d'inhibiteurs faibles du CYP3A4 (par exemple le diltiazem) ou du CYP2D6 (par exemple l'escitalopram) et d'aripiprazole, des augmentations modérées des concentrations de l'aripiprazole peuvent être attendues.

Carbamazépine et autres inducteurs du CYP3A4

Après l'administration concomitante de carbamazépine, un inducteur puissant du CYP3A4, et d'aripiprazole oral à des patients atteints de schizophrénie ou de troubles psychotiques, les moyennes géométriques de la Cmax et de l'ASC de l'aripiprazole ont respectivement diminué de68 % et de 73 %, comparativement à l'aripiprazole oral (30 mg) administré seul. De la même façon, les moyennes géométriques de la Cmax et de l'ASC du déhydro-aripiprazole ont respectivement diminué de 69 % et de 71 % après l'administration concomitante d'aripiprazole et de carbamazépine, comparativement à l'aripiprazole oral administré seul. Des effets similaires peuvent être attendus de l'administration concomitante d'Abilify Maintena 400 mg/300 mg et d'autres inducteurs du CYP3A4 (tels que rifampicine, rifabutine, phénytoïne, phénobarbital, primidone, éfavirenz, névirapine et millepertuis). L'utilisation concomitante d'inducteurs du CYP3A4 et d'Abilify Maintena 400 mg/300 mg doit donc être évitée car elle entraînerait une diminution de la concentration sanguine d'aripiprazole, qui pourrait alors être inférieure à la concentration efficace.

Syndrome sérotoninergique

Des cas de syndrome sérotoninergique ont été rapportés chez les patients traités par aripiprazole ; des signes et symptômes potentiels de ce syndrome peuvent survenir, notamment en cas d'utilisation concomitante d'autres médicaments sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), ou de médicaments connus pour augmenter les concentrations d'aripiprazole (voir rubrique Effets indésirables).


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Excipients

Poudre : Carmellose sodique, Mannitol, Sodium dihydrogénophosphate, Sodium hydroxyde, Solvant : Eau pour préparations injectables

Exploitant / Distributeur

OTSUKA PHARMACEUTICAL FRANCE

Immeuble Atria 1-15 avenue Edouard Belin

92500

RUEIL MALMAISON

Code UCD7 : 9402088

Code UCD13 : 3400894020882

Code CIS : 68729480

T2A médicament : Non

Laboratoire exploitant : OTSUKA PHARMACEUTICAL FRANCE

Prix vente TTC : 184.69€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 184.69€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 15/11/2013

Rectificatif AMM : 21/06/2024

Marque : ABILIFY

Gamme : Maintena LP

Code GTIN13 : 3400927721847

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

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