AMIKACINE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Poudre pour solution injectable
Catégories :
Infectiologie - Parasitologie, Aminosides, Amikacine
Principes actifs :
Amikacine
Infection urinaire, Infection endocardique, Infection méningée, Infection ostéo-articulaire, Listériose, Infection de la peau et des tissus mous, Bactériémie
Tout âge . Traitement en dose unique journalière. Voie IV en perfusion (éventuellement IM) (implicite)
30 mg par kilo par jour en perfusion IV de 30 minutes ou par voie IM pendant 5 jours. Maximum 30 mg par kilo par jour.
ou 0.06 flacon par kilo par jour en perfusion IV de 30 minutes ou par voie IM pendant 5 jours. Maximum 0.06 flacon par kilo par jour.
Tout âge . Traitement en dose unique journalière. Mucoviscidose. Voie IV en perfusion (éventuellement IM)
35 mg par kilo en perfusion IV de 30 minutes ou par voie IM pendant 5 jours. Maximum 35 mg par kilo par jour.
ou 0.07 flacon par kilo en perfusion IV de 30 minutes ou par voie IM pendant 5 jours. Maximum 0.07 flacon par kilo par jour.
Tout âge . Infection endocardique. Voie IV en perfusion (éventuellement IM)
10 mg par kilo 3 fois par jour en perfusion IV de 30 minutes ou par voie IM pendant 5 jours. Maximum 30 mg par kilo par jour.
ou 0.02 flacon par kilo 3 fois par jour en perfusion IV de 30 minutes ou par voie IM pendant 5 jours. Maximum 0.06 flacon par kilo par jour.
Voie IM
Voie IV
PRUDENCE en cas de conduite de véhicule ou d'utilisation de machines (troubles de l'équilibre).
Albuminurie
Anémie
Céphalée
Hématurie
Hypo-acousie
Hypotension
Leucopénie
Migraine
Oligurie
Urticaire
Hypomagnésémie
Thrombocytopénie
Arthralgie
Hyperéosinophilie
Paresthésie
Tremblement
Cécité
Trouble de l'équilibre
Exanthème
Hyperazotémie
Myoclonie
Pyrexie
Granulocytopénie
Occlusion de l'artère rétinienne
Prurit cutané
Leucocyturie
Augmentation de la phosphatase alcaline
Acouphène
Détérioration de la fonction respiratoire
Augmentation de la créatinine sanguine
Alanine aminotransférase augmentée
Aspartate aminotransférase augmentée
Fièvre d'origine médicamenteuse
Insuffisance rénale aiguë
Paralysie respiratoire
Blocage neuromusculaire
Choc anaphylactique
Insuffisance rénale sévère
Paralysie
Bronchospasme
Toxicité rénale
Ototoxicité
Réaction d'hypersensibilité
Surdité
Anaphylaxie
Apnée
Réaction anaphylactoïde
Néphropathie toxique
Augmentation dans les urines des cellules épithéliales
Surdité neurosensorielle
Les effets indésirables considérés comme les plus probablement liés au traitement sont listés ci-dessous par organe et par fréquence. Les fréquences sont définies par :
Très fréquent (³ 1/10) ;
Fréquent (³ 1/100 à < 1/10) ;
Peu fréquent (³ 1/ 1 000 à < 1/100) ;
Rare (³ 1/ 10 000 à < 1/ 1 000) ;
Très rare (< 1/10 000) ;
Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Informations complémentaires sur certains effets indésirables
(a) Voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
(1) Ces effets ont été constatés particulièrement en cas de dépassement de la posologie recommandée, lors de traitements de plus de 10 jours ou lorsque la dose n'a pas été réduite de manière appropriée chez les patients insuffisants rénaux. Les premiers symptômes de troubles vestibulaires sont des étourdissements, des nausées et des vomissements. L'examen clinique révèle souvent un nystagmus. Les troubles vestibulaires sont presque toujours réversibles. Les premiers symptômes d'un dysfonctionnement cochléaire incluent souvent une baisse de la perception des hautes fréquences (= 4.000 Hertz), qui précède la perte de l'audition et que seule une audiométrie permet de détecter.
(2) L'atteinte des tubules rénaux avec insuffisance rénale est également un effet indésirable peu fréquent. Le mécanisme de l'atteinte rénale implique une accumulation dans les lysosomes, une inhibition des phospholipases et une nécrose des cellules tubulaires après une administration répétée d'amikacine. L'atteinte rénale est réversible à des degrés divers mais exacerbe le risque d'un processus d'accumulation qui peut provoquer ou renforcer des effets ototoxiques. Une élévation de la concentration de créatinine dans le sérum, la présence d'albumine, de globules rouges et blancs ou de cylindres dans l'urine, une urémie et une oligurie sont possibles.
(3) Réactions d'hypersensibilité telles qu'un exanthème, des démangeaisons, une urticaire et une fièvre médicamenteuse.
(4) Dans de rares cas, si la perfusion intraveineuse du médicament est trop rapide, la fonction respiratoire peut subir une dépression sévère. Dans des cas isolés, il peut en résulter une paralysie respiratoire. Le risque existe également lorsque l'amikacine est administrée en association avec un anesthésique (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
(5) Ces effets secondaires peuvent aussi apparaitre en raison de la présence de sulfite (risque de réactions allergiques, y compris réactions anaphylactiques et bronchospasmes).
Tous les aminoglycosides ont la capacité d'induire une ototoxicité, une toxicité rénale et un blocage neuromusculaire. Ces toxicités sont plus fréquentes chez les patients insuffisants rénaux, chez les patients traités avec d'autres médicaments ototoxiques ou néphrotoxiques et chez les patients traités pendant une longue durée et/ou avec des doses supérieures à celles recommandées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Les anomalies de la fonction rénale sont habituellement réversibles à l'arrêt du médicament.
Les effets toxiques sur la huitième paire crânienne peuvent entraîner une hypoacousie, une perte d'équilibre ou les deux. L'amikacine affecte essentiellement la fonction auditive. Les lésions cochléaires sont à type de surdité pour les hautes fréquentes et s'installent généralement avant que la perte clinique de l'ouïe puisse être détectée par les examens audiométriques (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
Voir plus
Grossesse
Les indications doivent être limitées aux tableaux cliniques sévères en l'absence d'alternative. Dans le cas d'une exposition en cours de grossesse, il est souhaitable d'évaluer la fonction auditive du nouveau-né (oto-émissions).
Allaitement
Le passage de l'amikacine dans le lait maternel n'est pas documenté. En conséquence, l'allaitement est déconseillé.
Fertilité
Dans les études de toxicité sur la reproduction chez les souris et les rats, aucun effet sur la fertilité ou la toxicité foetale n'a été signalé.
L'utilisation des aminosides doit s'inscrire dans un cadre strict de prescription (indications limitées aux infections sévères ou dues à des bactéries résistantes, schémas d'administration à respecter) et s'accompagner d'une surveillance adaptée. La prescription d'amikacine doit répondre à cet objectif.
Dose unique journalière
Les données sur la dose unique journalière (DUJ) montrent que cette modalité de prescription :
· optimise les paramètres de pharmacocinétique-pharmacodynamie (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques),
· favorise la diffusion tissulaire,
· a une efficacité clinique au moins identique à celle obtenue après une administration répartie en plusieurs injections quotidiennes,
· est responsable de toxicités rénale et auditive comparables voire inférieures à celles observées avec d'autres modalités d'administration,
· diminue le risque d'émergence de mutants résistants.
Insuffisance rénale
En présence d'insuffisance rénale pré-existante aiguë ou chronique, l'aminoside n'est utilisé que s'il est absolument nécessaire. Toutes les alternatives non néphrotoxiques possibles doivent être recherchées.
Chez les patients ayant une insuffisance rénale, des adaptations posologiques sont requises (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Atteintes rénales et cochléo-vestibulaires
Les risques de survenue de toxicités rénale et auditive augmentent pour les durées de traitement supérieures à 5-7 jours, même chez le sujet sain ; ils sont majorés chez l'insuffisant rénal. Néanmoins, une toxicité précoce peut apparaitre dès les premières doses.
La toxicité rénale est indépendante de la concentration plasmatique obtenue au pic (Cmax).
Concernant les toxicités auditive et vestibulaire, aucune donnée ne montre l'existence d'une corrélation avec le niveau de concentration plasmatique obtenue au pic, même si le traitement est administré en dose unique journalière.
Les facteurs de risque principaux de néphrotoxicité (et d'ototoxicité pour certains) sont :
· situations cliniques les plus fréquentes favorisant une hypoperfusion rénale et s'accompagnant d'une moindre élimination des aminosides
o âge > 75 ans (altération physiologique de la fonction rénale dès 60 ans),
o déshydratation, souvent liée à l'âge,
o association à certains médicaments, surtout les diurétiques de l'anse (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions),
o insuffisance ventriculaire gauche, hypovolémie, état de choc,
o hypoalbuminémie,
o cirrhose de grades B et C selon la classification de Child-Pugh (voir rubrique Contre-indications),
· situations cliniques majorant le risque d'atteinte rénale
o néphropathie préexistante ou concomitante,
o association avec certains médicaments (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Chez les patients en insuffisance rénale terminale, sous hémodialyse intermittente ou en dialyse péritonéale chronique, la toxicité est essentiellement auditive, le rein n'étant plus fonctionnel.
Il existe un risque accru d'ototoxicité chez les patients présentant des mutations de l'ADN mitochondrial [en particulier la substitution de A par G dans le nucléotide 1555 du gène ARNr 12S], même si les taux sériques d'aminosides se situent dans la fourchette recommandée pendant le traitement. D'autres approches thérapeutiques doivent être envisagées chez ces patients.
En cas d'antécédents familiaux de mutations pertinentes ou de surdité induite par les aminosides, des traitements alternatifs ou des tests génétiques préalables à l'administration doivent être envisagés.
Particularités pédiatriques
D'après les données disponibles, les toxicités rénale et auditive demeurent rares chez les nouveau-nés et les enfants.
Troubles neuromusculaires
Etant donné que les aminosides ont des propriétés de blocage neuromusculaire, une attention particulière doit être portée chez les patients ayant une maladie neuromusculaire préexistante (par exemple maladie de Parkinson). Il est impératif d'instaurer un suivi étroit chez de tels patients (voir rubrique Effets indésirables).
Des blocages neuromusculaires et des paralysies respiratoires ont été rapportés à la suite de l'administration d'aminosides chez des patients ayant reçu des curares lors d'une anesthésie. Ces patients doivent aussi faire l'objet d'un suivi très étroit (voir rubrique Effets indésirables).
Associations médicamenteuses
La prise de ce médicament doit être évitée en cas de traitement avec la polymyxine B ou la toxine botulique (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Allaitement
L'allaitement est déconseillé (voir rubrique Fertilité, grossesse et allaitement).
Sulfites
Ce médicament contient des traces de « sulfite » et peut, dans de rares cas, provoquer des réactions d'hypersensibilité sévères et des bronchospasmes.
Excipients à effet notoire
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose administrée, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Insuffisance rénale
Sujet âgé de plus de 75 ans
Déshydratation
Insuffisance ventriculaire gauche
Hypovolémie
Etat de choc
Hypo-albuminémie
Néphrotoxicité
Ototoxicité
Maladie neuromusculaire
Blocage neuromusculaire
Paralysie respiratoire
Maladie de Parkinson
Grossesse
Obèse
Nouveau-né
Aucune étude des effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a été réalisée.
Comme ce traitement est susceptible d'entraîner des troubles de l'équilibre, il convient d'avertir de ce risque potentiel les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines.
Médicaments néphrotoxiques
L'utilisation conjointe de médicaments ayant une toxicité rénale propre augmente le risque de néphrotoxicité. Si une telle association est nécessaire, il faut renforcer la surveillance biologique rénale.
Les médicaments concernés sont représentés notamment par les produits de contraste iodés, les aminosides, les organoplatines, le méthotrexate à fortes doses, certains antiviraux (tels les « ciclovirs », le foscarnet), la pentamidine, la ciclosporine ou le tacrolimus.
Médicaments ototoxiques
L'utilisation conjointe de médicaments ayant une ototoxicité propre augmente le risque d'atteinte cochléo-vestibulaire. Si une telle association est nécessaire, il faut renforcer la surveillance de la fonction auditive.
Les médicaments concernés sont représentés notamment par les antibiotiques de la famille des glycopeptides, telles que vancomycine et teicoplanine, les aminosides, les cytotoxiques tels que les organoplatines, et les diurétiques de l'anse.
Associations contre-indiquées
+ Autres aminosides en administration simultanée
Risque accru de néphrotoxicité et d'ototoxicité.
+ Ataluren
Risque de potentialisation de la toxicité rénale de l'aminoside.
Associations déconseillées
+ Polymyxine B
Addition des effets néphrotoxiques. Si l'association ne peut être évitée, surveillance stricte avec une justification bactériologique indiscutable.
+ Toxine botulique
Risque d'augmentation des effets de la toxine botulique avec les aminosides (par extrapolation à partir des effets observés au cours du botulisme). Utiliser un autre antibiotique.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Céfalotine
L'augmentation de la néphrotoxicité des aminosides par la céfalotine est discutée.
Surveillance de la fonction rénale.
+ Curares
Potentialisation des curares lorsque l'antibiotique est administré par voie parentérale et/ou péritonéale avant, pendant ou après l'agent curarisant.
Surveiller le degré de curarisation en fin d'anesthésie.
+ Diurétiques de l'anse
Augmentation des risques néphrotoxiques et ototoxiques de l'aminoside (insuffisance rénale fonctionnelle liée à la déshydratation entraînée par le diurétique).
Association possible sous contrôle de l'état d'hydratation, des fonctions rénales et cochléo-vestibulaire, des concentrations plasmatiques de l'aminoside.
Associations à prendre en compte
+ Autres aminosides en administration successive
Prendre en compte le risque d'ototoxicité cumulative.
+ Amphotéricine B administrée par voie IV
Risque accru de néphrotoxicité.
+ Ciclosporine
Augmentation de la créatininémie plus importante que sous ciclosporine seule, avec majoration du risque néphrotoxique.
+ Organoplatines
Addition des effets néphrotoxiques et/ou ototoxiques, notamment en cas d'insuffisance rénale préalable.
+ Tacrolimus
Augmentation de la créatininémie plus importante que sous tacrolimus seul (synergie des effets néphrotoxiques des deux substances).
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des antivitamines K ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Conservation des médicaments en cas de vague de chaleur
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VIATRIS SANTE
Code UCD7 : 9284186
Code UCD13 : 3400892841861
Code CIS : 68502148
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : VIATRIS SANTE
Laboratoire exploitant : VIATRIS SANTE
Prix vente TTC : 70.66€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 70.66€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 20/05/1996
Rectificatif AMM : 27/05/2024
Marque : AMIKACINE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930033302
Référence LPPR : Aucune
AMIKACINE AGUETTANT 500 mg, poudre pour solution injectable, boîte de 20 flacons de poudre de 500 mg (détails indisponibles)
AMIKACINE WINTHROP 500 mg, lyophilisat pour usage parentéral, boîte de 1 flacon de 500 mg (détails indisponibles)
AMIKACINE VIATRIS 500 mg, poudre pour solution injectable, boîte de 20 flacons de poudre de 500 mg (détails indisponibles)
AMIKACINE WINTHROP 500 mg, lyophilisat pour usage parentéral, boîte de 1 flacon de 500 mg (détails indisponibles)
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