BIRODOGYL
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé pelliculé
Catégories :
Infectiologie - Parasitologie, Associations d'antibactériens, Spiramycine + Métronidazole
Principes actifs :
Spiramycine, Métronidazole
Infection odontostomatologique
Adulte . Traitement curatif. Infection odontostomatologique (implicite)
1 comprimé 3 fois par jour au cours des repas avec un verre d'eau. Maximum 4 comprimés par jour.
Voie orale
Diarrhée
Douleur abdominale
Gastralgie
Eruption cutanée
Dysgueusie
Colite pseudomembraneuse
Nausée
Vomissement
Anomalie des tests hépatiques
Anémie hémolytique
Anorexie
Arythmie ventriculaire
Céphalée
Choc anaphylactique
Convulsions
Glossite
Insuffisance hépatocellulaire
Leucopénie
Mycose de la cavité buccale
Myopie
Neuropathie optique
Oedème de Quincke
Pancréatite
Paranoïa
Stomatite
Tachycardie ventriculaire
Thrombopénie
Torsades de pointes
Urticaire
Vertige
Idée suicidaire
Agranulocytose
Syndrome de Lyell
Elévation des phosphatases alcalines
Diplopie
Syndrome de Stevens-Johnson
Confusion
Allongement de l'intervalle QT
Ataxie
Délire
Dysarthrie
Neutropénie
Sécheresse buccale
Tremblement
Arrêt cardiaque
Vascularite
Hépatite cholestatique
Méningite aseptique
Purpura de Schönlein-Henoch
Nystagmus
Encéphalopathie
Elévation des enzymes hépatiques
Douleur épigastrique
Vision trouble
Elévation des ALAT
Elévation des ASAT
Réaction psychotique
Humeur dépressive
Neuropathie sensitive périphérique
Erythème pigmenté fixe
Trouble visuel
Pustulose exanthématique aiguë généralisée
Prurit cutané
Diminution de l'acuité visuelle
Atteinte hépatique aiguë
Trouble digestif
Bouffée congestive
Décoloration de la langue
Atteinte hépatique ictérique
Eruption cutanée fébrile
Coloration brun-rougeâtre des urines
Trouble de la marche
Hallucination
Acte suicidaire
Hépatite cholestatique cytolytique
Hépatite cholestatique mixte
Altération de la vision des couleurs
Test de Nelson faussement positif
Syndrome cérébelleux subaigu
Modification de l'aspect de la langue
LIES A LA SPIRAMYCINE
Affections cardiaques
· Fréquence indéterminée : allongement de l'intervalle QT, arythmie ventriculaire, tachycardie ventriculaire, torsades de pointes pouvant conduire à un arrêt cardiaque (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections du système immunitaire
Fréquence indéterminée : vascularite incluant le purpura de Henoch-Schönlein ou purpura rhumatoïde, chocs anaphylactiques (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections gastro-intestinales
· Fréquent : douleur abdominale, nausées, vomissements, gastralgies, diarrhée, colites pseudo-membraneuses.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
· Fréquent : éruptions.
· Fréquence indéterminée : urticaire, prurit, oedème de Quincke, Syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections du système nerveux
· Très fréquent : paresthésies occasionnelles et transitoires.
· Fréquent : dysgueusie transitoire.
Affections hépatobiliaires
· Très rares : anomalies des tests hépatiques.
· Fréquence indéterminée : cas d'hépatite cholestatique, mixte ou plus rarement cytolytique.
Affections hématologiques et du système lymphatique
· Fréquence indéterminée : leucopénie, neutropénie, anémie hémolytique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
LIES AU METRONIDAZOLE
Affections hématologiques et du système lymphatique
· Neutropénie, agranulocytose et thrombopénie.
Affections psychiatriques
· Hallucinations.
· Réactions psychotiques avec paranoïa et/ou délire pouvant s'accompagner de manière isolée d'idées ou d'actes suicidaires (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
· Humeur dépressive.
Affections du système nerveux
· Neuropathies sensitives périphériques.
· Céphalées.
· Vertiges.
· Confusion.
· Convulsions.
· Encéphalopathies pouvant être associées à des modifications de l'IRM généralement réversibles à l'arrêt du traitement. D'exceptionnels cas d'évolution fatale ont été rapportés (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
· Syndrome cérébelleux subaigu (ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche, nystagmus, tremblements (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
· Méningites aseptique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections oculaires
· Troubles visuels transitoires tels que vision trouble, diplopie, myopie, diminution de l'acuité visuelle et changement dans la vision des couleurs.
· Neuropathies/névrites optiques.
Affections cardiaques
· Un allongement de l'intervalle QT a été signalé, en particulier lorsque le métronidazole était administré avec des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT.
Affections gastro-intestinales
· Troubles digestifs bénins (douleurs épigastriques, nausées, vomissements, diarrhée).
· Glossites avec sensation de sécheresse de la bouche, stomatites, troubles du goût, anorexie.
· Pancréatites réversibles à l'arrêt du traitement.
· Décoloration ou modification de l'aspect de la langue (mycose).
Affections hépatobiliaires
· Elévation des enzymes hépatiques (ALT, AST phosphatases alcalines), très rares cas d'atteinte hépatique aiguë de nature cytolytique (parfois ictérique), cholestatiques ou mixtes. Des cas isolés d'insuffisance hépatocellulaire pouvant nécessiter une transplantation hépatique ont été rapportés.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
· Bouffées congestives, prurit, éruption cutanée parfois fébrile.
· Urticaire, oedème de Quincke, choc anaphylactique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
· Très rares cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
· Syndrome de Lyell.
· Syndrome de Steven-Johnson.
· Erythème pigmenté fixe.
Divers
· Apparition d'une coloration brun-rougeâtre des urines due à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/
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Grossesse
L'utilisation de ce médicament peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin quel qu'en soit le terme.
METRONIDAZOLE
En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier du métronidazole Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque.
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène du métronidazole.
SPIRAMYCINE
L'utilisation de la spiramycine peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, l'utilisation large de la spiramycine au cours de la grossesse n'a pas révélé, à ce jour, d'effet malformatif ou foetotoxique de cette molécule.
Allaitement
Le métronidazole et la spiramycine passant dans le lait maternel, éviter l'administration de ce médicament pendant l'allaitement.
Cadre d'utilisation de cette spécialité
Dans la mesure où il est attendu qu'une monothérapie antibiotique soit adaptée au traitement de la plupart des infections odonto-stomatologiques, il convient de peser la nécessité du recours à une association fixe à base de spiramycine-métronidazole compte tenu de la possibilité d'une prise séparée de chaque antibiotique. Il est recommandé d'utiliser en première intention dans les infections odonto-stomatologiques le traitement antibiotique présentant le meilleur rapport bénéfice-risque.
Hypersensibilité / peau et annexes
· Des réactions d'allergie, y compris des chocs anaphylactiques, peuvent survenir et mettre en jeu le pronostic vital (voir rubrique Effets indésirables). Dans ces cas, le métronidazole doit être interrompu et un traitement médical adapté doit être mis en place.
· Des cas de réactions cutanées sévères incluant syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, Pustulose Exanthématique Aiguë Généralisée (PEAG) ont été rapportés avec spiramycine- métronidazole. Les patients doivent être informés des signes et symptômes et une surveillance cutanée rapprochée doit être pratiquée.
· La survenue de signes ou symptômes de Syndrome de Stevens-Johnson, Syndrome de Lyell (ex : éruption progressive souvent accompagnée de bulles ou de lésions des muqueuses) ou PEAG (Pustulose Exanthématique Aiguë Généralisée (voir rubrique Effets indésirables) impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de spiramycine ou de métronidazole seule ou associée.
Système nerveux central
· Si des symptômes évocateurs d'encéphalopathie ou de syndrome cérébelleux (par exemple : ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche, nystagmus, tremblements, vertiges, confusions, convulsions, neuropathies sensitives périphériques, céphalées (voir rubrique Effets indésirables)) apparaissent, la prise en charge du patient doit être immédiatement réévaluée et le traitement par le métronidazole doit être arrêté.
· Des cas d'encéphalopathie ont été rapportés avec le métronidazole lors de la surveillance post-commercialisation. Des cas de modifications de l'IRM associées à une encéphalopathie ont également été observés (voir rubrique Effets indésirables). Les lésions observées sont localisées le plus fréquemment dans le cervelet (particulièrement dans le noyau dentelé) et dans le splenium du corps calleux. La plupart des cas d'encéphalopathie et de modifications de l'IRM sont réversibles à l'arrêt du traitement. D'exceptionnels cas d'évolution fatale ont été rapportés.
· Surveiller l'apparition de signes évocateurs d'encéphalopathie ou en cas d'aggravation chez les malades atteints d'affection neurologique centrale.
· En cas de méningite aseptique sous métronidazole, la réintroduction du traitement est déconseillée ou doit faire l'objet d'une appréciation du rapport bénéfice-risque en cas d'infection grave.
Système nerveux périphérique
· Surveiller l'apparition de signes évocateurs de neuropathies périphériques, en particulier en cas de traitement prolongé ou chez les malades atteints d'affections neurologiques périphériques sévères, chroniques ou évolutives.
Troubles psychiatriques
· Des réactions psychotiques avec possible comportement à risque pour le patient, peuvent survenir dès les premières prises du traitement, notamment en cas d'antécédents psychiatriques (voir rubrique Effets indésirables). Le métronidazole doit alors être arrêté, le médecin informé et les mesures thérapeutiques nécessaires prises immédiatement.
Lignée sanguine
· En cas d'antécédents de troubles hématologiques, de traitement à forte dose et/ou de traitement prolongé, il est recommandé de pratiquer régulièrement des examens sanguins, particulièrement le contrôle de la formule leucocytaire.
· En cas de leucopénie, l'opportunité de la poursuite du traitement dépend de la gravité de l'infection.
Allongement de l'intervalle QT
· Des cas d'allongement de l'intervalle QT ont été rapportés chez des patients prenant des macrolides, y compris la spiramycine.
· La prudence est recommandée lors d'un traitement par spiramycine, chez des patients présentant des facteurs de risques connus pour allonger l'intervalle QT tels que :
o un déséquilibre électrolytique non corrigé (par exemple, l'hypokaliémie, l'hypomagnésémie),
o un syndrome du QT long congénital,
o des pathologies cardiaques (par exemple, une insuffisance cardiaque, un infarctus du myocarde, une bradycardie),
o un traitement concomitant avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT (par exemple, certains antiparasitaires, arsénieux, crizotinib, délamanide, hydroxychloroquinine, méthadone, certains neuroleptiques, sulfaméthoxazole + triméthoprime, anagrélide, azithromycine, bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque, médicaments bradycardisants, ciprofloxacine, clarithromycine, glasdégib, médicaments diminuant le potassium, lévofloxacine, médicaments provoquant l'hypogonadisme masculin, norfloxacine, ondansétron et roxithromycine),
o les personnes âgées, les nouveau-nés et les femmes peuvent être plus sensibles à l'allongement du QT (voir rubriques Posologie et mode d'administration, Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions, Effets indésirables et Surdosage).
Troubles hépatiques
· Des cas d'hépatotoxicité sévère/d'insuffisance hépatique aiguë, y compris des cas entraînant une issue fatale avec une survenue très rapide après l'initiation du traitement chez des patients atteints du syndrome de Cockayne, ont été rapportés avec des produits contenant du métronidazole destinés à une utilisation systémique. Dans cette population, le métronidazole doit donc être utilisé après une évaluation approfondie du rapport bénéfice-risque et uniquement si aucun traitement alternatif n'est disponible. Des tests de la fonction hépatique doivent être réalisés juste avant le début du traitement, tout au long de celui-ci et après la fin du traitement, jusqu'à ce que la fonction hépatique se situe dans les limites des valeurs normales, ou jusqu'à ce que les valeurs initiales soient obtenues. Si les tests de la fonction hépatique deviennent nettement élevés pendant le traitement, la prise du médicament doit être interrompue.
· Il faut informer les patients atteints du syndrome de Cockayne de rapporter immédiatement tous les symptômes de lésions hépatiques potentielles à leur médecin et d'arrêter la prise de métronidazole.
Déficit enzymatique en G6PD
· Chez les sujets porteurs d'un déficit enzymatique en G6PD, des cas d'hémolyse aiguë ont été rapportés avec la spiramycine administrée par voie orale ou injectable. Sa prescription doit donc être écartée, et le recours à une alternative thérapeutique, si elle existe, est fortement recommandé.
· En l'absence d'alternative, la décision doit prendre en compte pour chaque patient, le danger d'hémolyse et le bénéfice potentiel attendu du traitement. Si la prescription de ce médicament est nécessaire, la survenue d'une hémolyse éventuelle devra être dépistée.
Interactions médicamenteuses
· L'utilisation concomitante de métronidazole et d'alcool est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
· L'utilisation concomitante de métronidazole et de busulfan est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
· L'utilisation concomitante de métronidazole et disulfirame est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Interactions avec les examens paracliniques
· Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson.
· Le métronidazole peut interférer avec certains dosages sanguins (alanine aminotransférase [ALT], aspartate aminotransférase [AST], lactate déshydrogénase [LDH], triglycérides, glucose), pouvant entraîner un faux négatif ou un résultat anormalement bas. Ces dosages sont basés sur une diminution de l'absorbance des ultraviolets, un fait qui se produit lorsque le nicotinamide adénine dinucléotide réduit (NADH) est oxydé en nicotinamide adénine dinucléotide (NAD). L'interférence est due à la similitude des pics d'absorption du NADH (340 nm) et du métronidazole (322 nm) à un pH égal à 7.
Excipient à effet notoire
· Ce médicament contient 16 mg de sorbitol par comprimé.
· Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Réaction allergique
Choc anaphylactique
Réaction cutanée sévère
Surveillance cutanée
Syndrome cérébelleux
Symptômes d'encéphalopathie
Affection neurologique
Méningite aseptique
Troubles psychiatriques
Antécédent psychiatrique
Antécédent de trouble hématologique
Leucopénie
Risque d'allongement de l'intervalle QT
Sujet âgé
Sujet de sexe féminin
Il convient d'avertir les patients du risque potentiel de vertiges, de confusion, d'hallucinations, de convulsions ou de troubles visuels et de leur recommander de ne pas conduire de véhicules ni d'utiliser de machines en cas de survenue de ce type de troubles.
LIEES À LA SPIRAMYCINE
Associations contre-indiquées
+ Substances susceptibles de provoquer des torsades de pointes (en dehors des arsénieux, antiparasitaires, neuroleptiques, méthadone, cotrimoxazole, crizotinibe) : amiodarone, citalopram, disopyramide, dompéridone, dronédarone, érythromycine par voie intraveineuse, escitalopram, hydroquinidine, hydroxyzine, méquitazine, moxifloxacine, pipéraquine, quinidine, sotalol, torémifène, vandétanib, vincamine par voie intraveineuse)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Associations déconseillées
+ Antiparasitaires susceptibles de provoquer des torsades de pointes (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements. Si l'association ne peut être évitée, un contrôle préalable du QT et une surveillance ECG doivent être effectués.
+ Arsénieux
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
+ Crizotinib
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
+ Delamanide
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
+ Hydroxychloroquine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
+ Méthadone
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
+ Neuroleptiques susceptibles d'induire des torsades de pointes (amisulpride, chlorpromazine, cyamémazine, dropéridol, flupentixol, fluphénazine, halopéridol, lévomépromazine, pimozide, pipampérone, pipotiazine, sulpiride, tiapride, zuclopenthixol)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
+ Sulfaméthoxazole + triméthoprime
Risque de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anagrélide
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Azithromycine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Bradycardisants
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Ciprofloxacine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Clarithromycine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Glasdégib
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Hypokaliémiants
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
+ Lévofloxacine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Médicaments à l'origine d'un hypogonadisme masculin
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Norfloxacine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Ondansétron
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante.
+ Roxithromycine
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être effectuée en cas d'administration concomitante
+ Lévodopa
En cas d'association avec la carbidopa : inhibition de l'absorption de la carbidopa avec diminution des concentrations plasmatiques de la lévodopa.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la lévodopa.
LIEES AU MÉTRONIDAZOLE
Réaction antabuse
Les médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool sont nombreux et leur association avec l'alcool est déconseillée.
Associations déconseillées
+ Alcool (boisson ou excipient)
Effet antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Tenir compte de l'élimination complète des médicaments en se référant à leur demi-vie avant la reprise de boissons alcoolisées ou du médicament contenant de l'alcool.
+ Busulfan
Avec le busulfan à fortes doses : doublement des concentrations de busulfan par le métronidazole.
+ Disulfirame
Risque d'épisodes de psychose aiguë ou d'état confusionnel, réversibles à l'arrêt de l'association.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques
Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par l'inducteur.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.
+ Rifampicine
Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt.
+ Lithium
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, avec signes de surdosage en lithium.
Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.
Associations à prendre en compte
+ Fluoro-uracile (et par extrapolation, tégafur et capécitabine) :
Augmentation de la toxicité du fluoro-uracile par diminution de sa clairance.
+ Médicaments allongeant l'intervalle QT
Un allongement de l'intervalle QT a été signalé, en particulier lorsque le métronidazole était administré avec des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT.
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Interactions avec les examens paracliniques
· Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson.
BIRODOGYL - RODOGYL 16052018 AVIS CT15637
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Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentQ/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »
Télécharger le documentConsommation d'antibiotiques et résistance aux antibiotiques en France : nécessité d'une mobilisation déterminée et durable - Communiqué
Télécharger le documentL'évolution des consommations d'antibiotiques en France entre 2000 et 2013
Télécharger le documentMédicaments et déficit en Glucose-6-Phosphate Déshydrogénase (G6PD) : Classement des médicaments par substance active
Télécharger le documentJournée européenne d'information sur les antibiotiques - Point d'information
Télécharger le documentBEH : Numéro thématique – Surveillance de la consommation et de la résistance aux antibiotiques
Télécharger le documentCommuniqué - Consommation des antibiotiques en France : bilan de dix ans d'évolution
Télécharger le documentAmidon de maïs, Povidone, Croscarmellose sodique, Silice colloïdale, Sorbitol, Magnésium stéarate, Cellulose microcristalline, Opadry blanc OY-38906 : Hypromellose, Macrogol 6000, Titane dioxyde
SEPTODONT
Code UCD7 : 9209204
Code UCD13 : 3400892092041
Code CIS : 64483490
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : SEPTODONT
Laboratoire exploitant : SEPTODONT
Prix vente TTC : 5.53€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 5.53€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 28/10/1998
Rectificatif AMM : 16/02/2024
Marque : BIRODOGYL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400934828157
Référence LPPR : Aucune
BI-MISSILOR Gé 1,5 MUI/250 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10
SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE ACTAVIS 1,5 M.U.I./250 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10
SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE ALMUS 1,5 M.U.I./250 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10
SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE ARROW 1,5 M.U.I./250 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10
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