CONCERTA

Principes actifs : Méthylphénidate chlorhydrate

Les gammes de produits

CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

Remboursable

Sur prescription seulement

Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité

Forme :

 Comprimé à libération prolongée

Catégories :

 Neurologie-psychiatrie, Psychostimulants, Méthylphénidate

Principes actifs :

 Méthylphénidate chlorhydrate

Posologie pour CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

Indications

Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité

Posologie

Enfant de 6 ans à 18 ans . Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (implicite)
un(e) (1) comprimé le matin à avaler avec une boisson pendant vingt-huit (28) jours. Maximum un(e) (1) comprimé par jour. Ne pas écraser, mâcher ou couper le comprimé.

Adulte de 18 ans à 65 ans . Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (implicite)
un(e) (1) comprimé le matin à avaler avec une boisson pendant vingt-huit (28) jours. Ne pas écraser, mâcher ou couper le comprimé.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Symptômes cardiaques : palpitations, évanouissement inexpliqué, douleur dans la poitrine, respiration courte.
- Signes allergiques : rash, démangeaisons cutanées, urticaire, gonflement de la face, des lèvres, de la langue ou d'autres parties du corps, sifflement ou gêne respiratoire.
- Changement de l'humeur ou troubles de l'humeur ou changements de la personnalité.
- Excitation, hyperactivité ou désinhibition inhabituelles.
- Desquamation cutanée ou plaques rouge-violacées.
- Spasmes musculaires affectant les yeux, la tête, le cou, le corps, incontrôlables.
- Augmentation soudaine de la température corporelle, pression artérielle très élevée, convulsions.
- Infection, saignement et bleus apparaissant plus facilement.
- Paralysie ou troubles des mouvements et de la vision, difficulté d'élocution.
- Grincement ou serrement des dents excessif.
- Erection prolongée (plus de 2 heures), parfois douloureuses ou augmentation du nombre d'érections.
INFORMER l'anesthésiste de la prise de ce médicament en cas d'intervention chirurgicale.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (sensations vertigineuses, somnolence, problèmes d'accommodation, diplopie, vision trouble).
NE PAS consommer d'alcool ou de médicament contenant de l'alcool pendant le traitement.
SPORTIF : Substance dopante.
Le comprimé ne se dissout pas complètement une fois tout le médicament libéré et il peut arriver que l'enveloppe du comprimé apparaisse dans les selles. Cela est normal.


Contre-indications pour CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

  • Glaucome
  • Phéochromocytome
  • Hyperthyroïdie
  • Thyrotoxicose
  • Dépression sévère
  • Anorexie
  • Tendance suicidaire
  • Symptômes psychotiques
  • Trouble de l'humeur
  • Manie
  • Schizophrénie
  • Trouble de la personnalité
  • Trouble bipolaire de type I
  • Troubles cardiovasculaires
  • Troubles cérébrovasculaires
  • Anomalie vasculaire
  • Accident vasculaire cérébral
  • Patient de moins de 6 ans
  • Allaitement
  • Sujet âgé
  • Consommation d'alcool
  • Grossesse
  • Intolérance au lactose

Effets indésirables pour CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

Niveau d’apparition des effets indésirables

Très fréquent

Céphalée

Insomnie

Nervosité

Agitation

Agressivité

Alopécie

Anorexie

Anxiété

Asthénie

Contracture musculaire

Diarrhée

Dyspepsie

Fatigue

Hyperhidrose

Hypertension

Irritabilité

Palpitation

Rhinopharyngite

Sinusite

Tachycardie

Tics

Toux

Urticaire

Vertige

Dépression

Arythmie

Arthralgie

Diminution de l'appétit

Dyskinésie

Paresthésie

Perte de poids

Soif

Sécheresse buccale

Somnolence

Sensation vertigineuse

Diminution de la libido

Modification de la pression artérielle

Gêne abdominale

Humeur dépressive

Pyrexie

Nausée

Vomissement

Infection des voies respiratoires supérieures

Ralentissement de la prise de poids

Difficulté d'accommodation

Prurit cutané

Labilité émotionnelle

Tension musculaire

Attaque de panique

Tension nerveuse

Rash cutané

Comportement anormal

Douleur abdominale haute

Modification de la fréquence cardiaque

Douleur pharyngolaryngée

Retard de croissance chez l'enfant

Bruxisme

Hyperactivité psychomotrice

Augmentation de l'alanine aminotransférase

Dysfonctionnement érectile

Saute d'humeur

Céphalée de tension

Insomnie d'endormissement

Eruption exfoliative

Bouffée de chaleur

Constipation

Douleur thoracique

Hématurie

Oedème angioneurotique

Sécheresse oculaire

Idée suicidaire

Myalgie

Colère

Dyspnée

Pollakiurie

Réaction d'hypersensibilité

Sédation

Tremblement

Elévation des enzymes hépatiques

Pleurs

Vision floue

Léthargie

Logorrhée

Hallucinations tactiles

Exacerbation de tics

Trouble du sommeil

Secousse musculaire

Impatience

Souffle cardiaque

Altération de l'humeur

Trouble psychotique

Exacerbation du syndrome de Gilles de la Tourette

Hallucination visuelle

Hypervigilance

Hallucination auditive

Angine de poitrine

Erythème

Gynécomastie

Trouble obsessionnel compulsif

Etat confusionnel

Diplopie

Troubles visuels

Désorientation

Manie

Eruption maculeuse

Trouble de la libido

Symptômes obsessionnels compulsifs

Anémie

Artérite

Convulsions

Crampe musculaire

Infarctus du myocarde

Leucopénie

Syndrome de Raynaud

Thrombocytopénie

Syndrome malin des neuroleptiques

Erythème polymorphe

Arrêt cardiaque

Apathie

Purpura thrombocytopénique

Dermatite exfoliatrice

Mouvement choréo-athétosique

Erythème pigmenté fixe

Extrémités froides

Comportement suicidaire

Mort subite d'origine cardiaque

Fonction hépatique anormale

Diminution de la numération plaquettaire

Augmentation de la phosphatase alcaline

Pensée anormale

Occlusion artérielle cérébrale

Numération anormale des globules blancs

Augmentation de la bilirubine sanguine

Déficit neurologique ischémique réversible

Accident vasculaire cérébral

Bradycardie

Epistaxis

Extrasystole ventriculaire

Extrasystole

Migraine

Priapisme

Tachycardie supraventriculaire

Troubles cérébrovasculaires

Urticaire allergique

Mydriase

Hémorragie cérébrale

Délire

Réaction anaphylactique

Trismus

Pancytopénie

Dépendance

Suicide

Eruption cutanée allergique

Exfoliation cutanée

Coma hépatique

Insuffisance hépatique aiguë

Gêne thoracique

Dépendance médicamenteuse

Réaction bulleuse

Vascularite cérébrale

Grand mal épileptique

Abus médicamenteux

Oedème auriculaire

Incontinence

Dysphémie

Erection augmentée

Trichotillomanie

Pensée compulsive

Compulsion


Le tableau ci-dessous présente tous les effets indésirables rapportés au cours des études cliniques chez les enfants, adolescents, et adultes et les cas rapportés spontanément après la commercialisation de CONCERTA LP ainsi que les événements indésirables rapportés après administration d'autres formes de chlorhydrate de méthylphénidate. Lorsque la fréquence des effets indésirables observée avec CONCERTA LP a été différente de la fréquence observée avec d'autres formulations de méthylphénidate, la fréquence la plus élevée issue des deux bases de données a été retenue.

Estimation de la fréquence:

·         très fréquent (= 1/10)

·         fréquent (= 1/100 à < 1/10)

·         peu fréquent (= 1/1 000 à < 1/100)

·         rare (= 1/10 000 à < 1/1 000)

·         très rare (< 1/10 000)

·         fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

*Voir Rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.

# Fréquence issue des essais cliniques menés chez l'adulte et non de données issues d'essais menés chez l'enfant et l'adolescent ; peuvent également être appropriés aux enfants et adolescents.

Effets indésirables issus d'essais cliniques menés chez des patients adultes qui ont été rapportés à une fréquence plus élevée que chez les enfants et les adolescents.

^ D'après la fréquence calculée au cours des études consacrées au TDAH chez l'adulte (aucun cas n'a été rapporté au cours des études pédiatriques).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr

Voir plus


Grossesse et allaitement pour le CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

Grossesse

Les résultats d'une étude de cohorte portant sur une large population d'environ 3 400 femmes exposées au cours du premier trimestre de la grossesse ne montrent pas d'augmentation du risque global d'anomalies congénitales. Par rapport aux grossesses non exposées, une faible augmentation de la fréquence de malformations cardiaques a été observée (risque relatif ajusté combiné, 1,3 ; IC à 95 %, 1,0 - 1,6), correspondant à trois enfants supplémentaires nés avec des malformations cardiaques pour 1 000 femmes exposées au méthylphénidate pendant le premier trimestre de grossesse.

Des cas de toxicité cardiorespiratoire néonatale, notamment des tachycardies et des détresses respiratoires foetales, ont été rapportés dans le cadre des notifications spontanées.

Les études chez l'animal n'ont mis en évidence qu'une toxicité du méthylphénidate sur la reproduction à doses maternotoxiques (voir rubrique Données de sécurité préclinique).

L'administration de méthylphénidate pendant la grossesse n'est pas recommandée sauf si le médecin considère que le report du traitement représente un risque supérieur pour la grossesse.

Allaitement

Chez l'Homme, le méthylphénidate est excrété dans le lait maternel. Sur la base des rapports d'analyse d'échantillons de lait maternel de cinq mères, les concentrations de méthylphénidate dans le lait maternel ont conduit à des doses chez le nourrisson de 0,16 % à 0,7 % de la dose maternelle ajustée selon le poids et un rapport entre le lait et le plasma maternel compris entre 1,1 et 2,7.

Le cas d'un nourrisson dont le poids corporel a diminué (chiffre indéterminé) pendant la période d'exposition au méthylphénidate a été rapporté. Le nourrisson a retrouvé son poids puis en a repris après l'interruption du traitement de la mère par méthylphénidate. Un risque pour l'enfant allaité ne peut donc être exclu.

Il convient de décider d'arrêter l'allaitement ou s'abstenir/interrompre un traitement par méthylphénidate, en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la mère.

Fertilité

Aucune donnée chez l'homme concernant l'effet du méthylphénidate sur la fertilité n'est disponible. Il n'y a pas eu d'effet pertinent observé au cours des études non-cliniques.


Mise en garde pour CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

Mise en garde

Le traitement par le méthylphénidate n'est pas indiqué chez tous les patients atteints de TDAH et la décision d'utiliser ce médicament devra se fonder sur une évaluation très minutieuse, de la gravité et de la chronicité des symptômes du patient. Lorsque le traitement des enfants est envisagé, une évaluation de la sévérité et de la chronicité des symptômes des enfants, doit être rapporté à l'âge de l'enfant (6 à 18 ans).

Utilisation à long terme (plus de 12 mois)

L'efficacité et la sécurité d'emploi de l'utilisation à long terme du méthylphénidate n'ont pas été évaluées de façon systématique au cours des études cliniques contrôlées. Il n'est pas nécessaire ni souhaitable, que la durée du traitement médicamenteux soit indéfinie. Chez l'enfant et l'adolescent, le traitement par méthylphénidate est habituellement interrompu pendant ou après la puberté.

Les patients traités par méthylphénidate à long terme (c'est-à-dire plus de 12 mois) devront être surveillés attentivement de façon continue conformément aux recommandations décrites dans les rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, relatives à l'état cardiovasculaire, la croissance (enfants), le poids, l'appétit, l'apparition de nouveaux troubles psychiatriques ou l'aggravation de troubles psychiatriques préexistants. Les troubles psychiatriques devant faire l'objet d'une surveillance sont décrits ci-dessous et incluent de manière non limitative : tics moteurs ou verbaux, comportement agressif ou hostile, agitation, anxiété, dépression, psychose, manie, délire, irritabilité, manque de spontanéité, retrait et persévération excessive.

Le médecin qui décide d'utiliser le méthylphénidate pendant des périodes de temps prolongées (plus de 12 mois) devra réévaluer périodiquement l'utilité à long terme du traitement pour le patient et ce, en mettant en place des périodes sans traitement pour pouvoir évaluer le fonctionnement du patient en l'absence de celui-ci. Il est recommandé d'interrompre le traitement par méthylphénidate au moins une fois par an afin d'évaluer l'état de du patient (pour les enfants, de préférence pendant les vacances scolaires). Une amélioration peut se maintenir à l'arrêt du traitement qu'il soit temporaire ou définitif.

Utilisation chez le sujet âgé

Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé chez le sujet âgé. Sa sécurité d'emploi et son efficacité n'ont pas été établies dans cette classe d'âge. CONCERTA LP n'a pas été étudié chez les patients TDAH âgés de plus de 65 ans.

Utilisation chez l'enfant de moins de 6 ans

Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé chez l'enfant âgé de moins de 6 ans. Sa sécurité d'emploi et son efficacité n'ont pas été établies dans cette classe d'âge.

Etat cardiovasculaire

Les patients chez lesquels un traitement par psychostimulants est envisagé devront être soigneusement interrogés quant à leurs antécédents (y compris des antécédents familiaux de mort subite cardiaque ou inexpliquée ou d'arythmie maligne) et être soumis à un examen médical rigoureux, afin de rechercher la présence d'une cardiopathie. Un examen cardiaque spécialisé devra ensuite être réalisé si les résultats initiaux font suspecter une cardiopathie ou de tels antécédents. Un examen cardiaque par un spécialiste devra être rapidement réalisé chez les patients présentant, au cours du traitement par méthylphénidate, des symptômes tels que palpitations, douleurs thoraciques à l'effort, syncope inexpliquée, dyspnée ou tout autre symptôme évocateur d'une pathologie cardiaque.

L'analyse des données issues des études cliniques du méthylphénidate chez l'enfant ou l'adolescent atteint de TDAH, a montré que les patients traités par méthylphénidate peuvent fréquemment présenter des modifications des pressions artérielles systolique et diastolique de plus de 10 mm Hg par comparaison au groupe contrôle. Des augmentations des valeurs des pressions artérielles diastolique et systolique ont également été observées dans des données d'essai clinique obtenues auprès de patients adultes atteints de TDAH. Les conséquences cliniques, à court et à long terme, de ces effets cardiovasculaires chez l'enfant et l'adolescent ne sont pas connues.

La possibilité de complications cliniques résultant des effets observés lors des études cliniques ne peut être exclue, notamment lorsque le traitement pris pendant l'enfance/l'adolescence se poursuit à l'âge adulte.

La prudence est indiquée lors du traitement des patients chez lesquels une augmentation de la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque est susceptible d'entraîner la décompensation d'une pathologie sous-jacente. Voir en rubrique Contre-indications pour les conditions dans lesquelles le traitement par méthylphénidate est contre-indiqué.

L'état cardiovasculaire devra être surveillé soigneusement. La pression artérielle ainsi que le pouls devront être enregistrés sur une courbe percentile à chaque adaptation posologique, puis au minimum tous les 6 mois.

Le méthylphénidate doit être arrêté chez les patients sous traitement présentant des enregistrements répétés de tachycardie, d'arythmie ou de tension artérielle systolique élevée (>95ème percentile) et une consultation d'un cardiologue doit être envisagée.

L'administration de méthylphénidate est contre-indiquée dans certains cas de troubles cardiovasculaires préexistants sous réserve de l'obtention d'un avis d'un spécialiste en cardiologie (voir rubrique Contre-indications).

Mort subite et anomalies cardiaques structurelles préexistantes ou autres troubles cardiaques sévères

Des cas de mort subite ont été rapportés lors de l'utilisation de stimulants du système nerveux central aux doses usuelles chez des patients, dont certains présentaient des anomalies cardiaques structurelles ou d'autres problèmes cardiaques sévères. Bien que certains problèmes cardiaques sévères puissent entraîner à eux seuls un risque accru de mort subite, les psychostimulants ne sont pas recommandés chez les patients présentant des anomalies cardiaques structurelles connues, une cardiomyopathie, des anomalies graves du rythme cardiaque ou d'autres problèmes cardiaques sévères qui pourraient les exposer à une vulnérabilité accrue vis-à-vis des effets sympathomimétiques des psychostimulants.

Adultes

Des cas de mort subite, d'accident vasculaire cérébral et d'infarctus du myocarde ont été signalés chez des adultes prenant des médicaments stimulants aux doses habituelles pour le TDAH. Bien que le rôle des stimulants dans ces cas d'adultes soit inconnu, les adultes sont plus susceptibles que les enfants de présenter des anomalies cardiaques structurelles graves, une cardiomyopathie, des anomalies graves du rythme cardiaque, une maladie coronarienne ou d'autres problèmes cardiaques graves. Les adultes présentant de telles anomalies ne devraient généralement pas être traités par des stimulants.

Mésusage et événements cardiovasculaires

Le mésusage des psychostimulants du système nerveux central peut être associé à une mort subite ou à d'autres événements indésirables cardiovasculaires sévères.

Troubles vasculaires cérébraux

Voir en rubrique Contre-indications pour les troubles cérébrovasculaires pour lesquels un traitement par méthylphénidate est contre-indiqué. Les patients présentant des facteurs de risque supplémentaires (ex. antécédents de maladie cardiovasculaire, médicaments associés augmentant la pression artérielle) devront être surveillés à chaque visite après l'initiation du traitement à la recherche de signes et symptômes neurologiques.

La vascularite cérébrale semble être une réaction idiosyncrasique très rare due à l'exposition au méthylphénidate. Il existe peu de preuves suggérant que les patients à risque accru puissent être identifiés et la survenue initiale des symptômes peut être la première manifestation d'un problème clinique sous-jacent. Un diagnostic précoce, fondé sur une forte suspicion, peut permettre l'arrêt rapide du méthylphénidate et l'instauration d'un traitement précoce. Le diagnostic devrait donc être envisagé chez tout patient développant de nouveaux symptômes neurologiques compatibles avec une ischémie cérébrale au cours d'un traitement par méthylphénidate. Ces symptômes peuvent inclure : céphalée sévère, engourdissement, faiblesse, paralysie, altération de la coordination, de la vision, de la parole, du langage ou de la mémoire.

Le traitement par le méthylphénidate n'est pas contre-indiqué chez les patients atteints d'hémiplégie cérébrale infantile.

Troubles psychiatriques

Les troubles psychiatriques concomitants sont fréquents dans le TDAH et doivent être pris en compte lors de la prescription de psychostimulants. Avant le début du traitement par méthylphénidate, le patient doit être examiné afin de détecter tout trouble psychiatrique existant ; de plus, les antécédents familiaux en termes de troubles psychiatriques doivent être renseignés (voir rubrique Posologie et mode d'administration). En cas d'apparition de symptômes psychiatriques ou d'exacerbation de troubles psychiatriques préexistants, le méthylphénidate ne doit pas être administré à moins que les bénéfices attendus soient supérieurs aux risques chez le patient.

La survenue ou l'aggravation de troubles psychiatriques doit être surveillée à chaque ajustement de la posologie, puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite. L'arrêt du traitement peut alors être envisagé.

Aggravation de symptômes psychotiques ou maniaques préexistants

Les patients psychotiques traités par méthylphénidate peuvent présenter une aggravation des troubles du comportement et des troubles de la pensée.

Survenue de nouveaux symptômes psychotiques ou maniaques

Des symptômes psychotiques (hallucinations et illusions visuelles, tactiles, auditives) ou maniaques peuvent survenir après administration de méthylphénidate aux doses usuelles chez des patients sans antécédents de maladie psychotique ou de manie (voir rubrique Effets indésirables).

En cas d'apparition de symptômes psychotiques ou maniaques, le rôle du méthylphénidate sera évalué et un arrêt du traitement pourra être envisagé.

Agressivité ou comportement hostile

L'administration de psychostimulants peut provoquer l'apparition ou l'aggravation d'une agressivité ou d'un comportement hostile. Des cas d‘agressivité ont été rapportés chez les patients traités par méthylphénidate (voir rubrique Effets indésirables). Les patients traités par méthylphénidate devront être surveillés étroitement au début du traitement, à chaque ajustement de doses puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite afin de déceler la survenue ou une aggravation d'un comportement agressif ou hostile. Le médecin devra évaluer la nécessité d'ajuster le schéma thérapeutique chez les patients présentant un changement dans leur comportement en gardant à l'esprit qu'une augmentation ou une diminution progressive de la posologie peut être appropriée. L'interruption du traitement peut être envisagée.

Tendances suicidaires

Les patients ayant des idées ou un comportement suicidaire au cours du traitement devront être immédiatement examinés par leur médecin. L'aggravation d'une affection psychiatrique sous-jacente devra être prise en considération et un possible lien de causalité avec le méthylphénidate devra être envisagé. Le traitement d'une affection psychiatrique sous-jacente pourra être nécessaire et il conviendra alors d'envisager l'arrêt du traitement par méthylphénidate.

Tics

Le méthylphénidate peut provoquer l'apparition ou une aggravation de tics moteurs ou verbaux. Une aggravation du syndrome de Gilles de la Tourette a également été rapportée (voir rubrique Effets indésirables). Une évaluation des antécédents familiaux ainsi qu'un examen clinique à la recherche de tics ou du syndrome de Gilles de la Tourette devront être réalisés avant l'administration de méthylphénidate.

L'apparition ou l'aggravation des tics devra être surveillée régulièrement au cours du traitement par méthylphénidate.

La surveillance devra être effectuée à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois ou à chaque visite.

Anxiété, agitation ou tension psychique

Des cas d'anxiété, d'agitation et de tension psychique ont été rapportés chez les patients traités par méthylphénidate (voir rubrique Effets indésirables). Le méthylphénidate est également associé à une aggravation de symptômes préexistants d'anxiété, d'agitation ou de tension psychique.L'anxiété a conduit à l'arrêt du traitement par méthylphénidate chez certains patients. Une évaluation clinique de l'anxiété, l'agitation ou de la tension psychique devra être réalisée avant l'administration de méthylphénidate. Une surveillance régulière de la survenue ou de l'aggravation de ces symptômes au cours du traitement devra être réalisée en évaluant les patients à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois ou à chaque visite.

Formes de trouble bipolaire

Lors de l'utilisation de psychostimulants pour le traitement d'un TDAH, une attention particulière devra être portée chez les patients présentant un trouble bipolaire associé (y compris un trouble bipolaire de type I non traité ou d'autres formes de trouble bipolaire), en raison de la survenue possible d'un épisode mixte ou d'un épisode maniaque chez ces patients. Avant d'initier un traitement par méthylphénidate, les patients présentant des symptômes dépressifs associés devront être dépistés correctement afin de déterminer s'ils présentent un risque accru de trouble bipolaire. Ce dépistage devra inclure une anamnèse psychiatrique détaillée, comportant les antécédents familiaux de suicide, de trouble bipolaire et de dépression.

Il est essentiel d'effectuer un suivi étroit et continu de ces patients (voir le paragraphe ci-dessus « Troubles psychiatriques » et rubrique Posologie et mode d'administration). L'apparition de symptômes doit être surveillée à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite.

Croissance

Un ralentissement staturo-pondéral modéré a été rapporté lors de l'administration sur une période prolongée de méthylphénidate chez l'enfant. Une diminution pondérale a été rapportée avec le traitement par méthylphénidate chez l'adulte (voir rubrique Effets indésirables).

A ce jour, les effets du méthylphénidate sur la taille et le poids définitifs de l'enfant sont inconnus et sont actuellement étudiés.

Au cours du traitement par méthylphénidate, la croissance devra être surveillée : la taille, le poids et l'appétit de l'enfant doivent être mesurés au moins tous les 6 mois et une courbe de croissance devra être tenue à jour. Il pourra être nécessaire d'interrompre le traitement chez les patients ne présentant pas la croissance ou la prise de poids attendue. Chez l'adulte, le poids doit faire l'objet d'une surveillance régulière.

Convulsions

Le méthylphénidate doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'épilepsie. Le méthylphénidate peut abaisser le seuil épileptogène chez les patients ayant des antécédents de convulsions, chez les patients ayant présenté des anomalies de l'EEG en l'absence de convulsions et rarement chez des patients sans antécédents de convulsions ni anomalies de l'EEG. En cas d'augmentation de la fréquence des convulsions ou d'apparition de convulsions, le traitement par méthylphénidate devra être arrêté.

Priapisme

Des érections prolongées et douloureuses ont été signalées avec des produits à base de méthylphénidate, principalement en association avec une modification du schéma du traitement par méthylphénidate. Les patients qui développent des érections anormalement prolongées ou fréquentes et douloureuses doivent immédiatement demander conseil à un médecin.

Utilisation avec des médicaments sérotoninergiques

Un syndrome sérotoninergique a été rapporté après l'administration concomitante de méthylphénidate avec des médicaments sérotoninergiques. Si l'utilisation concomitante de méthylphénidate avec un médicament sérotoninergique est justifiée, la reconnaissance rapide des symptômes du syndrome sérotoninergique est importante. Ces symptômes peuvent inclure des modifications de l'état mental (par exemple, agitation, hallucinations, coma), une instabilité du système nerveux autonome (par exemple, tachycardie, pression artérielle labile, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par exemple, hyperréflexie, mauvaise coordination, rigidité) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par exemple, nausées, vomissements, diarrhée). En cas de suspicion d'un syndrome sérotoninergique, le traitement par méthylphénidate doit être arrêté le plus rapidement possible.

Abus, mésusage et usage détourné

Le risque d'usage détourné (distribution illicite), de mésusage ou d'abus de méthylphénidate doit être étroitement surveillé.

Le méthylphénidate doit être administré avec précaution chez les patients ayant une dépendance connue aux drogues ou à l'alcool en raison du risque d'abus, de mésusage, ou d'usage détourné.

Une utilisation chronique abusive de méthylphénidate peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique, associées à des troubles comportementaux d'intensité variable. Des épisodes psychotiques caractérisés peuvent survenir, en particulier lors d'une utilisation abusive par voie parentérale.

L'âge du patient, la présence de facteurs de risque de mésusage d'une substance (tels qu'un trouble oppositionnel avec provocation, un trouble de la conduite ou un trouble bipolaire) ainsi qu'un abus de substances antérieur ou actuel par le patient doivent être pris en compte avant de décider l'initiation d'un traitement d'un TDAH. Il est recommandé d'être prudent chez les patients présentant une instabilité émotionnelle, comme chez ceux ayant des antécédents de dépendance aux drogues ou à l'alcool, en raison d'une augmentation possible des doses par les patients.

Pour les patients présentant un risque élevé d'usage médicamenteux abusif, l'utilisation du méthylphénidate et d'autres psychostimulants peut ne pas être adaptée, un traitement par un médicament non stimulant devra alors être envisagé.

Sevrage

Il est indispensable de surveiller attentivement le patient à l'arrêt du traitement par méthylphénidate, car une dépression ou une hyperactivité chronique peuvent alors être révélée. En conséquence, un suivi prolongé pourra s'avérer nécessaire chez certains patients.

Une surveillance attentive du patient devra être effectuée au cours d'un sevrage pour utilisation abusive de méthylphénidate, en raison d'un risque d'apparition d'une dépression sévère.

Fatigue

Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé pour la prévention ou le traitement d'états de fatigue normaux.

Excipients de CONCERTA LP :

Ce médicament contient du lactose : les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

Chaque comprimé contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».

Choix de la formulation de méthylphénidate

Le choix de la formulation du médicament contenant du méthylphénidate, devra être effectué par le médecin spécialiste au cas par cas ; ce choix dépendra de la durée de l'effet souhaitée.

Contrôle anti-dopage

Le méthylphénidate peut donner des résultats faussement positifs lors de la recherche d'amphétamines, notamment avec les immunoessais. Les sportifs doivent avoir connaissance que ce médicament peut entraîner une réaction positive aux tests "anti-dopage".

Insuffisance rénale ou hépatique

Il n'y a pas de données sur l'utilisation de méthylphénidate chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique.

Surveillance hématologique

La tolérance à long terme du méthylphénidate n'est pas totalement connue. Un arrêt du traitement devra être envisagé en cas de leucopénie, thrombocytopénie, anémie ou autres modifications incluant celles indiquant une insuffisance rénale ou hépatique sévère (voir rubrique Effets indésirables).

Risque d'obstruction gastro-intestinale

Les comprimés de CONCERTA LP ne se déforment pas et ne changent pas significativement de forme au niveau du tractus gastro-intestinal (GI). En conséquence, les comprimés ne doivent généralement pas être administrés chez les patients présentant un rétrécissement gastro-intestinal (pathologique ou iatrogène) sévère ou chez les patients présentant une dysphagie ou ayant d'importantes difficultés à avaler des comprimés. De rares cas de symptômes obstructifs ont été rapportés chez des patients ayant des sténoses connues lors de l'ingestion de médicaments présentés sous une formulation à libération prolongée ne se déformant pas.

Du fait de sa formulation à libération prolongée, CONCERTA LP ne doit être administré que chez des patients pouvant avaler le comprimé en entier. Les patients doivent être informés que le comprimé doit être avalé entier avec une boisson. Les comprimés ne doivent être ni mâchés, ni divisés, ni écrasés. Le médicament est contenu dans une enveloppe non absorbable destinée à libérer le principe actif de façon contrôlée. L'enveloppe du comprimé est éliminée de l'organisme ; les patients ne doivent pas s'inquiéter de la présence, de temps à autre, de cette enveloppe dans les selles.

Précautions d'emploi

Cardiopathie

Symptomatologie cardiovasculaire

Symptômes neurologiques

Symptômes psychiatriques

Trouble psychiatrique

Antécédent familial de syndrome de Gilles de la Tourette

Troubles de la croissance

Anomalie de l'électroencéphalogramme

Augmentation de la fréquence des crises convulsives

Priapisme

Etat de dépendance

Facteur de risque de mésusage d'un médicament

Instabilité émotionnelle

Insuffisant rénal

Insuffisant hépatique

Leucopénie

Thrombocytopénie

Anémie

Rétrécissement lumière gastro-intestinale

Dysphagie

Patient de 18 à 65 ans

Aptitude à conduire

Le méthylphénidate peut provoquer des sensations vertigineuses, de la somnolence ou des troubles visuels, y compris des difficultés d'accommodation, une diplopie et une vision floue. Il peut avoir une influence modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Les patients doivent être informés de ces effets possibles et avertis, qu'en cas de survenue, ils doivent éviter les activités potentiellement dangereuses telles que la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.

Interaction avec d'autre médicaments

Interaction pharmacocinétique

L'effet du méthylphénidate sur les concentrations plasmatiques de médicaments administrés de façon concomitante n'est pas connu. Par conséquent, la prudence est recommandée lors de l'association de méthylphénidate avec d'autres médicaments, notamment avec les médicaments à faible marge thérapeutique.

Le cytochrome P450 n'intervient pas de façon cliniquement significative dans le métabolisme du méthylphénidate.

Une modification significative de la pharmacocinétique du méthylphénidate par l'administration d'inducteurs ou d'inhibiteurs du cytochrome P450 n'est pas attendue. Inversement, les énantiomères d- et l- du méthylphénidate n'inhibent pas de façon significative les cytochromes P450 1A2, 2C8, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 ou 3A.

Cependant, des cas d'inhibition possible du métabolisme des anticoagulants coumariniques, des antiépileptiques (par exemple, phénobarbital, phénytoïne, primidone) et de certains antidépresseurs (antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) ont été rapportés. A l'initiation ou à l'arrêt du traitement par méthylphénidate, il peut être nécessaire d'adapter la posologie des médicaments associés et de doser leurs concentrations plasmatiques (ou, dans le cas des anticoagulants coumariniques, le temps de coagulation).

Interactions pharmacodynamiques

Antihypertenseurs

Le méthylphénidate peut diminuer l'efficacité des médicaments utilisés pour traiter l'hypertension.

Utilisation concomitante de médicaments augmentant la tension artérielle

La prudence est recommandée chez les patients traités par méthylphénidate et recevant un autre médicament pouvant augmenter la pression artérielle (voir également les paragraphes relatifs aux affections cardiovasculaires et vasculaires cérébrales de la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

En raison de la possibilité de poussée hypertensive, le méthylphénidate est contre-indiqué chez les patients traités (traitement en cours ou au cours des 2 semaines précédentes) par des inhibiteurs irréversibles et non sélectifs de la MAO (voir rubrique Contre-indications).

Consommation d'alcool

L'alcool peut exacerber les effets indésirables centraux des médicaments psychotropes, y compris du méthylphénidate. Les données in vitro révèlent que des concentrations d'alcool supérieures à 10 % augmentent la libération cumulée de MPH des comprimés de Concerta LP. La pertinence clinique de ce résultat sur l'exposition au MPH après l'ingestion orale de Concerta LP en association avec de l'alcool est inconnue. Il est donc recommandé aux patients de s'abstenir de consommer de l'alcool au cours du traitement.

Utilisation avec des médicaments sérotoninergiques

Des cas de syndrome sérotoninergique ont été rapportés après l'administration concomitante de méthylphénidate avec des médicaments sérotoninergiques. Si l'utilisation concomitante de méthylphénidate avec un médicament sérotoninergique est justifiée, la reconnaissance rapide des symptômes du syndrome sérotoninergique est importante (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). En cas de suspicion d'un syndrome sérotoninergique, le traitement par méthylphénidate doit être arrêté le plus rapidement possible.

Utilisation d'agents anesthésiques halogénés

Il existe un risque de poussée hypertensive et d'augmentation du rythme cardiaque peropératoire. En cas d'intervention programmée, le traitement par méthylphénidate ne devra pas être administré le jour de l'intervention.

Utilisation d'agonistes alpha-2 adrénergiques centraux (ex. clonidine)

Des effets indésirables graves, y compris la mort subite, ont été rapportés lors de l'utilisation concomitante avec la clonidine. La sécurité à long terme de l'utilisation du méthylphénidate en association avec la clonidine ou avec d'autres agonistes alpha-2-adrénergiques centraux n'a pas été évaluée de manière systématique.

Utilisation en association avec des médicaments dopaminergiques

La prudence est recommandée lors de l'administration de méthylphénidate en association avec des médicaments dopaminergiques, y compris les antipsychotiques. Le méthylphénidate augmente principalement les taux extracellulaires de dopamine ; de ce fait, le méthylphénidate peut provoquer des interactions pharmacodynamiques lorsqu'il est administré avec des agonistes directs ou indirects de la dopamine (y compris la L-DOPA et les antidépresseurs tricycliques) ou avec les antagonistes de la dopamine (y compris les antipsychotiques).


Informations complémentaires pour CONCERTA LP 54 milligrammes cp LP

Documents associés

CONCERTA_LP_22022023_TRANSCRIPTION_CT20078

Télécharger le document

CONCERTA_LP_22022023_AVIS_CT20078

Télécharger le document

CONCERTA_LP_CONTRIBUTION_HYPERSUPERS_TDAH_FRANCE_CT20078

Télécharger le document

CONCERTA_LP_22022023_SYNTHESE_CT20078

Télécharger le document

CONCERTA_LP_24062020_SYNTHESE_CT18471

Télécharger le document

REEVALUATION_METHYLPHENIDATE_10062020_TRANSCRIPTION_CTEVAL485

Télécharger le document

REEVALUATION_METHYLPHENIDATE_24062020_RAPPORT_CTEVAL485

Télécharger le document

CONCERTA_LP_24062020_AVIS_CT18471

Télécharger le document

VOUS et ...le traitement du trouble déficit de l'attention/ hyperactivité (TDAH) par méthylphénidate

Télécharger le document

Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur

Télécharger le document

Q/R « Vous et votre traitement en cas de vague de chaleur »

Télécharger le document

Conservation des médicaments en cas de vague de chaleur

Télécharger le document

Méthylphénidate : données d'utilisation et de sécurité d'emploi en France

Télécharger le document

CONCERTA_LP_03062015_AVIS_CT13455

Télécharger le document

VOUS et ...le traitement du trouble déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH) par méthylphénidate

Télécharger le document

Données d'utilisation et mesures visant à sécuriser l'emploi du méthylphénidate en France : publication par l'ANSM d'un rapport d'analyse et d'une brochure d'information à destination des patients et de leur entourage

Télécharger le document

Methylphenidate - Rappel des conditions de prescription, de delivrance et d'utilisation des medicaments contenant du chlorhydrate de methylphenidate, ainsi que des recommandations de surveillance de ses effets indesirables

Télécharger le document

L'ANSM interdit l'utilisation de 3 plantes et de 26 substances actives dans les préparations à visée amaigrissante réalisées en pharmacie : Communiqué de presse

Télécharger le document

L'ANSM interdit l'utilisation de 3 plantes et 26 substances actives dans les préparations à visée amaigrissante réalisées en pharmacie : Point d'information

Télécharger le document

Décision du 12/04/2012 portant interdiction d'importation, de préparation, de prescription et de délivrance de préparations magistrales, officinales et hospitalières définies à l'article L. 5121-1 du code de la santé pub lique,

Télécharger le document

Liste de médicaments sous surveillance : les médicaments faisant l'objet d'une surveillance renforcée dès le début de leur commercialisation.

Télécharger le document

RITALINE ou médicaments contenant du METHYLPHENIDATE : Recommandations de l'agence européenne visant à limiter les risques liés à l'administration.

Télécharger le document

Psychiatrie : Livret AFSSaPS Médicaments et Grossesse Version N°4.

Télécharger le document

Excipients

Butylhydroxytoluène, Cellulose acétate, Hypromellose, Phosphorique acide, Poloxamère, Polyéthylène oxyde, Povidone, Sodium chlorure, Stéarique acide, Succinique acide, Fer oxyde, Fer oxyde, Fer oxyde, Pelliculage : Fer oxyde, Fer oxyde, Hypromellose, Lactose monohydraté, Titane dioxyde, Triacétine, Film transparent : Cire de carnauba, Hypromellose, Macrogol 400, Encre d'impression : Fer oxyde, Hypromellose, Propylène glycol

Exploitant / Distributeur

JANSSEN CILAG

167 quai de la bataille de Stalingrad

92130

ISSY LES MOULINEAUX

Code UCD7 : 9256675

Code UCD13 : 3400892566757

Code CIS : 60047182

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : JANSSEN CILAG

Laboratoire exploitant : JANSSEN CILAG

Prix vente TTC : 21.21€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 21.21€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 28/03/2003

Rectificatif AMM : 13/01/2025

Marque : CONCERTA

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400936155640

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 54 milligrammes, comprimé à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Comprimé à libération prolongée

METHYLPHENIDATE EG LP 54 milligrammes, comprimé à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Comprimé à libération prolongée

METHYLPHENIDATE VIATRIS LP 54 milligrammes, comprimé à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Comprimé à libération prolongée

Besoin d'aide ?

Visitez notre centre de support ou contactez-nous !

Rendez-vous et téléconsultation
avec vos professionnels de santé


  • Maiia - © 2025 Tous droits réservés

    Version 1.248.0.295

    Les professionnels de santé ayant souscrit à la prise de rendez-vous en ligne apparaissent en priorité dans les pages de recherche et d'annuaire.