FLAGYL
Les gammes de produits
Non remboursé
Sur prescription seulement
Forme :
Ovule
Catégories :
Gynécologie, Traitement des vulvovaginites, Nitro-5 imidazolés par voie systémique, Métronidazole
Principes actifs :
Métronidazole
Vaginite à Trichomonas, Vaginite non spécifique
Adulte Femme . Traitement local. Vaginite à Trichomonas (implicite)
1 ovule le soir pendant 10 jours.
Adulte Femme . Traitement local. Vaginite non spécifique
1 ovule le soir pendant 7 jours.
Voie vaginale
ARRETER LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN
en cas de :
- Réaction allergique sévère et soudaine : oppression dans la poitrine,
vertiges, nausées ou évanouissement.
- Rougeur se généralisant à tout le corps avec des pustules et accompagnée de
fièvre.
- Difficulté à coordonner les mouvements, état de confusion, convulsions,
difficultés pour parler, pour marcher, tremblements, mouvements involontaires
des yeux, manifestations au niveau des mains et des pieds telles que des
fourmillements, picotements, sensations de froid, engourdissements, diminution
de la sensibilité du toucher.
- Troubles du comportement.
EVITER la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool
pendant le traitement.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines
(vertiges, confusion, hallucinations, convulsions, troubles de la vision).
Anorexie
Céphalée
Choc anaphylactique
Confusion mentale
Convulsions
Diarrhée
Glossite
Insuffisance hépatocellulaire
Mycose
Myopie
Névrite optique
Oedème de Quincke
Pancréatite
Paranoïa
Stomatite
Thrombopénie
Troubles digestifs
Urticaire
Vertige
Idée suicidaire
Agranulocytose
Eruption cutanée
Syndrome de Lyell
Elévation des phosphatases alcalines
Diplopie
Hallucinations
Syndrome de Stevens-Johnson
Ataxie
Délire
Dysarthrie
Neutropénie
Tremblement
Trouble du goût
Troubles de la marche
Méningite aseptique
Nystagmus
Troubles visuels
Neuropathie
Encéphalopathie
Elévation des enzymes hépatiques
Douleur épigastrique
Vision trouble
Elévation des ALAT
Elévation des ASAT
Réaction psychotique
Humeur dépressive
Coloration brun-rouge des urines
Nausée
Vomissement
Neuropathie sensitive périphérique
Erythème pigmenté fixe
Prurit cutané
Diminution de l'acuité visuelle
Bouffée congestive
Décoloration de la langue
Eruption cutanée fébrile
Sensation de sécheresse de la bouche
Pustule
Acte suicidaire
Altération de la vision des couleurs
Syndrome cérébelleux subaigu
Modification de l'aspect de la langue
Affections hématologiques et du système lymphatique
· Neutropénie, agranulocytose, thrombopénie.
Affections cardiaques
· Fréquence indéterminée : des cas d'allongements de l'intervalle QT ont été rapportés, en particulier lorsque le métronidazole est administré avec des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT.
Affections psychiatriques
· Hallucinations,
· Réactions psychotiques avec paranoïa et/ou délire pouvant s'accompagner de manière isolée d'idées ou d'actes suicidaires (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi),
· Humeur dépressive.
Affections du système nerveux
· Neuropathies sensitives périphériques,
· Céphalées,
· Vertiges,
· Confusion,
· Convulsions,
· Encéphalopathie pouvant être associés à des modifications de l'IRM généralement réversibles à l'arrêt du traitement. D'exceptionnels cas d'évolution fatale ont été rapportés (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi),
· Syndrome cérébelleux subaigu (ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche, nystagmus, tremblements) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi),
· Méningite aseptique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections oculaires
· Troubles visuels transitoires tels que vision trouble, diplopie, myopie, diminution de l'acuité visuelle, changement dans la vision des couleurs,
· Neuropathies/névrites optiques.
Affections gastro-intestinales
· Troubles digestifs bénins (douleurs épigastriques, nausées, vomissements, diarrhée),
· Glossites avec sensation de sécheresse de la bouche, stomatites, troubles du goût, anorexie,
· Pancréatites réversibles à l'arrêt du traitement,
· Décoloration ou modification de l'aspect de la langue (mycose).
Affections hépatobiliaires
· Elévations des enzymes hépatiques (ALAT, ASAT, phosphatases alcalines), très rares cas d'atteinte hépatique aiguë de nature cytolytique (parfois ictérique), cholestatique ou mixte. Des cas isolés d'insuffisance hépatocellulaire pouvant nécessiter une transplantation hépatique ont été rapportés.
· Des cas d'hépatotoxicité sévère irréversible/insuffisance hépatique aiguë, y compris des cas d'issue fatale avec une apparition très rapide après l'initiation de l'utilisation systémique du métronidazole, ont été rapportés chez des patients atteints du syndrome de Cockayne (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
· Bouffées congestives, prurit, éruption cutanée parfois fébrile,
· Urticaire, oedème de Quincke, choc anaphylactique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi),
· Très rares cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi),
· Syndrome de Lyell,
· Syndrome de Stevens-Johnson,
· Erythème pigmenté fixe.
Divers
· Apparition d'une coloration brun-rougeâtre des urines due à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr
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Hypersensibilité/peau et annexes
Des réactions d'allergie, y compris des chocs anaphylactiques, peuvent survenir et mettre en jeu le pronostic vital (voir rubrique Effets indésirables). Dans ce cas, le métronidazole doit être interrompu et un traitement médical adapté doit être mis en place.
La survenue, en début de traitement, d'un érythème généralisé fébrile associé à des pustules, doit faire suspecter une pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique Effets indésirables) ; elle impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de métronidazole seul ou associé.
Des cas de réactions cutanées sévères incluant syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, Pustulose Exanthématique Aiguë Généralisée (PEAG) ont été rapportés avec le metronidazole. Les patients doivent être informés des signes et symptômes et une surveillance cutanée rapprochée doit être pratiquée.
La survenue de signes ou symptômes du Syndrome de Stevens-Jonhson, Syndrome de Lyell (par exemple : éruption progressive souvent accompagnée de bulles ou de lésions des muqueuses) ou AGEP (érythème généralisé fébrile associé à des pustules) (voir rubrique Effets indésirables) impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de métronidazole seul ou associée.
Système nerveux central
Si des symptômes évocateurs d'encéphalopathie ou de syndrome cérébelleux (par exemple : ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche, nystagmus, tremblements, vertiges, confusions, convulsions, neuropathies sensitives périphériques, céphalées (voir rubrique Effets indésirables)) apparaissent, la prise en charge du patient doit être immédiatement réévaluée et le traitement par le métronidazole doit être arrêté.
Des cas d'encéphalopathie ont été rapportés avec le métronidazole lors de la surveillance post-commercialisation. Des cas de modifications de l'IRM associées à une encéphalopathie ont également été observés (voir rubrique Effets indésirables). Les lésions observées sont localisées le plus fréquemment dans le cervelet (particulièrement dans le noyau dentelé) et dans le splenium du corps calleux. La plupart des cas d'encéphalopathie et de modifications de l'IRM sont réversibles à l'arrêt du traitement. D'exceptionnels cas d'évolution fatale ont été rapportés.
Surveiller l'apparition de signes évocateurs d'encéphalopathie ou en cas d'aggravation chez des malades atteints d'affection neurologique centrale.
En cas de méningite aseptique sous métronidazole, la réintroduction du traitement est déconseillée ou doit faire l'objet d'une appréciation du rapport bénéfice-risque en cas d'infection grave.
Système nerveux périphérique
Surveiller l'apparition de signes évocateurs de neuropathies périphériques, en particulier en cas de traitement prolongé ou chez les malades atteints d'affections neurologiques périphériques sévères, chroniques ou évolutives.
Troubles psychiatriques
Des réactions psychotiques avec possible comportement à risque pour le patient, peuvent survenir dès les premières prises du traitement, notamment en cas d'antécédents psychiatriques (voir rubrique Effets indésirables). Le métronidazole doit alors être arrêté, le médecin informé et les mesures thérapeutiques nécessaires prises immédiatement.
Lignée sanguine
En cas d'antécédents de troubles hématologiques, de traitement à forte dose et/ou de traitement prolongé, il est recommandé de pratiquer régulièrement des examens sanguins, particulièrement le contrôle de la formule leucocytaire.
En cas de leucopénie, l'opportunité de la poursuite du traitement dépend de la gravité de l'infection.
Interactions médicamenteuses
L'utilisation concomitante de métronidazole et d'alcool est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
L'utilisation concomitante de métronidazole et de busulfan est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
L'utilisation concomitante de métronidazole et de disulfirame est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Interférence avec les examens paracliniques et les tests de laboratoire
Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson.
Le métronidazole peut interférer avec certains types de tests sanguins (alanine aminotransférase [ALAT], aspartate aminotransférase [ASAT], lactate déshydrogénase [LDH], triglycérides, glucose), ce qui peut conduire à un faux négatif ou à un résultat anormalement bas. Ces méthodes analytiques sont basées sur une diminution de l'absorbance dans l'ultraviolet, ce qui se produit lorsque le nicotinamide adénine dinucléotide hydrogéné (NADH) est oxydé en nicotinamide adénine dinucléotide (NAD). Cette interférence est due à la similarité des pics d'absorption du NADH (340 nm) et du métronidazole (322 nm) à pH 7.
Autres
Un traitement par le métronidazole ne doit pas être prescrit pendant plus de 10 jours et ne doit pas être répété plus de 2 à 3 fois par an.
L'utilisation de cet ovule avec des préservatifs ou des diaphragmes peut augmenter le risque de rupture du latex.
Hépatotoxicité chez les patients atteints du syndrome de Cockayne
Des cas d'hépatotoxicité sévère/d'insuffisance hépatique aiguë, y compris des cas entraînant une issue fatale avec une survenue très rapide après l'initiation du traitement chez des patients atteints du syndrome de Cockayne, ont été rapportés avec des produits contenant du métronidazole destinés à une utilisation systémique. Dans cette population, le métronidazole ne doit pas être utilisé sauf si le bénéfice est considéré comme supérieur au risque et si aucun traitement alternatif n'est disponible.
Des tests de la fonction hépatique doivent être réalisés juste avant le début du traitement, tout au long de celui-ci et après la fin du traitement, jusqu'à ce que la fonction hépatique se situe dans les limites des valeurs normales, ou jusqu'à ce que les valeurs initiales soient obtenues. Si les tests de la fonction hépatique deviennent nettement élevés pendant le traitement, la prise du médicament doit être interrompue.
Il faut informer les patients atteints du syndrome de Cockayne de rapporter immédiatement tous les symptômes de lésions hépatiques potentielles à leur médecin et d'arrêter la prise de métronidazole (voir rubrique Effets indésirables).
Réaction allergique
Pustulose exanthématique aiguë généralisée
Réaction cutanée sévère
Encéphalopathie
Syndrome cérébelleux
Affection neurologique
Antécédent psychiatrique
Réaction psychotique
Antécédent de trouble hématologique
Leucopénie
Il convient d'avertir les patients du risque potentiel de vertiges, de confusion, d'hallucinations, de convulsions ou de troubles visuels et de leur recommander de ne pas conduire de véhicules ni d'utiliser de machines en cas de survenue de ce type de troubles.
Réaction antabuse
Les médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool sont nombreux, et leur association avec l'alcool est déconseillée.
Associations déconseillées
+ Alcool (boisson ou excipient)
Effet antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Tenir compte de l'élimination complète des médicaments en se référant à leur demi-vie avant la reprise de boissons alcoolisées ou du médicament contenant de l'alcool.
+ Busulfan
Avec le busulfan à fortes doses : doublement des concentrations de busulfan par le métronidazole.
+ Disulfirame
Risque d'épisodes de psychose aiguë ou d'état confusionnel, réversibles à l'arrêt de l'association.
+ Médicaments provoquant un allongement de l'intervalle QT
Des cas d'allongements de l'intervalle QT ont été rapportés, en particulier lorsque le métronidazole est administré avec des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticoagulants oraux
Augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique par diminution de son métabolisme hépatique. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le métronidazole et 8 jours après son arrêt.
+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques (carbamazépine, fosphénytoïne, phénobarbital, phénotoïne, primidone)
Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par l'inducteur.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.
+ Rifampicine
Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt.
+ Lithium
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, avec signes de surdosage en lithium.
Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.
Associations à prendre en compte
+ Fluorouracile (et par extrapolation, tegafur et capécitabine)
Augmentation de la toxicité du fluorouracile par diminution de sa clairance.
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
FLAGYL 17102018 AVIS CT17079
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SANOFI AVENTIS FRANCE
82 avenue Raspail
94250
GENTILLY
Code UCD7 : 9035106
Code UCD13 : 3400890351065
Code CIS : 62708127
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : SANOFI AVENTIS FRANCE
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
Prix vente TTC : 2.37€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 2.37€
Taux SS : 30%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH4
Date AMM : 15/04/1996
Rectificatif AMM : 21/04/2023
Marque : FLAGYL
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400930400173
Référence LPPR : Aucune
Pas d'information disponible
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