LAMALINE
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Suppositoire
Catégories :
Antalgiques, Associations diverses antalgiques et/ou antipyrétiques, Associations opiacées
Principes actifs :
Paracétamol, Opium, Caféine
Douleur modérée à intense
Adulte . Traitement symptomatique. Douleur modérée à intense. Voie rectale (implicite)
1 suppositoire 3 fois par jour selon besoin, en espaçant les prises de 4h minimum. Maximum 6 suppositoires par jour.
Voie rectale
- éruption cutanée ou rougeur cutanée,
- brusque gonflement du visage et/ou du cou,
- malaise brutal avec chute de la pression artérielle,
- troubles sévères de la peau ou des muqueuses avec rougeur, cloques, brûlures, décollement de la peau pouvant rapidement s'étendre de façon très grave à tout le corps.
ARRÊTER LE TRAITEMENT en cas :
- d'hépatite virale
- d'augmentation de la sensibilité à la douleur ou d'aggravation de la douleur initiale après une augmentation de la dose du traitement ou en cas d'apparition d'une douleur anormale, de qualité et de localisation différente de la douleur initiale.
CONSULTER UN MÉDECIN en cas de :
- Saignements de nez ou des gencives.
- Signes de dépendance ou d'addiction :
- Besoin de prendre le médicament pendant une durée supérieure à celle recommandée par le médecin.
- Besoin de prendre une dose supérieure à la dose recommandée.
- Utilisation du médicament pour des raisons autres que celles pour lesquelles il a été prescrit à l'origine, par exemple "pour rester calme" ou "pour s'aider à dormir".
- Tentatives répétées et infructueuses d'arrêter ou de contrôler l'utilisation du médicament.
- Se sentir mal à l'arrêt et se sentir mieux à la reprise du médicament.
PRÉVENIR LE MÉDECIN de la prise de ce médicament en cas de prescription d'un bilan sanguin comprenant un dosage du taux d'acide urique ou de sucre dans le sang.
ÉVITER la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool pendant le traitement.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence).
SPORTIF : substance dopante.
Réaction d'hypersensibilité
Réaction cutanée sévère
Leucopénie
Thrombopénie
Neutropénie
Choc anaphylactique
Constipation
Dysurie
Insomnie
Oedème de Quincke
Palpitation
Prurit
Rétention urinaire
Urticaire
Urticaire allergique
Bronchospasme
Syndrome de Lyell
Cauchemars
Excitation
Syndrome de Stevens-Johnson
Confusion
Dépression respiratoire
Myosis
Pancréatite aiguë
Pharmacodépendance
Somnolence
Sédation
Syndrome de sevrage
Euphorie
Etat vertigineux
Erythème cutané
Augmentation de la pression intracrânienne
Nausée
Vomissement
Dysphorie
Pustulose exanthématique aiguë généralisée
Syndrome douloureux abdominal aigu
Rash cutané
Hallucination
Hyperalgésie
Acidose pyroglutamique
LIES AU PARACETAMOL
Les effets indésirables suivants ont été rapportés chez des patients traités par paracétamol seul :
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Acidose métabolique à trou anionique élevé (fréquence « indéterminée » (ne peut être estimée à partir des données disponibles)).
Description des effets indésirables sélectionnés
Acidose métabolique à trou anionique élevé
Des cas d'acidose métabolique à trou anionique élevé due à une acidose pyroglutamique ont été observés chez des patients présentant des facteurs de risque et prenant du paracétamol (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Une acidose pyroglutamique peut survenir chez ces patients en raison des faibles taux de glutathion.
LIES A L'EXTRAIT D'OPIUM
Les effets indésirables de l'extrait d'opium sont comparables à ceux des autres opiacés. Possibilité de :
Syndrome de sevrage (lors d'une utilisation prolongée à des doses supra-thérapeutiques).
Pharmacodépendance
L'utilisation répétée de LAMALINE peut entraîner une dépendance aux médicaments (pharmacodépendance), même aux doses thérapeutiques. Le risque de pharmacodépendance peut varier en fonction des facteurs de risque individuels du patient, de la posologie et de la durée du traitement par opioïdes (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
LIES A LA CAFEINE
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr
Voir plus
Grossesse
La présence d'extrait d'opium conditionne la conduite à tenir.
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de certaines substances contenues dans l'extrait d'opium (ex : morphine, codéine).
Il n'existe pas de données cliniques suffisamment pertinentes pour évaluer le risque malformatif de ce médicament dans l'espèce humaine. En cas d'administration en fin de grossesse, tenir compte des propriétés morphinomimétiques de ce médicament et envisager une surveillance néonatale :
Par conséquent, LAMALINE, suppositoire ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse à moins d'une nécessité absolue.
Allaitement
Le passage de cette spécialité dans le lait maternel n'est pas connu. Toutefois, en raison de la présence de dérivés morphinomimétiques et du passage de la morphine dans le lait maternel, ce médicament est contre-indiqué lors de l'allaitement.
Mises en garde spéciales
Ce médicament contient du paracétamol. Pour éviter un risque de surdosage, vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments associés. LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 4 GRAMMES PAR JOUR (voir rubrique Surdosage). Dans les situations suivantes, la dose totale de 3 grammes/jour ne devra pas être dépassée (voir rubrique Posologie et mode d'administration) :
Tolérance et trouble de l'usage d'opioïdes (abus et pharmacodépendance)
L'administration répétée d'opioïdes tels que LAMALINE peut entraîner une accoutumance, une dépendance physique et psychologique et un trouble de l'usage d'opioïdes (TUO). L'utilisation répétée de LAMALINE peut induire un trouble de l'usage d'opioïdes (TUO). Plus la dose est élevée et plus la durée du traitement par opioïdes est prolongée, plus le risque de développer un TUO sera accru. L'abus ou le mésusage intentionnel de LAMALINE peuvent entraîner un surdosage et/ou le décès. Le risque de développer un TUO est accru chez les patients présentant des antécédents personnels ou familiaux (parents ou frères et sœurs) de troubles liés à la consommation de substances (y compris l'alcoolisme), chez les fumeurs actifs ou chez les patients ayant des antécédents personnels de problèmes de santé mentale (par ex. dépression majeure, anxiété et trouble de la personnalité).
Avant l'instauration du traitement par LAMALINE et pendant toute la durée du traitement, les objectifs thérapeutiques et un plan d'arrêt du traitement doivent être convenus avec le patient (voir rubrique Posologie et mode d'administration). Avant et pendant le traitement, le patient doit également être informé des risques et des signes du TUO. Si ces signes apparaissent, il est conseillé aux patients de contacter leur médecin.
Les patients devront être surveillés pour détecter les signes de consommation excessive de médicament (par ex. des demandes de renouvellement trop précoces). Cela inclut l'examen des opioïdes et des médicaments psychoactifs concomitants (comme les benzodiazépines). Pour les patients présentant des signes et symptômes de TUO, il convient d'envisager une consultation avec un spécialiste en addictologie.
LAMALINE ne doit être utilisé qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice-risque, suivant l'étiologie de la douleur et le profil du patient.
Des cas d'acidose métabolique à trou anionique élevé (AMTAE) due à une acidose pyroglutamique ont été rapportés chez les patients atteints d'une maladie grave telle qu'une insuffisance rénale sévère et un sepsis, ou chez les patients souffrant de malnutrition ou d'autres sources de déficit en glutathion (par exemple, l'alcoolisme chronique) qui ont été traités par du paracétamol à une dose thérapeutique pendant une période prolongée ou par une association de paracétamol et de flucloxacilline. En cas de suspicion d'AMTAE due à une acidose pyroglutamique, il est recommandé d'arrêter immédiatement le paracétamol et d'effectuer une surveillance étroite. La mesure de la 5-oxoproline urinaire peut être utile pour identifier l'acidose pyroglutamique comme cause sous-jacente de l'AMTAE chez les patients présentant de multiples facteurs de risque.
Risque lié à l'utilisation concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou autres médicaments apparentés :
L'utilisation concomitante de LAMALINE et de sédatifs tels que les benzodiazépines ou autres médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et la mort. En raison de ces risques, la prescription concomitante avec ces médicaments sédatifs doit être réservée aux patients pour lesquels d'autres options thérapeutiques ne sont pas possibles. Si la décision de prescrire LAMALINE en même temps que des médicaments sédatifs est prise, la dose efficace la plus faible doit être utilisée et la durée du traitement doit être aussi courte que possible.
Les patients doivent être suivis de près pour surveiller la survenue de signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation.
À cet égard, il est fortement recommandé d'informer les patients et leurs soignants afin qu'ils connaissent ces symptômes (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Traitement antiplaquettaire par inhibiteur du P2Y12 par voie orale
Une réduction de l'efficacité du traitement par inhibiteur P2Y12 a été observée, dès le premier jour de traitement concomitant par inhibiteur P2Y12 et morphine (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Précautions d'emploi
Il est recommandé de ne pas dépasser les doses conseillées et de respecter l'intervalle minimal d'administration.
Patients âgés
Chez les personnes âgées et très âgées, la sensibilité particulière aux effets antalgiques mais aussi aux effets centraux (confusion) ou digestifs, associée à une baisse de la fonction rénale, doit inciter à la prudence. La posologie devra être réduite en augmentant l'intervalle entre les prises.
Patients atteints d'insuffisance rénale
La posologie devra être réduite en augmentant l'intervalle entre les prises.
Patients atteints d'insuffisance hépatocellulaire
LAMALINE n'est pas recommandé chez les patients atteints d'insuffisance hépatocellulaire légère à modérée, en raison de l'absence d'évaluation dans cette population.
L'extrait d'opium peut précipiter ou aggraver l'encéphalopathie (voir rubrique Contre-indications).
Sujets porteurs d'un déficit en G6PD
Des cas d'hémolyse aiguë ont été rapportés chez ces patients avec des doses élevées de paracétamol, c'est-à-dire supérieures à la posologie maximale quotidienne recommandée. Il est important de respecter les posologies.
Autres
En cas de découverte d'une hépatite virale aiguë, il convient d'arrêter le traitement.
L'absorption d'alcool est déconseillée pendant le traitement.
Du fait de la présence d'opium, une pathologie urétro-prostatique ou vésicale, fréquente chez le sujet âgé, expose au risque de rétention urinaire.
En cas d'hypertension intracrânienne, l'extrait d'opium risque d'augmenter l'importance de cette hypertension.
La co-prescription de traitements psychotropes, dépresseurs du SNC ou avec un effet anti-cholinergique augmente la survenue d'effets indésirables (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
LAMALINE devra être utilisé avec précaution chez les patients souffrant de troubles convulsifs. L'opium peut abaisser le seuil épileptogène chez les patients ayant des antécédents d'épilepsie.
Il est impératif de s'assurer de l'absence de syndrome occlusif avant de mettre en route le traitement. La constipation est un effet indésirable connu de l'extrait d'opium.
Chez le patient cholécystectomisé, l'extrait d'opium peut provoquer un syndrome douloureux abdominal aigu de type biliaire ou pancréatique, le plus souvent associé à des anomalies biologiques, évocateur d'un spasme du sphincter d'Oddi.
Chez les patients présentant une atteinte du tractus biliaire et une pancréatite, l'administration d'opium doit être prudente et accompagnée d'une surveillance clinique.
En cas de toux productive, l'extrait d'opium peut entraver l'expectoration.
En raison de la présence de caféine, ce médicament peut entraîner une insomnie, éviter la prise en fin de journée.
L'attention des sportifs doit être attirée sur le fait que cette spécialité contient de la morphine et que ce principe actif est inscrit sur la liste des substances dopantes.
Patient de moins de 50 kg
Risque de développer un trouble lié à l'usage d'opioïdes (TUO)
Symptômes de trouble de l'usage d'opioïdes
Prédisposition à une acidose pyroglutamique
Acidose pyroglutamique
Insuffisance rénale (Clcr < 10 ml/mn)
Jeûne prolongé
Sujet âgé
Insuffisance hépatocellulaire légère à modérée
Encéphalopathie
Déficit en G6PD
Hépatite virale aiguë
Pathologie urétroprostatique ou vésicale
Hypertension intracrânienne
Syndrome occlusif intestinal
Trouble convulsif
Antécédent d'épilepsie
Cholécystectomisé
Atteinte des voies biliaires
Pancréatite
Toux productive
Hyperalgie
Les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines doivent être prudents car il existe un risque de somnolence lié à la présence d'extrait d'opium.
LIEES AU PARACETAMOL
+ Anticoagulant oraux :
Risque d'augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/jour) pendant au moins 4 jours. Contrôle régulier de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.
+ Flucloxaciline
Des précautions doivent être prises lorsque le paracétamol est utilisé en même temps que la flucloxacilline, car une prise concomitante a été associée à une acidose métabolique à trou anionique élevé due à une acidose pyroglutamique, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Interférence avec les examens paracliniques
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.
LIEES A L'OPIUM
Associations contre-indiquées
+ Morphiniques agonistes-antagonistes (nalbuphine, buprénorphine, pentazocine) :
Diminution de l'effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
+ Morphiniques antagonistes partiels (naltrexone, nalméfène) :
Risque de diminution de l'effet antalgique.
Associations déconseillées
+ Alcool (boisson ou excipient) :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des analgésiques morphiniques. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation des machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
Associations à prendre en compte
+ Autres analgésiques morphiniques agonistes, antitussifs morphine-like, antitussifs morphiniques vrais, barbituriques :
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.
+ Médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou les médicaments apparentés :
L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou les médicaments apparentés augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison d'un effet dépresseur additif sur le SNC. La dose et la durée de l'utilisation concomitante doivent être limitées (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Autres dépresseurs du SNC : antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques H1 sédatifs, anxiolytiques et hypnotiques, neuroleptiques, clonidine et apparentés, thalidomide :
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation des machines.
Une exposition retardée et réduite au traitement antiplaquettaire par inhibiteur du P2Y12 par voie orale a été observée chez des patients atteints du syndrome coronarien aigu traités par morphine. Cette interaction peut être liée à une diminution de la motilité gastro-intestinale et s'applique aux autres opioïdes. Même si les conséquences cliniques ne sont pas connues, les données indiquent une réduction potentielle de l'efficacité des inhibiteurs de P2Y12 chez les patients co-traités avec la morphine et inhibiteur de P2Y12 (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Chez les patients atteints du syndrome coronarien aigu, chez qui la morphine ne peut être retirée et pour lesquels une inhibition rapide de P2Y12 est jugée cruciale, l'utilisation d'un inhibiteur de P2Y12 par voie parentérale peut être envisagée.
L'utilisation concomitante de LAMALINE avec des gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) peut entraîner une dépression respiratoire, une hypotension, une sédation profonde, un coma ou le décès (voir section 4.4).
LIEES A LA CAFEINE
Associations déconseillées
+ Enoxacine :
Augmentation des concentrations plasmatiques de caféine pouvant entraîner excitations et hallucinations, par diminution de son métabolisme hépatique.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Dipyridamole :
Avec le dipyridamole par voie injectable : réduction de l'effet vasodilatateur du dipyridamole par la caféine. Interrompre un traitement à base de caféine au moins 5 jours avant une imagerie myocardique avec le dipyridamole et éviter la consommation de café, thé, chocolat ou cola dans les 24 heures qui précèdent le test.
Associations à prendre en compte
+ Lithium :
En cas d'arrêt brutal de la consommation de café ou de médicaments contenant de la caféine, risque d'augmentation de la lithémie.
+ Stiripentol :
Augmentation possible des concentrations plasmatiques de caféine par diminution du métabolisme hépatique de la caféine.
+ Mexilétine, norfloxacine, ciprofloxacine :
Augmentation des concentrations plasmatiques de caféine, par diminution du son métabolisme hépatique
Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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VIATRIS MEDICAL
Code UCD7 : 9103003
Code UCD13 : 3400891030037
Code CIS : 62672962
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : VIATRIS MEDICAL
Laboratoire exploitant : VIATRIS MEDICAL
Prix vente TTC : 2.27€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 2.27€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 20/09/1999
Rectificatif AMM : 08/01/2025
Marque : LAMALINE
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400935173010
Référence LPPR : Aucune
LAMALINE SUP 10. (détails indisponibles)
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