NOVOPULMON NOVOLIZER
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Poudre pour inhalation buccale
Catégories :
Pneumologie, Anti-asthmatiques/BPCO, Corticoïdes pour inhalation, Budésonide
Principes actifs :
Budésonide
Asthme persistant
Enfant de 6 ans à 12 ans . Traitement initial. Asthme persistant. Voie inhalée (implicite)
200 µg 2 fois par jour à inhaler avant les repas.
ou 1 inhalation 2 fois par jour à inhaler avant les repas.
Enfant de 6 ans à 12 ans . Traitement des cas légers à modérés. Asthme persistant. Voie inhalée
400 µg le soir à inhaler avant les repas. Maximum 400 µg par jour.
ou 2 inhalations le soir à inhaler avant les repas. Maximum 2 inhalations par jour.
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Traitement initial. Asthme persistant. Voie inhalée (implicite)
400 µg 2 fois par jour à inhaler avant les repas.
ou 2 inhalations 2 fois par jour à inhaler avant les repas.
Adulte - Enfant de plus de 12 ans . Traitement des cas légers à modérés. Asthme persistant. Voie inhalée
400 µg le soir à inhaler avant les repas. Maximum 800 µg par jour.
ou 2 inhalations le soir à inhaler avant les repas. Maximum 4 inhalations par jour.
Voie inhalée
- Les patients qui, malgré plusieurs tentatives, ne parviennent pas à effectuer correctement les inhalations doivent consulter leur médecin.
CONTACTER LE MEDECIN en cas de vision floue ou d'autres troubles visuels.
ATTIRER l'attention du sportif sur le fait que cette spécialité
contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des
tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
Anxiété
Cataracte
Dépression
Tremblement
Vision floue
Spasme musculaire
Agitation
Ecchymose
Eczéma
Nervosité
Oedème de Quincke
Retard de croissance
Urticaire
Bronchospasme
Réaction d'hypersensibilité
Réaction anaphylactique
Erythème cutané
Prurit cutané
Rash cutané
Inhibition de la fonction corticosurrénale
Anomalie du comportement
Diminution de la densité osseuse
Agressivité
Glaucome
Infection
Réaction allergique
Trouble du sommeil
Hyperactivité psychomotrice
Trouble de l'adaptation au stress
Le tableau ci-après présente les effets indésirables possibles du médicament, classés par classe organe et par fréquence.
Les fréquences de survenue adoptées sont définies de la façon suivante : Très fréquent (≥ 1/10); fréquent (≥ 1/100 à < 1/10); peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100); rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000); très rare (< 1/10 000); fréquence indéterminée (la fréquence de survenue ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Tableau sur les réactions indésirables classées par classe organe (SOC) et par fréquence
* voir population pédiatrique ci-dessous
** rare chez l'enfant
Parfois, les signes ou les symptômes des effets systémiques de la classe des glucocorticosteroïdes peuvent survenir avec les glucocorticosteroïdes inhalés, dépendant probablement de la dose, du temps d'exposition, de l'exposition concomitante et précédente à des corticostéroïdes, et de la sensibilité individuelle.
Description de certaines réactions indésirables
Les essais cliniques avec 13119 patients sous budésonide inhalé et 7278 patients sous placebo ont été mis en commun. La fréquence de l'anxiété était de 0.52 % sous budésonide inhalé et 0.63 % sur le placebo ; celle de la dépression était de 0.67 % sous budésonide inhalé et 1.15 % sous placebo.
Dans les études contrôlées versus placebo, la cataracte a été peu fréquemment rapportée dans le groupe placebo.
De légères irritations des muqueuses s'accompagnant d'irritation de la gorge, de raucité de la voix et de toux sont souvent observées.
Le risque d'infections peut être augmenté. Les réactions physiologiques d'adaptation au stress peuvent être diminuées.
Il y a un risque accru de pneumonie chez des patients dont la BPCO a été nouvellement diagnostiquée et qui commencent un traitement par corticoïdes inhalés. Cependant, une évaluation pondérée de 8 études cliniques poolées incluant 4643 patients présentant une BPCO, traités avec du budésonide et 3643 patients randomisés recevant des traitements non corticoïdes inhalés n'a pas mis en évidence de risque accru de pneumonie. Les résultats des 7 premières études ont été publiés sous forme de méta-analyse.
Le lactose monohydraté contient de faibles quantités de protéines de lait qui peuvent induire la survenue de réactions allergiques.
Population pédiatrique
En raison du risque de retard de croissance dans la population pédiatrique, la croissance devra être contrôlée comme indiqué dans la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/
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Grossesse
La plupart des résultats des études épidémiologiques prospectives et les données post-marketing mondiales n'ont pas révélé une augmentation du risque d'effets indésirables pour le foetus et le nouveau-né associé à l'utilisation du budésonide inhalé pendant la grossesse. Il est important pour le foetus et pour la mère de maintenir un traitement adéquat de l'asthme pendant la grossesse. Comme avec les autres médicaments administrés pendant la grossesse, l'avantage de l'administration de budésonide pour la mère doit être pesé par rapport aux risques pour le foetus.
Allaitement
Le budésonide est excrété dans le lait maternel mais après inhalation, il n'est pas attendu de retentissement sur l'enfant. NOVOPULMON NOVOLIZER 200 microgrammes/dose peut être utilisé pendant l'allaitement.
Le traitement d'entretien avec le budésonide par inhalation (200 ou 400 microgrammes deux fois par jour) chez les femmes asthmatiques qui allaitent entraîne une exposition systémique négligeable au budésonide du nourrisson.
Dans une étude pharmacocinétique, la dose journalière estimée d'un nourrisson correspondait à 0,3% de la dose maternelle journalière pour les deux niveaux posologiques, et la concentration plasmatique moyenne chez le nourrisson était estimée à 1/600ème de la concentration plasmatique observée chez la mère, en supposant une biodisponibilité orale complète chez le nourrisson. Les concentrations du budésonide dans les prélèvements plasmatiques du nourrisson étaient toutes inférieures à la limite de la quantification.
Sur la base des données du budésonide par inhalation et le fait que le budésonide montre une pharmacocinétique linéaire dans l'intervalle des doses thérapeutiques après administrations par voies nasale, inhalée, orale et rectale, on peut estimer que l'exposition de l'enfant allaité est faible aux doses thérapeutiques de budésonide.
Le budésonide n'est pas indiqué pour le traitement des épisodes de dyspnée aiguë ou de l'état de mal asthmatique. Ces épisodes aigus doivent être traités selon les recommandations standards.
Le traitement des exacerbations et des symptômes de l'asthme peut nécessiter une augmentation de la dose de budésonide. Mais pour soulager les symptômes aigus d'asthme, il sera recommandé au patient d'avoir recours à un bronchodilatateur à effet rapide et de courte durée d'action.
Ce médicament devra être utilisé avec prudence et sous surveillance des patients en cas de tuberculose pulmonaire évolutive ou latente. Un traitement antituberculeux devra être envisagé chez ces patients s'ils reçoivent un traitement par budésonide. De même, chez les patients atteints d'infections respiratoires fongiques, virales ou autres, ce traitement sera administré avec précautions et sous surveillance étroite. Il conviendra de s'assurer que la prise en charge thérapeutique adaptée de ces infections est menée en parallèle.
Les patients qui, malgré plusieurs tentatives, ne parviennent pas à effectuer correctement les inhalations doivent consulter leur médecin.
En cas d'insuffisance hépatique sévère, comme pour les autres corticoïdes, l'élimination systémique du budésonide peut être diminuée, ce qui peut entraîner une augmentation de l'exposition systémique. Chez ces patients, il convient donc d'être particulièrement vigilant quant à la survenue d'effets systémiques et les fonctions de l'axe hypothalamo-hypophyso-corticosurrénalien devront être régulièrement contrôlées.
La corticothérapie inhalée au long cours à fortes doses, en particulier avec des doses supérieures aux doses recommandées, peut entraîner une réduction cliniquement significative des fonctions surrénales. Ces patients peuvent présenter des signes ou symptômes d'insuffisance surrénale en cas de stress important. Lors d'un épisode de stress ou en cas d'intervention chirurgicale, une corticothérapie de substitution par voie systémique devra être envisagée.
Des effets systémiques peuvent survenir avec une corticothérapie inhalée, en particulier lors de traitement prolongé à fortes doses. La survenue de ces effets reste cependant moins probable avec un traitement par inhalation qu'au cours de la corticothérapie orale. Peuvent ainsi être observés : syndrome de Cushing, des signes à caractère cushingoïde, inhibition des fonctions surrénales, retard de croissance chez les enfants et les adolescents, diminution de la densité minérale osseuse, cataracte, glaucome, et plus rarement, des troubles psychologiques ou des troubles du comportement comprenant : hyperactivité psychomotrice, des troubles du sommeil, une anxiété, une dépression, ou une agressivité (en particulier chez les enfants). En conséquence, la posologie minimale efficace devra toujours être recherchée.
Des troubles visuels peuvent apparaitre lors d'une corticothérapie par voie systémique ou locale. En cas de vision floue ou d'apparition de tout autre symptôme visuel apparaissant au cours d'une corticothérapie, un examen ophtalmologique est requis à la recherche notamment d'une cataracte, d'un glaucome, ou d'une lésion plus rare telle qu'une choriorétinopathie séreuse centrale, décrits avec l'administration de corticostéroïdes par voie systémique ou locale.
L'utilisation concomitante de ketoconazole, d'inhibiteurs de la protéase du VIH ou d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée. Si cela n'est pas possible, l'intervalle entre les traitements devra être aussi long que possible (voir aussi rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Des candidoses buccales peuvent survenir pendant la corticothérapie inhalée. Cette infection peut nécessiter un traitement antifongique approprié et chez certains patients l'arrêt du traitement peut être nécessaire (voir aussi rubrique Posologie et mode d'administration).
Comme avec d'autres traitements administrés par voie inhalée, un bronchospasme paradoxal peut survenir avec une augmentation des sifflements bronchiques immédiatement après l'administration du produit. Dans ce cas, le traitement par le budésonide inhalé devra être interrompu immédiatement, et après examen du patient, un traitement alternatif sera instauré si besoin.
Il est recommandé de contrôler régulièrement la taille des enfants recevant un traitement prolongé par des corticoïdes inhalés. En cas de ralentissement de la croissance, la conduite thérapeutique devra être réévaluée et il conviendra de rechercher la posologie minimale, si possible, à la dose la plus faible à laquelle un contrôle de l'asthme est maintenu. Il conviendra de soigneusement peser les bénéfices d'une corticothérapie face aux risques éventuels d'un arrêt de croissance. L'avis d'un pédiatre spécialisé en pneumologie est préconisé.
Précautions d'emploi chez les patients ne recevant pas de corticothérapie préalable :
Chez les patients n'ayant préalablement jamais reçu de corticothérapie ou seulement quelques cures occasionnelles, l'effet du budésonide sur la fonction respiratoire, s'il est utilisé régulièrement selon les recommandations d'emploi, peut n'être ressenti par le patient qu'après environ 1 à 2 semaines. Toutefois, en cas de sécrétion de la muqueuse abondante et d'inflammation bronchique importante, l'obstruction peut être telle que le budésonide par voie inhalée ne peut exercer un effet optimal. Dans ces cas, une brève corticothérapie par voie systémique pourra être initiée en même temps que le traitement par voie inhalée par budésonide. La corticothérapie par voie inhalée sera poursuivie après la réduction progressive de la corticothérapie par voie systémique.
Précautions d'emploi lors du passage d'une corticothérapie par voie systémique à la corticothérapie inhalée :
Le remplacement de la corticothérapie par voie systémique, par Novopulmon Novolizer 200 microgrammes/dose ne doit être envisagé que lorsque les symptômes d'asthme sont contrôlés. La corticothérapie par voie systémique ne devra pas être arrêtée brutalement chez ces patients qui présentent un risque d'inhibition des fonctions surrénales. Le traitement par Novopulmon Novolizer 200 microgrammes/dose sera donc initié à fortes doses pendant environ 7 à 10 jours en adjonction à la corticothérapie systémique. Puis, la dose de corticoïde par voie systémique sera diminuée progressivement (par exemple par paliers de 1 milligramme de prednisolone ou l'équivalent une fois par semaine ou 2,5 milligrammes de prednisolone ou l'équivalent une fois par mois) en fonction de la réponse du patient et de la dose initiale du corticoïde par voie systémique. La corticothérapie par voie orale sera réduite au minimum et celle-ci pourra parfois être totalement remplacée par le budésonide inhalé.
Durant les premiers mois de remplacement de la corticothérapie par voie systémique par la corticothérapie inhalée, il peut être nécessaire de reprendre l'administration de corticoïde par voie systémique pendant les périodes de stress ou dans les situations d'urgence (exemple : infections sévères, traumatismes ou interventions chirurgicales). Ces précautions s'appliquent également aux patients ayant reçu de fortes doses de corticoïdes inhalés pendant des périodes prolongées. Dans ces cas, la fonction corticosurrénale peut également être inhibée et une supplémentation par une corticothérapie systémique peut être nécessaire pendant les périodes de stress.
La restauration des fonctions corticosurrénales peut être très longue. Il convient de contrôler régulièrement les fonctions de l'axe hypothalamo-hypophyso-corticosurrénalien.
Pendant la période de sevrage de la corticothérapie systémique, le patient peut éprouver une sensation non spécifique de malaise général, malgré la stabilisation ou même l'amélioration de la fonction respiratoire. Le patient devra être encouragé à poursuivre le traitement par le budésonide en inhalation et le sevrage de la corticothérapie orale, sauf si des signes cliniques évoquant une insuffisance surrénale apparaissent.
Après passage au traitement en inhalation, des symptômes ayant régressé au préalable avec la corticothérapie systémique, tels que rhinite allergique, eczéma ou myalgies et arthralgies peuvent réapparaître. Un traitement adapté de ces symptômes devra alors être envisagé.
Le traitement par le budésonide inhalé ne doit pas être interrompu brutalement.
Exacerbation des symptômes liés à une infection respiratoire aiguë :
Si les symptômes cliniques s'aggravent en raison de la survenue d'une infection respiratoire, un traitement avec une antibiothérapie adaptée devra être envisagé. La posologie du traitement par budésonide sera alors ajustée en fonction de l'état clinique du patient. Dans certains cas, le recours à une corticothérapie par voie systémique peut être nécessaire.
Si au bout de 14 jours, il n'est pas observé d'amélioration des symptômes et un contrôle suffisant de l'asthme, un avis médical est requis afin d'adapter la posologie et vérifier la technique d'inhalation du patient.
L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
Précautions d'emploi lors du passage de Novopulmon Novolizer 200 microgrammes/dose à Novopulmon Novolizer 400 microgrammes/dose :
Les enfants et les patients n'ayant pas la faculté d'atteindre un débit inspiratoire de plus de 60 litres/minute doivent être surveillés lorsque pour une même dose prescrite il passe de Novopulmon Novolizer 200 microgrammes/dose à Novopulmon Novolizer400 microgrammes/dose.
Le lactose peut contenir des protéines de lait. La quantité de lactose contenue dans Novopulmon Novolizer 200 microgrammes/dose ne provoque normalement pas de problèmes chez les sujets intolérants au lactose. Toutefois, chez les patients présentant un déficit enzymatique important, une intolérance au lactose a été rapportée très rarement après inhalation de poudre contenant du lactose.
Etat de mal asthmatique
Tuberculose pulmonaire
Infection respiratoire
Insuffisance hépatique sévère
Stress
Intervention chirurgicale
Symptômes visuels
Candidose buccale
Bronchospasme paradoxal
Ralentissement de la croissance
Patient de 6 à 18 ans
Sportif
Grossesse
Le budésonide n'a pas d'incidence sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Le métabolisme du budésonide est essentiellement médié par les CYP3A4. Les inhibiteurs de cette enzyme, par exemple ketoconazole, itraconazole, inhibiteurs de la protéase du VIH, produits contenant du cobicistat, peuvent par conséquent augmenter plusieurs fois l'exposition systémique au budésonide, voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi. Etant donné qu'il n'existe pas de données pour définir des recommandations posologiques, l'association devra être évitée sauf si les bénéfices sont supérieurs au risque accru d'effets secondaires systémiques des corticostéroïdes, dans ce cas les patients doivent être surveillés en vue de détecter les éventuels effets secondaires systémiques des corticostéroïdes. Si cela n'est pas possible, l'intervalle entre les traitements devra être aussi long que possible et une réduction de la dose de budésonide pourra être également envisagée.
Des données limitées sur cette interaction à de fortes doses de budésonide inhalé indiquent que des augmentations importantes des taux plasmatiques (en moyenne 4 fois) peuvent survenir si l'itraconazole, 200 mg une fois par jour, est administré simultanément avec du budésonide inhalé (dose unique de 1000 µg).
Des concentrations plasmatiques élevées et une augmentation des effets des corticoïdes ont été observées chez des femmes traitées également avec des contraceptifs oestro-progestatifs, mais aucun effet n'a été observé avec le budésonide et la prise simultanée d'un contraceptif oral à faible dose.
La fonction surrénale pouvant être supprimée, un test de stimulation par l'ACTH pour diagnostiquer une insuffisance hypophysaire peut faire apparaître des résultats erronés (valeurs faibles).
NOVOPULMON_NOVOLIZER_19022020_AVIS_CT17694
Télécharger le documentMise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur
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Télécharger le documentConservation des médicaments en cas de vague de chaleur
Télécharger le documentLactose monohydraté
VIATRIS SANTE
Code UCD7 : 9262351
Code UCD13 : 3400892623511
Code CIS : 60468092
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : MEDA PHARMA
Laboratoire exploitant : VIATRIS SANTE
Prix vente TTC : 15.76€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 15.76€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 29/10/2003
Rectificatif AMM : 06/06/2023
Marque : NOVOPULMON NOVOLIZER
Gamme : Sans gamme
Code GTIN13 : 3400936294028
Référence LPPR : Aucune
ACORSPRAY 200 microgrammes par inhalation, solution pour inhalation en flacon pressurisé, boîte de 1 flacon pressurisé de 200 doses
NOVOPULMON NOVOLIZER 200 microgrammes/dose, poudre pour inhalation, boîte de 1 cartouche (+ 1 inhalateur) de 200 doses
PULMICORT 200 ug/dose, suspension pour inhalation en flacon pressurisé, boîte de 1 flacon pressurisé de 100 doses (détails indisponibles)
PULMICORT TURBUHALER 200 microgrammes/dose, poudre pour inhalation, boîte de 1 dispositif inhalateur de 200 doses
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