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RITALINE

Principes actifs : Méthylphénidate chlorhydrate

Les gammes de produits

RITALINE

RITALINE 10 milligrammes, comprimé sécable, boîte de 30

Comprimé sécable

RITALINE LP 10 milligrammes, gélule à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Gélule à libération prolongée

RITALINE LP 20 milligrammes, gélule à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Gélule à libération prolongée

RITALINE LP 30 milligrammes, gélule à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Gélule à libération prolongée

RITALINE LP 40 milligrammes, gélule à libération prolongée, boîte de 1 flacon de 28

Gélule à libération prolongée

RITALINE 10 milligrammes cp séc

Remboursable

Sur prescription seulement

Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité
Narcolepsie

Forme :

 Comprimé sécable

Catégories :

 Neurologie-psychiatrie, Psychostimulants, Méthylphénidate

Principes actifs :

 Méthylphénidate chlorhydrate

Posologie pour RITALINE 10 milligrammes cp séc

Indications

Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, Narcolepsie

Posologie

Enfant de 6 ans à 18 ans . Traitement d'entretien (implicite)
un demi (½) mg par kilo deux (2) fois par jour à avaler avec un verre d'eau pendant vingt-huit (28) jours. Maximum soixante (60) mg par jour. ou zéro virgule zéro cinq (0.05) comprimé par kilo deux (2) fois par jour à avaler avec un verre d'eau pendant vingt-huit (28) jours. Maximum six (6) comprimés par jour.

Enfant de 6 ans à 18 ans . Traitement initial
cinq (5) mg au moment du petit-déjeuner et du déjeuner à avaler avec un verre d'eau. ou un demi (½) comprimé au moment du petit-déjeuner et du déjeuner à avaler avec un verre d'eau.

Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement initial. Narcolepsie
cinq (5) mg trois (3) fois par jour à avaler avec un verre d'eau. ou un demi (½) comprimé trois (3) fois par jour à avaler avec un verre d'eau. Prendre la dernière prise à distance du coucher.

Adulte de 18 ans à 65 ans . Traitement d'entretien. Narcolepsie (implicite)
dix (10) mg trois (3) fois par jour pendant vingt-huit (28) jours. Maximum soixante (60) mg par jour. ou un(e) (1) comprimé trois (3) fois par jour pendant vingt-huit (28) jours. Maximum six (6) comprimés par jour. Prendre la dernière prise à distance du coucher.

Administration

Voie orale

Recommandations patient

CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :

- Symptômes cardiaques : palpitations, évanouissement inexpliqué, douleurs dans la poitrine, respiration courte, essoufflement.

- Symptômes neurologiques : céphalée sévère, engourdissement, faiblesse, paralysie, altération de la coordination, de la vision, de la parole, du langage ou de la mémoire.

- Symptômes allergiques: rash, démangeaisons cutanées, urticaire, gonflement de la face, des lèvres, de la langue ou d'autres parties du corps, souffle court, sifflement ou gêne respiratoire.

- Troubles de l'humeur, changement de la personnalité, hallucinations, pensées suicidaires.

- Sentiment d'être anormalement excité, hyperactif et désinhibé.

- Desquamation cutanée ou plaques rouge-violacées.

- Spasmes musculaires affectant les yeux, la tête, le cou, le corps.

- Augmentation de la température corporelle, élévation de la tension artérielle, convulsions.

- Infections chroniques, saignement et ecchymose apparaissant plus facilement.

- Paralysie ou trouble des mouvements et de la vision, difficulté d'élocution.

NE PAS CONDUIRE de véhicules NI UTILISER de machines en cas de sensations de vertige, somnolence, troubles visuels y compris problèmes d'accommodation, diplopie, vision floue, ou hallucinations.

EVITER la consommation d'alcool pendant le traitement.
SPORTIF: substance dopante.

 

 

 


Contre-indications pour RITALINE 10 milligrammes cp séc

  • Glaucome
  • Phéochromocytome
  • Hyperthyroïdie
  • Thyrotoxicose
  • Dépression sévère
  • Anorexie
  • Tendance suicidaire
  • Symptômes psychotiques
  • Trouble de l'humeur
  • Manie
  • Schizophrénie
  • Trouble de la personnalité
  • Trouble bipolaire
  • Troubles cardiovasculaires
  • Insuffisance cardiaque
  • Hypertension sévère
  • Artériopathie périphérique oblitérante
  • Cardiomyopathie
  • Canalopathie
  • Troubles cérébrovasculaires
  • Anévrisme cérébral
  • Anomalie vasculaire
  • Accident vasculaire cérébral
  • Patient de moins de 6 ans
  • Allaitement
  • Grossesse
  • Sujet âgé
  • Consommation d'alcool
  • Intolérance au lactose

Effets indésirables pour RITALINE 10 milligrammes cp séc

Niveau d’apparition des effets indésirables

Très fréquent

Céphalée

Insomnie

Nervosité

Agitation

Agressivité

Alopécie

Anorexie

Anxiété

Diarrhée

Douleur abdominale

Hyperhidrose

Hypertension

Irritabilité

Palpitation

Rhinopharyngite

Tachycardie

Toux

Urticaire

Vertige

Dépression

Arythmie

Arthralgie

Diminution de l'appétit

Dyskinésie

Perte de poids

Sécheresse buccale

Somnolence

Gêne épigastrique

Modification de la pression artérielle

Pyrexie

Nausée

Vomissement

Ralentissement de la prise de poids

Prurit cutané

Labilité émotionnelle

Rash cutané

Comportement anormal

Modification de la fréquence cardiaque

Douleur pharyngolaryngée

Retard de croissance chez l'enfant

Bruxisme

Hyperactivité psychomotrice

Constipation

Douleur thoracique

Fatigue

Hématurie

Oedème angioneurotique

Tics

Idée suicidaire

Myalgie

Diplopie

Colère

Dyspnée

Réaction d'hypersensibilité

Sédation

Tremblement

Elévation des enzymes hépatiques

Pleurs

Vision floue

Hallucinations tactiles

Exacerbation de tics

Trouble du sommeil

Exfoliation cutanée

Secousse musculaire

Impatience

Souffle cardiaque

Altération de l'humeur

Trouble psychotique

Réaction bulleuse

Exacerbation du syndrome de Gilles de la Tourette

Hallucination visuelle

Hypervigilance

Hallucination auditive

Mouvement d'humeur

Angine de poitrine

Erythème

Gynécomastie

Mydriase

Troubles visuels

Désorientation

Difficulté d'accommodation

Manie

Eruption maculeuse

Trouble de la libido

Anémie

Artérite

Convulsions

Crampe musculaire

Infarctus du myocarde

Leucopénie

Syndrome de Raynaud

Thrombocytopénie

Syndrome malin des neuroleptiques

Erythème polymorphe

Arrêt cardiaque

Apathie

Purpura thrombocytopénique

Suicide

Dermatite exfoliatrice

Mouvement choréo-athétosique

Erythème pigmenté fixe

Extrémités froides

Comportement suicidaire

Mort subite d'origine cardiaque

Fonction hépatique anormale

Diminution de la numération plaquettaire

Augmentation de la phosphatase alcaline

Pensée anormale

Occlusion artérielle cérébrale

Numération anormale des globules blancs

Augmentation de la bilirubine sanguine

Comportement répétitif

Idée fixe

Déficit neurologique ischémique réversible

Accident vasculaire cérébral

Bradycardie

Epistaxis

Extrasystole ventriculaire

Extrasystole

Migraine

Priapisme

Tachycardie supraventriculaire

Troubles cérébrovasculaires

Urticaire allergique

Artérite cérébrale

Etat confusionnel

Hémorragie cérébrale

Délire

Réaction anaphylactique

Trismus

Pancytopénie

Dépendance

Eruption cutanée allergique

Logorrhée

Coma hépatique

Gêne thoracique

Dysfonction érectile

Dépendance médicamenteuse

Vascularite cérébrale

Grand mal épileptique

Abus médicamenteux

Oedème auriculaire

Incontinence

Dysphémie

Erection augmentée


La liste ci-dessous présente tous les événements indésirables (EI) rapportés au cours des études cliniques et les cas rapportés spontanément après la commercialisation de RITALINE 10 mg, comprimé sécable ainsi que les événements indésirables rapportés après administration d'autres formes de chlorhydrate de méthylphénidate. Lorsque la fréquence des EI observée avec RITALINE 10 mg, comprimé sécable a été différente de la fréquence observée avec d'autres formulations de méthylphénidate, la fréquence la plus élevée issue des deux bases de données a été retenue.

· Les effets indésirables (tableau 1) sont présentés par classes de systèmes d'organes selon la classification MedDRA. Dans chaque classe de systèmes d'organes, les effets indésirables sont rangés par fréquence, du plus fréquent au moins fréquent. De plus, les catégories de fréquence sont déterminées selon la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000), très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Tableau 1. Effets indésirables rapportés avec RITALINE et issus des études cliniques, des notifications spontanées et de la littérature

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr.

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Grossesse et allaitement pour le RITALINE 10 milligrammes cp séc

Grossesse

Résumé des risques

Les résultats d'une étude de cohorte portant sur une large population d'environ 3 400 femmes exposées au cours du premier trimestre de la grossesse ne montrent pas d'augmentation du risque global d'anomalies congénitales. Par rapport aux grossesses non exposées, une faible augmentation de la fréquence de malformations cardiaques a été observée (risque relatif ajusté combiné, 1,3 ; IC à 95 %, 1,0 - 1,6), correspondant à trois enfants supplémentaires nés avec des malformations cardiaques pour 1 000 femmes exposées au méthylphénidate pendant le premier trimestre de grossesse.

Des cas de toxicité cardiorespiratoire néonatale, notamment des tachycardies et des détresses respiratoires foetales, ont été rapportés dans le cadre des notifications spontanées.

Les études chez l'animal ont mis en évidence une toxicité du méthylphénidate sur la reproduction à doses maternotoxiques (voir rubrique Données de sécurité préclinique).

L'administration de méthylphénidate pendant la grossesse n'est pas recommandée sauf si le médecin considère que le retard de l'instauration du traitement représente un risque supérieur pour la grossesse.

Allaitement

Résumé des risques

Le méthylphénidate a été retrouvé dans le lait maternel de mères traitées par méthylphénidate.

Le cas d'un nourrisson dont le poids corporel a diminué (chiffre indéterminé) pendant la période d'exposition au méthylphénidate a été rapporté. Le nourrisson a retrouvé son poids puis en a repris après l'interruption du traitement de la mère par méthylphénidate. Un risque pour l'enfant allaité ne peut donc être exclu.

Il convient de décider d'arrêter l'allaitement ou de s'abstenir/interrompre du/un traitement par méthylphénidate, en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la mère.

Fertilité

Il n'existe aucune donnée concernant l'effet du méthylphénidate sur la fertilité chez l'Homme. Chez l'animal, le méthylphénidate n'a pas modifié les fonctions de reproduction, ni la fertilité à des doses correspondant à de faibles multiples de la dose recommandée en clinique (voir rubrique Données de sécurité préclinique).


Mise en garde pour RITALINE 10 milligrammes cp séc

Mise en garde

Le méthylphénidate n'est pas indiqué chez les enfants présentant des symptômes liés à des facteurs environnementaux (notamment enfants victimes de mauvais traitements) et/ou des symptômes liés à des troubles d'origine psychiatrique, y compris psychotiques.

Le traitement par méthylphénidate n'est pas indiqué chez tous les enfants atteints de TDAH et la décision d'utiliser ce médicament devra se fonder sur une évaluation très minutieuse, de la gravité et de la chronicité des symptômes de l'enfant en tenant compte de son âge.

Utilisation à long terme (plus de 12 mois) chez l'enfant et l'adolescent

L'efficacité et la sécurité d'emploi de l'utilisation à long terme du méthylphénidate n'ont pas été évaluées de façon systématique au cours des études cliniques contrôlées. Il n'est pas nécessaire ni souhaitable, que la durée du traitement médicamenteux soit indéfinie. Le traitement est habituellement interrompu pendant ou après la puberté. Les patients traités par méthylphénidate à long terme (c'est-à-dire plus de 12 mois) devront être surveillés attentivement conformément aux recommandations décrites dans les rubriques Posologie et mode d'administration et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi, relatives à l'état cardiovasculaire, la croissance, l'appétit, l'apparition de nouveaux troubles psychiatriques ou l'aggravation de troubles psychiatriques préexistants. Les troubles psychiatriques devant faire l'objet d'une surveillance sont décrits ci-dessous et incluent de manière non limitative : tics moteurs ou verbaux, comportement agressif ou hostile, agitation, anxiété, dépression, psychose, manie, délire, irritabilité, manque de spontanéité, retrait et persévération excessive.

Le médecin qui décide d'utiliser le méthylphénidate pendant des périodes de temps prolongées (plus de 12 mois) chez un enfant ou un adolescent atteint de TDAH, devra ré-évaluer périodiquement l'utilité du traitement sur une période prolongée pour le patient et ce, en mettant en place des périodes sans traitement pour pouvoir évaluer le fonctionnement du patient en l'absence de celui-ci. Il est recommandé d'interrompre le traitement par méthylphénidate au moins une fois par an afin d'évaluer l'état de l'enfant (de préférence pendant les vacances scolaires). Une amélioration peut se maintenir à l'arrêt du traitement qu'il soit temporaire ou définitif.

Populations spéciales

Adultes

L'utilisation de méthylphénidate n'est pas autorisée chez l'adulte atteint de TDAH. La sécurité d'emploi et l'efficacité du méthylphénidate n'ont pas été établies dans cette classe d'âge.

Sujets âgés (65 ans ou plus)

Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé chez le sujet âgé. Sa sécurité d'emploi et son efficacité n'ont pas été établies dans cette classe d'âge.

Population pédiatrique (enfant de moins de 6 ans)

Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé chez l'enfant âgé de moins de 6 ans. Sa sécurité d'emploi et son efficacité n'ont pas été établies dans cette classe d'âge.

Etat cardiovasculaire

Les patients chez lesquels un traitement par psychostimulants est envisagé devront être soigneusement interrogés quant à leurs antécédents (y compris leurs antécédents familiaux de mort subite cardiaque ou inexpliquée ou d'arythmie maligne ou d'arythmie ventriculaire) et être soumis à un examen médical rigoureux, afin de rechercher la présence d'une cardiopathie. Un examen cardiaque spécialisé devra ensuite être réalisé si les résultats initiaux font suspecter une cardiopathie ou de tels antécédents. Un examen cardiaque par un spécialiste devra être rapidement réalisé chez les patients présentant, au cours du traitement par méthylphénidate, des symptômes tels que palpitations, douleurs thoraciques à l'effort, syncope inexpliquée, dyspnée ou tout autre symptôme évocateur d'une pathologie cardiaque.

L'analyse des données issues des études cliniques du méthylphénidate chez l'enfant ou l'adolescent atteint de TDAH, a montré que les patients traités par méthylphénidate peuvent fréquemment présenter des modifications des pressions artérielles systolique et diastolique de plus de 10 mm Hg au repos par comparaison au groupe contrôle. Les conséquences cliniques, à court et à long terme, de ces effets cardiovasculaires chez l'enfant et l'adolescent ne sont pas connues, mais la possibilité de complications cliniques résultant des effets observés lors des études cliniques ne peut être exclue. La prudence est indiquée lors du traitement des patients chez lesquels une augmentation de la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque est susceptible d'entraîner la décompensation d'une pathologie sous-jacente. Voir en rubrique Contre-indications les contre-indications au traitement par méthylphénidate.

L'état cardiovasculaire devra être surveillé soigneusement. La pression artérielle ainsi que le pouls devront être enregistrés sur une courbe percentile à chaque adaptation posologique, puis au minimum tous les 6 mois.

Les patients qui développeraient des symptômes évocateurs de troubles cardiaques au cours du traitement par méthylphénidate devront être examinés rapidement par un cardiologue.

L'administration de méthylphénidate est contre-indiquée dans l'hypertension sévère et dans certains cas de troubles cardiovasculaires préexistants sous réserve de l'obtention d'un avis d'un spécialiste en cardiologie pédiatrique (voir rubrique Contre-indications).

Mort subite et anomalies cardiaques structurelles préexistantes ou autres troubles cardiaques sévères

Des cas de mort subite ont été rapportés lors de l'utilisation de stimulants du système nerveux central aux doses usuelles chez des enfants, dont certains présentaient des anomalies cardiaques structurelles ou d'autres problèmes cardiaques sévères.

Bien que certains problèmes cardiaques sévères puissent entraîner à eux seuls un risque accru de mort subite, le méthylphénidate n'est pas recommandé chez les enfants ou les adolescents présentant des anomalies cardiaques structurelles connues, une cardiomyopathie, des anomalies graves du rythme cardiaque ou d'autres problèmes cardiaques sévères qui pourraient les exposer à une vulnérabilité accrue vis-à-vis des effets sympathomimétiques des psychostimulants.

Mésusage et événements cardiovasculaires

Le mésusage du méthylphénidate peut être associé à une mort subite ou à d'autres événements cardiovasculaires sévères.

Troubles vasculaires cérébraux

Voir en rubrique Contre-indications les troubles cérébrovasculaires pour lesquels un traitement par méthylphénidate est contre-indiqué. Les patients présentant des facteurs de risque supplémentaires (ex. antécédents de maladie cardiovasculaire, médicaments associés augmentant la pression artérielle) devront être surveillés à chaque visite après l'initiation du traitement à la recherche de signes et de symptômes neurologiques.

La vascularite cérébrale semble être une réaction idiosyncrasique très rare due à l'exposition au méthylphénidate. Il existe peu de preuves suggérant que les patients à risque accru puissent être identifiés et la survenue initiale des symptômes peut être la première manifestation d'un problème clinique sous-jacent. Un diagnostic précoce, fondé sur une forte suspicion, peut permettre l'arrêt rapide du méthylphénidate et l'instauration d'un traitement précoce. Le diagnostic devrait donc être envisagé chez tout patient développant de nouveaux symptômes neurologiques compatibles avec une ischémie cérébrale au cours d'un traitement par méthylphénidate. Ces symptômes peuvent inclure : céphalée sévère, engourdissement, faiblesse, paralysie, altération de la coordination, de la vision, de la parole, du langage ou de la mémoire.

Le traitement par méthylphénidate n'est pas contre-indiqué chez les patients atteints d'hémiplégie cérébrale infantile.

Troubles psychiatriques

Les troubles psychiatriques concomitants sont fréquents dans le TDAH et doivent être pris en compte lors de la prescription de psychostimulants. Les antécédents personnels et familiaux de troubles psychiatriques doivent être systématiquement recherchés avant de débuter un traitement par méthylphénidate (voir rubrique Posologie et mode d'administration).

En cas d'apparition de symptômes psychiatriques ou d'exacerbation de troubles psychiatriques préexistants, le méthylphénidate ne doit pas être administré à moins que les bénéfices attendus soient supérieurs aux risques chez le patient.

En cas de psychose aiguë, manie aiguë ou tendance suicidaire aiguë, un traitement du TDAH par méthylphénidate, ne doit pas être mis en place avant que ces troubles ne soient contrôlés par un traitement approprié.

La survenue ou l'aggravation de troubles psychiatriques doivent être surveillées à chaque augmentation de posologie, puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite. L'arrêt du traitement peut alors être envisagé.

Aggravation de symptômes psychotiques ou maniaques préexistants

Les patients psychotiques traités par méthylphénidate peuvent présenter une aggravation des troubles du comportement et des troubles de la pensée.

Survenue de nouveaux symptômes psychotiques ou maniaques

Des symptômes psychotiques (hallucinations et illusions visuelles, tactiles, auditives) ou maniaques peuvent survenir après administration de méthylphénidate aux doses usuelles chez des enfants et des adolescents sans antécédents de maladie psychotique ou de manie. En cas d'apparition de symptômes psychotiques ou maniaques, le rôle du méthylphénidate sera évalué et un arrêt du traitement pourra être envisagé (voir rubrique Effets indésirables).

Agressivité ou comportement hostile

L'administration de méthylphénidate peut provoquer l'apparition ou l'aggravation d'une agressivité ou d'un comportement hostile.

Les patients traités par méthylphénidate devront être surveillés étroitement au début du traitement, à chaque ajustement de doses puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite afin de déceler la survenue ou une aggravation d'un comportement agressif ou hostile. Le médecin devra évaluer la nécessité d'ajuster le schéma thérapeutique chez les patients présentant un changement dans leur comportement, en gardant à l'esprit qu'une augmentation ou une baisse de dosage peut être appropriée. L'interruption du traitement pourra être envisagée.

Tendances suicidaires

Les patients ayant des idées ou un comportement suicidaire au cours du traitement pour le TDAH devront être immédiatement examinés par leur médecin. L'aggravation d'une affection psychiatrique sous-jacente devra être prise en considération et un possible lien de causalité avec le méthylphénidate devra être envisagé. Le traitement d'une affection psychiatrique sous-jacente pourra être nécessaire et il conviendra alors d'envisager l'arrêt du traitement par méthylphénidate.

Tics

Le méthylphénidate peut provoquer l'apparition ou une aggravation de tics moteurs ou verbaux. Une aggravation du syndrome de Gilles de la Tourette a également été rapportée. Une évaluation des antécédents familiaux ainsi qu'un examen clinique à la recherche de tics ou du syndrome de Gilles de la Tourette devront être réalisés chez l'enfant avant l'administration de méthylphénidate. L'apparition ou l'aggravation de tics devra être surveillée régulièrement au cours du traitement.

La surveillance devra être effectuée à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois ou à chaque visite.

Anxiété, agitation ou tension psychique

Le méthylphénidate est associé à une aggravation des symptômes préexistants d'anxiété, d'agitation ou de tension psychique. Une évaluation clinique de l'anxiété, de l'agitation ou de la tension psychique devra être réalisée avant l'administration de méthylphénidate. Une surveillance régulière de la survenue ou de l'aggravation de ces symptômes au cours du traitement devra être réalisée en évaluant les patients à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois ou à chaque visite.

Formes de trouble bipolaire

Lors de l'utilisation de méthylphénidate pour le traitement d'un TDAH, une attention particulière devra être portée chez les patients présentant un trouble bipolaire associé (y compris un trouble bipolaire de type 1 non traité ou d'autres formes de trouble bipolaire), en raison de la survenue possible d'un épisode mixte ou d'un épisode maniaque chez ces patients. Avant d'initier un traitement par méthylphénidate, les patients présentant des symptômes dépressifs associés devront être dépistés correctement afin de déterminer s'ils présentent un risque accru de trouble bipolaire. Ce dépistage devra inclure une anamnèse psychiatrique détaillée, comportant les antécédents familiaux de suicide, de trouble bipolaire et de dépression.

Il est essentiel d'effectuer un suivi étroit et continu de ces patients (voir ci-dessus le paragraphe « Troubles psychiatriques » et la rubrique Posologie et mode d'administration). L'apparition de symptômes doit être surveillée à chaque adaptation posologique, puis au moins tous les 6 mois et à chaque visite.

Priapisme

Des érections prolongées et douloureuses ont été signalées avec des produits à base de méthylphénidate, principalement en association avec une modification du schéma du traitement par méthylphénidate. Les patients qui développent des érections anormalement prolongées ou fréquentes et douloureuses doivent immédiatement demander conseil à un médecin.

Croissance

Un ralentissement staturo-pondéral modéré a été rapporté lors de l'administration prolongée de méthylphénidate chez l'enfant.

A ce jour, les effets du méthylphénidate sur la taille et le poids définitifs de l'enfant sont inconnus et sont actuellement étudiés.

Au cours du traitement par méthylphénidate, la croissance devra être surveillée : la taille, le poids et l'appétit de l'enfant doivent être mesurés au moins tous les 6 mois et une courbe de croissance devra être tenue à jour. Il pourra être nécessaire d'interrompre le traitement chez les patients ne présentant pas la croissance ou la prise de poids attendues.

Convulsions

Le méthylphénidate doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'épilepsie. Le méthylphénidate peut abaisser le seuil épileptogène chez les patients ayant des antécédents de convulsions, chez les patients ayant présenté des anomalies de l'EEG en l'absence de convulsions et rarement chez des patients sans antécédents de convulsions ni anomalies de l'EEG. En cas d'augmentation de la fréquence des convulsions ou d'apparition récente de convulsions, le traitement par méthylphénidate devra être arrêté.

Abus, mésusage et usage détourné

Le risque d'usage détourné, de mésusage ou d'abus de méthylphénidate doit être étroitement surveillé.

Le méthylphénidate doit être administré avec précaution chez les patients ayant une dépendance connue aux drogues ou à l'alcool en raison du risque d'abus, de mésusage, ou d'usage détourné.

Une utilisation chronique abusive de méthylphénidate peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique, associées à des troubles comportementaux d'intensité variable. Des épisodes psychotiques caractérisés peuvent survenir, en particulier lors d'une utilisation abusive par voie parentérale.

L'âge du patient, la présence de facteurs de risque de mésusage d'une substance (tels qu'un trouble oppositionnel avec provocation, un trouble de la conduite ou un trouble bipolaire) ainsi qu'un abus de substances antérieur ou actuel par le patient doivent être pris en compte avant de décider l'initiation d'un traitement d'un TDAH.

Il est recommandé d'être prudent chez les patients présentant une instabilité émotionnelle, comme chez ceux ayant des antécédents de dépendance aux drogues ou à l'alcool, en raison d'une augmentation possible des doses par les patients.

Pour les patients présentant un risque élevé d'usage médicamenteux abusif, l'utilisation du méthylphénidate et d'autres psychostimulants peut ne pas être adaptée, un traitement par un médicament non stimulant doit être envisagé.

Sevrage

Il est indispensable de surveiller attentivement le patient à l'arrêt du traitement par méthylphénidate, car une dépression ou une hyperactivité chronique peuvent alors être révélées. En conséquence, un suivi prolongé pourra s'avérer nécessaire chez certains patients.

Une surveillance attentive du patient devra être effectuée au cours d'un sevrage pour utilisation abusive de méthylphénidate, en raison d'un risque d'apparition d'une dépression sévère.

Fatigue

Le méthylphénidate ne doit pas être utilisé pour la prévention ou le traitement d'états de fatigue.

Excipients

· Lactose

Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

· Amidon de blé

Ce médicament contient une très faible teneur en gluten (provenant de l'amidon de blé) et est donc peu susceptible d'entraîner des problèmes en cas de maladie coeliaque.

Un comprimé de Ritaline 10 mg ne contient pas plus de 4,8 microgrammes de gluten.

Les patients présentant une allergie au blé (différente de la maladie coeliaque) ne doivent pas prendre ce médicament. 

Choix de la formulation de méthylphénidate

Le choix de la formulation du médicament contenant du méthylphénidate devra être effectué par le médecin spécialiste au cas par cas ; ce choix dépend de la durée de l'effet souhaitée.

Contrôle anti-dopage

Le méthylphénidate peut donner des résultats faux positifs lors de la recherche d'amphétamines, notamment avec les immuno-essais.

Insuffisance rénale ou hépatique

Il n'y a pas de données sur l'utilisation de méthylphénidate chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique.

Surveillance hématologique

La tolérance à long terme du méthylphénidate n'est pas totalement connue. Un arrêt du traitement devra être envisagé en cas de leucopénie, thrombocytopénie, anémie ou autres modifications incluant celles indiquant une insuffisance rénale ou hépatique sévère.

En cas de troubles hématologiques, des mesures appropriées devront être prises.

Risque d'obstruction gastro-intestinale

En raison du caractère non déformable de RITALINE 10 mg, comprimé sécable, et puisque ce comprimé sécable ne subit pas de modification notable de sa forme dans le tube digestif, RITALINE 10 mg, comprimé sécable ne doit généralement pas être administré chez des patients qui présentent des sténoses digestives sévères préexistantes (de nature pathologique ou iatrogène) ou chez des patients atteints de dysphagie ou éprouvant une difficulté importante à avaler des comprimés. De rares cas de symptômes d'obstruction gastro-intestinale ont été rapportés chez des patients présentant des sténoses digestives connues qui avaient pris des médicaments de formulation non déformable et à libération prolongée.

Précautions d'emploi

Douleur thoracique à l'effort

Syncope récente inexpliquée

Dyspnée

Augmentation de la pression artérielle

Accélération de la fréquence cardiaque

Antécédent de maladie cardiovasculaire

Trouble neurologique

Céphalée sévère

Faiblesse

Anomalie de la coordination

Altération de la vision

Trouble de la mémoire

Trouble psychiatrique

Trouble de la pensée

Comportement agressif

Hostilité

Trouble du comportement

Tics

Maladie de Gilles de la Tourette

Anxiété

Agitation

Erection prolongée

Epilepsie

Convulsions

Anomalie de l'électroencéphalogramme

Antécédent de dépendance aux drogues

Antécédent de dépendance à l'alcool

Risque de survenue de dépendance

Instabilité émotionnelle

Insuffisant rénal

Insuffisant hépatique

Leucopénie

Thrombocytopénie

Anémie

Perturbation hématologique

Sténose digestive

Dysphagie

Puberté

Aptitude à conduire

RITALINE a une influence modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

Le méthylphénidate peut provoquer des sensations vertigineuses, une somnolence ou des troubles visuels, y compris des difficultés d'accommodation, une diplopie ou une vision floue, ainsi que des hallucinations et autres effets indésirables affectant le système nerveux central (voir rubrique Effets indésirables).

Les patients doivent être informés de ces effets possibles et avertis, qu'en cas de survenue, ils doivent éviter les activités potentiellement dangereuses telles que la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.

Interaction avec d'autre médicaments

Interaction pharmacocinétique

L'effet du méthylphénidate sur les concentrations plasmatiques de médicaments administrés de façon concomitante n'est pas connu. Par conséquent, la prudence est recommandée lors de l'association de méthylphénidate avec d'autres médicaments, notamment avec les médicaments à faible marge thérapeutique.

Le cytochrome P450 n'intervient pas de façon cliniquement pertinente dans le métabolisme du méthylphénidate.

Une modification significative de la pharmacocinétique du méthylphénidate par l'administration d'inducteurs ou d'inhibiteurs du cytochrome P450 n'est pas attendue. Inversement, les énantiomères d‑ et l‑ du méthylphénidate n'inhibent pas de façon significative les cytochromes P450 1A2, 2C8, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 ou 3A.

Cependant, des cas d'inhibition possible du métabolisme des anticoagulants coumariniques, des antiépileptiques (ex. phénobarbital, phénytoïne, primidone), de la phénylbutazone et de certains antidépresseurs (antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) ont été rapportés avec le méthylphénidate. A l'initiation ou à l'arrêt du traitement par méthylphénidate, il peut être nécessaire d'adapter la posologie des médicaments associés et de doser leurs concentrations plasmatiques (ou, dans le cas des anticoagulants coumariniques, le temps de coagulation).

Interactions pharmacodynamiques

Associations contre-indiquées

+ Autres sympathomimétiques indirects

Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.

+ IMAO irréversibles

Hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.

+ Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Associations déconseillées

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques ou vasoconstricteurs, et IMAO-A réversibles, y compris oxazolidinones et bleu de méthylène

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Anesthésiques volatils halogénés

Poussée hypertensive peropératoire.

En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.

Associations à prendre en compte

+ Agonistes alpha-2 adrénergiques centraux (ex. clonidine)

La sécurité d'emploi à long terme du méthylphénidate en association avec la clonidine ou avec d'autres agonistes alpha-2 adrénergiques centraux n'a pas été évaluée de manière systématique.

+ Antihypertenseurs

Le méthylphénidate peut diminuer l'efficacité des médicaments utilisés pour traiter l'hypertension.

+ Consommation d'alcool

L'alcool peut exacerber les effets indésirables centraux des médicaments psychotropes, y compris du méthylphénidate. Il est donc recommandé aux patients de s'abstenir de consommer de l'alcool au cours du traitement.

+ Médicaments augmentant la pression artérielle

La prudence est recommandée chez les patients traités par méthylphénidate et recevant un autre médicament pouvant augmenter la pression artérielle (voir également les paragraphes relatifs aux affections cardiovasculaires et vasculaires cérébrales de la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et les associations contre-indiquées).

+ Médicaments dopaminergiques

La prudence est recommandée lors de l'administration de méthylphénidate en association avec des médicaments dopaminergiques, y compris les antipsychotiques. Le méthylphénidate augmente principalement les taux extracellulaires de dopamine ; de ce fait, le méthylphénidate peut provoquer des interactions pharmacodynamiques lorsqu'il est administré avec des agonistes directs ou indirects de la dopamine (y compris la L‑DOPA et les antidépresseurs tricycliques) ou avec les antagonistes de la dopamine (y compris les antipsychotiques).


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Psychiatrie : Livret AFSSaPS Médicaments et Grossesse Version N°4.

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Excipients

Amidon de blé, Lactose monohydraté, Phosphate tricalcique, Talc, Gélatine, Magnésium stéarate

Exploitant / Distributeur

INFECTOPHARM FRANCE

Code UCD7 : 9166943

Code UCD13 : 3400891669435

Code CIS : 60059081

T2A médicament : Non

Laboratoire titulaire AMM : INFECTOPHARM ARZNEIMITTEL

Laboratoire exploitant : INFECTOPHARM FRANCE

Prix vente TTC : 5.4€

Taux de TVA : 2.1%

TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non

Base de remboursement : 5.4€

Taux SS : 65%

Agréments collectivités : Oui

Code acte pharmacie : PH7

Date AMM : 31/07/1995

Rectificatif AMM : 14/02/2024

Marque : RITALINE

Gamme : Sans gamme

Code GTIN13 : 3400933929404

Référence LPPR : Aucune

Sources d'informations

AMM européennes : www.ema.europa.eu/en

AMM françaises : ansm.sante.fr/

Equivalences strictes

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