TRIATEC
Les gammes de produits
Remboursable
Sur prescription seulement
Forme :
Comprimé
Catégories :
Cardiologie et angéiologie, Antihypertenseurs, Médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine, Inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC/ACE) en association, IEC (ACE) + Diurétique thiazidique ou apparenté, Ramipril + Hydrochlorothiazide
Principes actifs :
Ramipril, Hydrochlorothiazide
Hypertension
Adulte de plus de 18 ans . Hypertension (implicite)
1 comprimé le matin à avaler avec un peu de liquide. Maximum 2 comprimés par jour.
Ne pas écraser ni mâcher le comprimé.
Adulte de plus de 18 ans . insuffisant rénal (30< Clcr < 60 ml/mn). Hypertension
1 comprimé le matin à avaler avec un peu de liquide. Maximum 1 comprimé par jour.
Ne pas écraser ni mâcher le comprimé.
Voie orale
ARRETER
LE TRAITEMENT ET CONTACTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
-
Gonflement du visage, des lèvres ou de la gorge rendant difficile la déglutition
ou la respiration, ainsi que des démangeaisons et des éruptions cutanées.
-
Réactions cutanées sévères y compris une éruption, des ulcères buccaux, une
aggravation d'une maladie de peau préexistante, une rougeur, des vésicules ou
une desquamation de la peau.
- Diminution de la vision ou douleur à
l'oeil.
INFORMER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de :
- Rythme cardiaque
rapide, irrégulier ou fortement ressenti (palpitations), douleur dans la
poitrine, contraction de la poitrine ou des problèmes plus graves, y compris une
crise cardiaque et un accident vasculaire cérébral.
- Essoufflement, difficulté à respirer, toux ou fièvre durant plus
de 2 ou 3 jours.
-
Ecchymoses apparaissant facilement, saignement inhabituellement
prolongé, tout saignement manifeste (par ex. saignement des gencives),
taches pourpres ou rougeurs sur la peau, ou infections inhabituellement
faciles à contracter, mal de gorge et fièvre, sensation de fatigue, de
défaillance, d'étourdissement, ou pâleur
cutanée.
-
Douleurs à l'estomac sévères pouvant atteindre le dos.
- Fièvre, frissons,
fatigue, perte d'appétit, douleurs d'estomac, nausées, coloration jaune de la
peau ou des yeux (jaunisse).
PREVENIR L'ANESTHESISTE OU LE DENTISTE en cas
d'intervention chirurgicale.
EVITER la
consommation de médicaments contenant de l'alcool et de boissons
alcoolisés
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation
de machines (risque d'étourdissement).
LIMITER L'EXPOSITION AU SOLEIL
ET AUX RAYONS UV pendant le traitement et avoir une protection adéquate en cas
d'exposition solaire.
SPORTIF : substance dopante.
Alopécie
Altération de la fonction rénale
Anémie hémolytique
Angor
Anorexie
Anxiété
Bouffée vasomotrice
Congestion nasale
Conjonctivite
Constipation
Douleur thoracique
Dyspepsie
Gastrite
Gingivite
Hyperhidrose
Hypotension
Hypotension orthostatique
Insuffisance rénale aiguë
Nervosité
Palpitation
Sinusite
Tachycardie
Troubles digestifs
Vertige
Syncope
Myalgie
Arythmie
Elévation de la créatininémie
Dysgueusie
Dyspnée
Hépatite cytolytique
Oedème périphérique
Paresthésie
Soif
Somnolence
Sensation de brûlure
Tremblement
Augmentation des enzymes hépatiques
Baisse de l'hémoglobine
Apathie
Hépatite cholestatique
Rash maculopapuleux
Trouble de l'équilibre
Perte d'appétit
Agueusie
Vision trouble
Gêne abdominale
Humeur dépressive
Pyrexie
Nausée
Elévation de l'urée sanguine
Trouble visuel
Prurit cutané
Trouble du sommeil
Augmentation de la bilirubine conjuguée
Baisse des leucocytes
Baisse de la kaliémie
Ischémie myocardique
Rash cutané
Réduction du nombre d'hématies
Acouphène
Dysfonction érectile
Angioedème
Inflammation gastro-intestinale
Baisse du nombre des plaquettes
Augmentation du volume urinaire
Dermatite psoriasiforme
Cholécystite lithiasique
Diarrhée
Glossite
Stomatite aphteuse
Sécheresse buccale
Vomissement
Elévation de la kaliémie
Syndrome de détresse respiratoire aiguë
Douleur abdominale haute
Obstruction des voies aériennes
Agitation
Alcalose métabolique
Déshydratation
Glaucome aigu par fermeture de l'angle
Gynécomastie
Hypercalcémie
Hypochlorémie
Infarctus du myocarde
Pancréatite
Pemphigus
Syndrome de Raynaud
Tétanie
Urticaire
Agranulocytose
Hypomagnésémie
Bronchospasme
Insuffisance médullaire
Etat confusionnel
Ischémie cérébrale
Accident vasculaire cérébral ischémique
Syndrome de Stevens-Johnson
Arthralgie
Eosinophilie
Neutropénie
Réaction anaphylactique
Erythème polymorphe
Glycosurie
Troubles de l'audition
Faiblesse musculaire
Néphrite interstitielle
Pancytopénie
Ictère cholestatique
Diminution de la libido
Réaction anaphylactoïde
Alvéolite allergique
Lésion hépatocellulaire
Dermatite exfoliante
Spasme musculaire
Nécrolyse épidermique toxique
Xanthopsie
Hémoconcentration
Augmentation du taux d'anticorps antinucléaires
Accident ischémique transitoire
Sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique
Parosmie
Oedème pulmonaire non cardiogénique
Thrombose
Insuffisance hépatique aiguë
Onycholyse
Elévation des enzymes pancréatiques
Lupus érythémateux systémique
Carcinome basocellulaire
Raideur musculosquelettique
Réaction de photosensibilité
Myopie aiguë
Baisse de la natrémie
Trouble de l'attention
Psoriasis aggravé
Sialo-adénite
Aggravation d'une protéinurie
Enanthème pemphigoïde
Exanthème lichénoïde
Vasculite
Asthme aggravé
Carcinome épidermoïde cutané
Angioedème intestinal
Cancer cutané non mélanomateux
Altération des fonctions psychomotrices
Exanthème pemphigoïde
Sténose vasculaire
Hypoperfusion
Réduction du larmoiement
Enanthème lichénoïde
Epanchement choroïdien
Résumé du profil de sécurité
Le profil de tolérance du ramipril + hydrochlorothiazide comporte des réactions indésirables survenant dans un contexte d'hypotension et/ou de déplétion hydrique due à une diurèse accrue. Le ramipril peut induire une toux sèche persistante, alors que la substance active l'hydrochlorothiazide peut entraîner une aggravation du métabolisme du glucose, des lipides et de l'acide urique. Les deux substances actives ont des effets inverses sur la kaliémie. Les réactions indésirables graves comprennent un angio-oedème ou une réaction anaphylactique, une insuffisance rénale ou hépatique, une pancréatite, des réactions cutanées sévères et une neutropénie/agranulocytose.
Tableau récapitulatif des réactions indésirables
La fréquence des réactions indésirables est définie selon la convention suivante :
Très fréquentes (= 1 / 10) ; fréquentes (= 1 / 100 à < 1 / 10) ; peu fréquentes (= 1 / 1000 à < 1 / 100) ; rares (= 1 / 10000 à < 1 / 1000) ; très rares (< 1 / 10000) ; de fréquence inconnue (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.
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Grossesse
COTRIATEC est déconseillé pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi) et est contre-indiqué aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (voir rubrique Contre-indications). |
Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue.
A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur des patientes qui envisagent une grossesse pour un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC/antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté.
L'exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d'ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (voir aussi rubriqueDonnées de sécurité préclinique « Données de sécurité préclinique »).
En cas d'exposition à un IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d'effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne. Les nouveau-nés de mères traitées par IEC doivent être surveillés étroitement à la recherche d'une hypotension, d'une oligurie et d'une hyperkaliémie (voir aussi rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
L'hydrochlorothiazide, en cas d'exposition prolongée au cours du troisième trimestre de la grossesse, peut entraîner une ischémie foeto-placentaire et un risque de retard de croissance. En outre, de rares cas d'hypoglycémie et de thrombocytopénie ont été rapportés chez des nouveau-nés en cas d'exposition à l'approche du terme. L'hydrochlorothiazide peut réduire le volume plasmatique ainsi que le débit sanguin utéroplacentaire.
Allaitement
COTRIATEC est contre-indiqué durant l'allaitement.
Le ramipril et l'hydrochlorothiazide sont excrétés dans le lait maternel à un degré tel que des effets sur l'enfant allaité sont probables si des doses thérapeutiques de ramipril et d'hydrochlorothiazide sont administrées à la mère qui allaite
Les informations disponibles concernant l'utilisation du ramipril au cours de l'allaitement sont insuffisantes, et des traitements alternatifs disposant de profils de tolérance mieux établis durant l'allaitement sont préférables, en particulier lors de l'allaitement d'un nouveau-né ou d'un nourrisson prématuré.
L'hydrochlorothiazide est excrété dans le lait humain. La prise de thiazidiques par des femmes allaitantes a été associée à une diminution voire une suppression de la lactation. Une hypersensibilité aux substances actives dérivées des sulfamides, une hypokaliémie ou un ictère nucléaire peuvent survenir.
En raison du potentiel de réactions graves à ces deux substances actives chez les enfants allaités, une décision devra être prise concernant l'arrêt de l'allaitement ou du traitement, en tenant compte de l'importance de ce traitement pour la mère.
Grossesse
Les IEC tels que le ramipril, ou les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC/ARA II ne soit considéré comme essentiel, le traitement antihypertenseur des patientes qui envisagent une grossesse doit être modifié pour un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse.
En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC/ARA II doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (voir rubriques Contre-indications et Fertilité, grossesse et allaitement).
Populations particulières
Patients à risque particulier d'hypotension
- Patients à système rénine-angiotensine-aldostérone fortement activé.
Les patients ayant un système rénine-angiotensine-aldostérone fortement activé sont à risque d'une chute brutale de la pression artérielle et d'une altération de la fonction rénale en raison de l'inhibition de l'enzyme de conversion, en particulier lorsqu'un IEC ou un diurétique concomitant est administré pour la première fois ou lors de la première augmentation de dose.
Une activation significative du système rénine-angiotensine-aldostérone est à prévoir, et une surveillance médicale, y compris le contrôle de la pression artérielle, est nécessaire par exemple en cas de :
o Patients ayant une hypertension sévère,
o Patients ayant une insuffisance cardiaque congestive décompensée,
o Patients ayant une obstruction hémodynamique significative au remplissage ou à l'éjection du ventricule gauche (par ex. une sténose de la valve aortique ou mitrale),
o Patients ayant une sténose artérielle rénale unilatérale avec un second rein fonctionnel,
o Patients ayant ou susceptibles de développer une déplétion hydrosodée (y compris les patients sous diurétiques),
o Patients ayant une cirrhose hépatique et/ou une ascite,
o Patients subissant une intervention chirurgicale majeure ou durant une anesthésie par des agents entraînant une hypotension.
En général, il est recommandé de corriger toute déshydratation, hypovolémie ou déplétion sodée avant la mise en route du traitement (chez les patients en insuffisance cardiaque toutefois, une telle action correctrice doit être soigneusement pesée contre le risque de surcharge volumique).
- Patients à risque d'ischémie cardiaque ou cérébrale en cas d'hypotension aiguë
La phase initiale de traitement nécessite une surveillance médicale particulière.
Hyperaldostéronisme primaire
L'association de ramipril + hydrochlorothiazide ne représente pas un traitement de choix pour l'hyperaldostéronisme primaire. Si l'association ramipril + hydrochlorothiazide est utilisée chez un patient souffrant d'hyperaldostéronisme primaire, une surveillance soigneuse de la kaliémie est nécessaire.
Sujets âgés
Voir rubrique Posologie et mode d'administration.
Patients souffrant de maladie du foie
Des troubles électrolytiques dus à un traitement diurétique, y compris l'hydrochlorothiazide, peuvent entraîner une encéphalopathie hépatique chez les patients souffrant de pathologies hépatiques.
Chirurgie
Il est recommandé d'arrêter un traitement par les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine tels que le ramipril si possible un jour avant l'intervention.
Surveillance de la fonction rénale
La fonction rénale sera évaluée avant et durant le traitement, et la posologie ajustée, en particulier au cours des premières semaines du traitement. Une surveillance particulièrement soigneuse est requise chez les patients insuffisants rénaux (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Le risque d'altération de la fonction rénale existe, en particulier chez les patients en insuffisance cardiaque congestive ou après une transplantation rénale ou avec une maladie réno-vasculaire y compris les patients avec une sténose unilatérale de l'artère rénale hémodynamiquement pertinente.
Insuffisance rénale
Chez les patients souffrant de néphropathies, les thiazidiques peuvent précipiter une urémie. Des effets cumulés du principe actif peuvent se développer chez les patients insuffisants rénaux. En cas de manifestation d'une insuffisance rénale progressive, telle qu'indiquée par une élévation de l'azotémie, une réévaluation soigneuse du traitement est nécessaire, et l'arrêt du traitement diurétique à envisager (voir rubrique Contre-indications).
Déséquilibre électrolytique
Comme pour tout patient recevant un traitement diurétique, une détermination périodique des électrolytes sanguins sera réalisée à intervalles appropriés. Les thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peuvent entraîner un déséquilibre hydro-électrolytique (hypokaliémie, hyponatrémie et alcalose hypochlorémique). Bien qu'une hypokaliémie puisse se développer avec la prise de diurétiques thiazidiques, le traitement simultané par ramipril pourrait réduire l'hypokaliémie induite par le diurétique. Le risque d'hypokaliémie est le plus élevé chez les patients atteints d'une cirrhose hépatique, les patients ayant une diurèse rapide, les patients recevant un traitement électrolytique inadéquat, et les patients recevant un traitement simultané de corticoïdes ou d'ACTH (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). La première mesure des taux plasmatiques de potassium sera menée au cours de la première semaine de traitement. Si de faibles taux de potassium sont décelés, une correction est requise.
Une hyponatrémie de dilution peut survenir. La réduction des taux de sodium peut initialement être asymptomatique et une vérification régulière est donc nécessaire. Les tests seront plus fréquents chez les patients âgés et cirrhotiques. Les thiazidiques se sont avérés augmenter l'excrétion urinaire du magnésium, avec pour résultat possible une hypomagnésémie.
Surveillance des électrolytes : Hyperkaliémie
Une hyperkaliémie a été observée chez certains patients traités par les IEC, y compris COTRIATEC. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie incluent ceux ayant une insuffisance rénale, un âge > 70 ans, un diabète sucré non contrôlé, ou ceux utilisant des sels de potassium, des diurétiques épargneurs de potassium ou d'autres substances actives augmentant le taux plasmatique du potassium, ou ceux présentant des pathologies telles qu'une déshydratation, une décompensation cardiaque aiguë, une acidose métabolique. Si l'administration simultanée des agents susmentionnés est jugée appropriée, une surveillance régulière du potassium sérique est recommandée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Surveillance des électrolytes : Hyponatrémie
Un syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone anti-diurétique (SIADH), avec une hyponatrémie consécutive, a été observé chez quelques patients traités avec du ramipril. Il est recommandé de surveiller régulièrement les taux de sodium sérique chez les patients âgés et chez les autres patients à risque d'hyponatrémie.
Encéphalopathie hépatique
Les troubles électrolytiques dus à un traitement diurétique, y compris l'hydrochlorothiazide, peuvent entraîner une encéphalopathie hépatique chez les patients atteints de maladie du foie. Le traitement sera immédiatement stoppé en cas d'encéphalopathie hépatique.
Hypercalcémie
L'hydrochlorothiazide stimule la réabsorption rénale du calcium et peut entraîner une hypercalcémie. Ceci peut interférer avec les tests de la fonction parathyroïdienne.
Angio-oedème
Un angio-oedème a été rapporté chez des patients traités par des IEC, y compris le ramipril (voir rubrique Effets indésirables).
Ce risque d'angio-oedème (par exemple gonflement des voies respiratoires ou de la langue, avec ou sans insuffisance respiratoire) peut être augmenté chez les patients prenant des traitements concomitants susceptibles de provoquer un angio-oedème comme les inhibiteurs de la protéine mTOR (cible de la rapamycine chez les mammifères) (par exemple temsirolimus, évérolimus, sirolimus), la vildagliptine ou les inhibiteurs de la néprilysine (NEP) (comme le racécadotril).
L'utilisation concomitante du ramipril avec l'association sacubitril/valsartan est contre-indiquée du fait du risque majoré d'angio-oedème (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
En cas d'angio-oedème, COTRIATEC doit être arrêté.
Un traitement d'urgence sera promptement instauré. Le patient sera maintenu sous observation durant au moins 12 à 24 heures et libéré après résolution complète des symptômes.
Un angio-oedème intestinal a été rapporté chez des patients traités par des IEC, y compris COTRIATEC (voir rubrique Effets indésirables). Ces patients présentaient des douleurs abdominales (avec ou sans nausées ou vomissements).
Les symptômes de l'angioedème intestinal ont disparu après l'arrêt du traitement par IEC.
Réactions anaphylactiques au cours d'une désensibilisation
La probabilité et la sévérité des réactions anaphylactiques et anaphylactoïdes au venin d'insecte et à d'autres allergènes sont augmentées lors de l'inhibition de l'enzyme de conversion. Une interruption temporaire de COTRIATEC sera envisagée avant une désensibilisation.
Toxicité respiratoire aiguë
De très rares cas graves de toxicité respiratoire aiguë, notamment de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), ont été rapportés après la prise d'hydrochlorothiazide. L'oedème pulmonaire se développe généralement quelques minutes à quelques heures après la prise d'hydrochlorothiazide. Au début, les symptômes comportent dyspnée, fièvre, détérioration pulmonaire et hypotension. Si un diagnostic de SDRA est suspecté, COTRIATEC doit être retiré et un traitement approprié doit être administré. L'hydrochlorothiazide ne doit pas être administré à des patients ayant déjà présenté un SDRA à la suite d'une prise d'hydrochlorothiazide.
Neutropénie/agranulocytose
Une neutropénie/agranulocytose a été rarement observée, et une dépression médullaire a également été rapportée. Il est recommandé de surveiller la numération leucocytaire afin de permettre la détection d'une éventuelle leucopénie. Une surveillance plus fréquente est conseillée au cours de la phase initiale du traitement et chez les patients ayant une altération de la fonction rénale, ceux atteints d'une maladie concomitante du collagène (tel le lupus érythémateux ou la sclérodermie), et ceux traités par d'autres médicaments entraînant des modifications de la formule sanguine (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Effets indésirables).
Epanchement choroïdien, myopie aiguë et glaucome par fermeture d'angle
L'hydrochlorothiazide, un sulfamide, peut déclencher une réaction idiosyncrasique, aboutissant à un épanchement choroïdien avec anomalie du champ visuel, une myopie aiguë transitoire et un glaucome aigu par fermeture d'angle. Les symptômes, qui apparaissent typiquement des heures ou des semaines après le début du traitement, incluent l'apparition brutale d'une diminution de l'acuité visuelle ou une douleur oculaire. Un glaucome aigu par fermeture d'angle non traité peut conduire à une perte définitive de la vision. Le premier traitement consiste à arrêter l'hydrochlorothiazide aussi rapidement que possible. Un traitement médical ou chirurgical rapide peut être considéré si la pression intraoculaire reste incontrôlée. Les facteurs de risque pour développer un glaucome aigu par fermeture d'angle peuvent inclure des antécédents d'allergie aux sulfamides ou à la pénicilline.
Particularités ethniques
Les IEC entraînent un taux plus élevé d'angio-oedème chez les patients noirs que chez les patients non noirs. Comme pour les autres IEC, le ramipril pourrait être moins efficace en termes de diminution de la pression artérielle chez les sujets issus de populations noires que chez les sujets d'autres populations, peut-être en raison d'une prévalence plus élevée de l'hypertension à faible taux de rénine chez la population hypertendue noire.
Athlètes
L'hydrochlorothiazide peut produire un résultat d'analyse positif lors d'un test antidopage.
Effets métaboliques et endocriniens
Un traitement thiazidique peut entraîner une intolérance glucidique. Chez les patients diabétiques, des ajustements posologiques de l'insuline ou des agents hypoglycémiants oraux pourraient être requis. Un diabète sucré latent pourrait devenir manifeste au cours d'un traitement thiazidique.
Des élévations des taux de cholestérol et de triglycérides ont été associées à un traitement par diurétique thiazidique. Une hyperuricémie peut survenir, ou une crise franche de goutte être précipitée chez certains patients recevant un traitement thiazidique.
Toux
Une toux a été rapportée lors de la prise des IEC. Typiquement, la toux est non productive, persistante et résolutive après arrêt du traitement. La toux induite par les IEC doit être envisagée lors du diagnostic différentiel d'une toux.
Autres
Des réactions de sensibilité peuvent survenir chez des patients avec ou sans antécédents d'allergie ou d'asthme bronchique. La possibilité d'une exacerbation ou d'une activation d'un lupus érythémateux systémique a été rapportée.
Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
Il est établi que l'association d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine-II (ARA II) ou d'aliskiren augmente le risque d'hypotension, d'hyperkaliémie et d'altération de la fonction rénale (incluant le risque d'insuffisance rénale aiguë). En conséquence, le double blocage du SRAA par l'association d'IEC, d'ARA II ou d'aliskiren n'est pas recommandé (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Propriétés pharmacodynamiques).
Néanmoins, si une telle association est considérée comme absolument nécessaire, elle ne pourra se faire que sous la surveillance d'un spécialiste et avec un contrôle étroit et fréquent de la fonction rénale, de l'ionogramme sanguin et de la pression artérielle. Les IEC et les ARA II ne doivent pas être associés chez les patients atteints d'une néphropathie diabétique.
Cancer de la peau non mélanome
Un risque accru de cancer de la peau non mélanome (CPNM) [carcinome basocellulaire (CB) et carcinome épidermoïde (CE)] avec une augmentation de la dose cumulative d'exposition à l'hydrochlorothiazide (HCTZ) a été observé dans deux études épidémiologiques issues du registre danois des cancers. Les actions photosensibilisantes de l'HCTZ pourraient constituer un mécanisme possible du CPNM.
Les patients prenant de l'HCTZ doivent être informés du risque de CPNM et être invités à vérifier régulièrement leur peau pour détecter toute nouvelle lésion et à signaler rapidement toute lésion cutanée suspecte. Des mesures préventives possibles telles qu'une exposition limitée au soleil et aux rayons UV et, en cas d'exposition, une protection adéquate devraient être conseillées aux patients afin de minimiser le risque de cancer de la peau. Les lésions cutanées suspectes doivent être examinées rapidement, y compris éventuellement par un examen histologique des biopsies. L'utilisation d'HCTZ peut également devoir être reconsidérée chez les patients ayant déjà présenté un CPNM (voir aussi rubrique Effets indésirables).
Teneur en sodium
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Insuffisance cardiaque congestive
Obstacle mécanique au remplissage ou à l'éjection
Sténose artérielle rénale unilatérale avec second rein fonctionnel
Déplétion hydrosodée
Cirrhose hépatique
Intervention chirurgicale
Anesthésie par des agents provoquant une hypotension
Déshydratation
Hypovolémie
Hyperaldostéronisme primaire
Sujet âgé
Pathologie hépatique
Insuffisance rénale légère à modérée
Transplanté rénal
Néphropathie
Diurèse importante
Hypokaliémie
Risque d'hyperkaliémie
Décompensation cardiaque aiguë
Acidose métabolique
Risque d'hyponatrémie
Angioedème
Désensibilisation
Syndrome de détresse respiratoire (aiguë)
Antécédent de syndrome de détresse respiratoire aiguë liée à l'hydrochlorothiazide
Insuffisant rénal associant une collagénose
Lupus érythémateux
Sclérodermie
Epanchement choroïdien
Myopie transitoire
Glaucome à angle fermé
Acuité visuelle diminuée
Douleur oculaire
Antécédent d'hypersensibilité à la pénicilline
Antécédent d'hypersensibilté aux sulfamides
Sujet noir
Diabète
Toux non productive
Consommation d'alcool
Lésion cutanée
Exposition au soleil
Exposition aux rayons UV
Antécédent de cancer cutané
Certains effets indésirables (par ex. les symptômes d'une réduction de la pression artérielle tels des étourdissements) peuvent perturber la capacité de concentration et de réaction du patient, et par conséquent constituer un risque dans les situations où ces capacités revêtent une importance particulière (telles la conduite d'un véhicule ou l'utilisation d'une machine).
Ceci peut avoir lieu en particulier au début du traitement, ou lors du remplacement d'autres traitements. Après la première dose ou des augmentations ultérieures de la dose, il n'est pas conseillé de conduire ni d'utiliser des machines durant plusieurs heures.
Les données issues des essais cliniques ont montré que le double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou d'aliskiren est associé à une fréquence plus élevée d'événements indésirables tels que l'hypotension, l'hyperkaliémie et l'altération de la fonction rénale (incluant l'insuffisance rénale aiguë) en comparaison à l'utilisation d'un seul médicament agissant sur le SRAA (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques).
Associations contre-indiquées
L'utilisation concomitante des IEC avec l'association sacubitril/valsartan est contre-indiquée car elle augmente le risque d'angio-oedème (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde spéciales et précautions d'emploi). Le traitement avec ramipril ne doit pas être débuté moins de 36 heures après la prise de la dernière dose de l'association sacubitril/valsartan. L'association sacubitril/valsartan ne doit pas être débutée moins de 36 heures après la dernière dose de Cotriatec.
Les traitements extracorporels impliquant une mise en contact du sang avec des surfaces chargées négativement tels que la dialyse ou l'hémofiltration utilisant certaines membranes de haute perméabilité (par ex. les membranes en polyacrylonitrile) et l'aphérèse des lipoprotéines de faible densité sur sulfate de dextran, en raison du risque accru de réactions anaphylactoïdes sévères (voir rubrique Contre-indications). Si un tel traitement est requis, le recours à un type différent de membrane de dialyse ou à une classe différente d'agents antihypertenseurs doit être envisagé.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Sels de potassium, héparine, diurétiques épargnants potassiques et autres substances actives augmentant les taux plasmatiques du potassium (y compris les antagonistes de l'angiotensine II, le triméthoprime seul et sous forme d'association à dose fixe avec du sulfaméthoxazole, le tacrolimus, la ciclosporine)
Une hyperkaliémie peut survenir, par conséquent, une surveillance étroite du potassium sérique est requise.
+ Agents antihypertenseurs (par ex. les diurétiques) et autres substances pouvant abaisser la pression artérielle (par ex. les nitrates, les antidépresseurs tricycliques, les anesthésiques, la prise aiguë d'alcool, le baclofène, l'alfuzosine, la doxazosine, la prazosine, la tamsulosine, la térazosine)
Une potentialisation du risque d'hypotension est à prévoir (voir rubrique Posologie et mode d'administration concernant les diurétiques).
+ Sympathomimétiques vasopresseurs et autres substances (épinéphrine) susceptibles de réduire l'effet antihypertenseur du ramipril
Une surveillance de la pression artérielle est recommandée.
De plus, l'effet des sympathomimétiques vasopresseurs peut être atténué par l'hydrochlorothiazide.
+ Allopurinol, immunosuppresseurs, corticoïdes, procaïnamide, cytostatiques et autres substances susceptibles de modifier la numération sanguine
Probabilité accrue de réactions hématologiques (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Sels de lithium
L'excrétion du lithium pourrait être réduite par les IEC, et par conséquent la toxicité du lithium augmentée. Les taux de lithium doivent être surveillés. La prise simultanée de diurétiques thiazidiques peut augmenter le risque de toxicité du lithium et aggraver le risque déjà élevé de toxicité du lithium avec les IEC. L'association de ramipril et d'hydrochlorothiazide au lithium n'est par conséquent pas recommandée.
+ Agents antidiabétiques, y compris l'insuline
Des réactions hypoglycémiques peuvent survenir. L'hydrochlorothiazide peut atténuer l'effet des médicaments antidiabétiques. Une surveillance glycémique particulièrement étroite est donc recommandée lors de la phase initiale d'administration conjointe.
+ Anti-inflammatoires non stéroïdiens et acide acétylsalicylique
Une réduction de l'effet antihypertenseur de COTRIATEC est à prévoir. En outre, un traitement concomitant d'IEC et d'AINS peut entraîner un risque accru d'aggravation de la fonction rénale ainsi qu'une élévation de la kaliémie.
+ Anticoagulants oraux
L'effet anticoagulant peut être diminué par la prise simultanée d'hydrochlorothiazide.
+ Corticoïdes, ACTH, amphotéricine B, carbénoxolone, quantités importantes de réglisse, laxatifs (en cas d'utilisation prolongée), et autres agents kaliurétiques ou hypokaliémiants
Risque accru d'hypokaliémie.
+ Préparations digitaliques, substances actives connues pour allonger l'intervalle QT, et antiarythmiques
Leur toxicité arythmogène peut être accrue ou leur effet antiarythmique diminué en présence de troubles électrolytiques (tels une hypokaliémie, une hypomagnésémie).
+ Méthyldopa
Hémolyse possible.
+ Cholestyramine ou autres échangeurs d'ions administrés par voie entérale
Absorption réduite de l'hydrochlorothiazide. Les diurétiques sulfamides seront pris au moins une heure avant ou quatre à six heures après ces médicaments.
+ Myorelaxants de type curare
Intensification et prolongation possible de l'effet myorelaxant.
+ Sels de calcium et médicaments élevant la calcémie
Une élévation des taux de calcium est à prévoir en cas d'administration simultanée d'hydrochlorothiazide ; par conséquent, une surveillance étroite de la calcémie est requise.
+ Carbamazépine
Risque d'hyponatrémie en raison d'un effet additif avec l'hydrochlorothiazide.
+ Produits de contraste iodés
En cas de déshydratation induite par les diurétiques, y compris l'hydrochlorothiazide, il existe un risque accru d'insuffisance rénale aiguë, en particulier lorsque des doses importantes de produits de contraste iodés sont utilisées.
+ Pénicilline
L'hydrochlorothiazide est éliminé au niveau du tubule distal, et réduit l'excrétion de la pénicilline.
+ Quinine
L'hydrochlorothiazide réduit l'excrétion de la quinine.
+ Héparine
Elévation possible des taux de potassium.
+ Inhibiteurs de la protéine mTOR ou vildagliptine
Un risque majoré d'angio-oedème est possible chez les patients prenant des traitements concomitants comme les inhibiteurs de la protéine mTOR (par exemple temsirolimus, évérolimus, sirolimus) ou la vildagliptine. Une prudence particulière devra être observée au début du traitement (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Inhibiteurs de la néprilysine (NEP)
Une majoration du risque d'angio-oedème a été rapportée en cas d'utilisation concomitante d'IEC et d'inhibiteur de la néprilysine (NEP) comme le racécadotril (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
+ Sacubitril/valsartan
L'utilisation concomitante des IEC avec l'association sacubitril/valsartan est contre-indiquée car elle augmente le risque d'angio-oedème.
DHPC : Hydrochlorothiazide – Risque de cancer de la peau non-mélanome (carcinome basocellulaire, carcinome épidermoïde)
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SANOFI AVENTIS FRANCE
82 avenue Raspail
94250
GENTILLY
Code UCD7 : 9280314
Code UCD13 : 3400892803142
Code CIS : 68056436
T2A médicament : Non
Laboratoire titulaire AMM : SANOFI AVENTIS FRANCE
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
Prix vente TTC : 5.29€
Taux de TVA : 2.1%
TFR (Tarif Forfaitaire de Responsabilité) : Non
Base de remboursement : 5.29€
Taux SS : 65%
Agréments collectivités : Oui
Code acte pharmacie : PH7
Date AMM : 08/08/2005
Rectificatif AMM : 16/08/2023
Marque : TRIATEC
Gamme : CoTriatec
Code GTIN13 : 3400936962903
Référence LPPR : Aucune
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